Affaire Dutroux | Les inimaginables tortures corporelles de Julie et de Melissa

Réunis au château du Kinderberg, au milieu de la forêt luxembourgeoise dans le refuge de l’éditeur du Megazine, les enquêteurs du collectif secret NNSPMDF ont examiné les photos agrandies de l’autopsie des fillettes, en présence et sous le conseil diligent du Dr. Roger Morelle, médecin de son état. La déposition de Monsieur Dutroux ne colle pas : les pauvres victimes portent les marques de sévices que les jurés de la Cour d’assises ne connaissent pas, que la mort par la famine ne provoque pas, et que le député Laurent Louis n’aurait pas même osé imaginer. A suivre.

On doit savoir.

L’enquêteur de la BSR de Charleroi ne devait pas découvrir les fillettes devenues témoins gênants. Le serrurier qui accompagnait le fieffé limier avait pourtant, selon ses propres termes, « distinctement identifié les voix » dans la cave de la maison de Marcinelle où ils se trouvaient tous les deux.

« J’ai eu l’impression de gamines qui parlaient ou jouaient. C’était excessivement proche » explique-t-il.

Mais il ignorait que René Michaux recherchait les petites disparues rapporte l’agence Belga (30 mars 2004).

Que craignait cet homme qui mit en joue Dutroux le 17 août 1996 alors qu’on exhumait les deux petits corps à Sars-la Buissière ?

RTL du 13 août 2008 rapporte sa version, celle du justicier :

« J’ai regardé Dutroux. Il y avait un trou. Il était assis sur le capot d’une auto. Il rigolait. De rage, j’ai sorti mon arme. Un major, chargé du soutien psychologique des policiers, a été plus rapide que moi et détourné mon arme. Il avait un gilet pare-balles. Mais je suis un bon tireur. Je visais la tête. Je voulais vraiment le tuer. »

A l’époque, les couleuvres grouillaient et s’avalaient dans un désarroi et un mépris total des attentes d’une population consternée par les révélations d’une horreur impossible à imaginer. Notre esprit veut à tout prix dénier l’inacceptable réalité.

Est-ce la raison pour laquelle le dénommé Beauthier (Jean-Paul), pas l’avocat mais le médecin légiste de réputation internationale et les confrères pressentis à la tâche des pénibles autopsies n’ont pas voulu décrire les entailles, ecchymoses et hématomes visibles sur les corps des suppliciées ?

Les cinq autopsies dont la française et l’américaine qui ont coûté davantage qu’une recherche en bonne et due forme des ADN des cheveux prélevés dans la citerne aménagée en cache ont conclu à la mort par cachexie !

Or, les enfants étaient repliés sur eux-mêmes, nus et entièrement ficelés par les fils électriques quand la pelleteuse les a dégagés du sol. Les photos prises sur les lieux et lors des autopsies ordonnées par la P.J. de Liège le montrent clairement.

A la vue de ces photos que le hasard me mit entre les mains, surgit l’effroi. On ne veut pas voir !

Aussi fallut-il un certain temps avant que je n’y repère des éléments troublants. Je n’ai pas la formation du légiste mais j’ai des yeux et une certaine intelligence.

Aussi vous demanderai-je de vous mettre à ma place en imaginant le périnée d’une enfant recroquevillée sur elle-même : deux trous béants : les orifices vaginal et anal. La photo numérotée 63 est un gros plan de l’anus montrant une dilatation de 4 cm de diamètre (une règle avoisine la béance). Plus haut, sur la grande lèvre gauche, un point de suture enserre un bourrelet de peau. La photo 30 montre que le fil électrique transperçait cette région !

Quel fut l’intérêt de recoudre cette perforation de la vulve du cadavre ?

Ailleurs, sur la photo 53 (vue latérale gauche), le fil électrique pénètre à la partie externe du sein et ressort à sa partie supérieure !

Seule une alêne, cette aiguille utilisée au travail de la peausserie, a pu entraîner le fil électrique à travers les peaux. Les enfants étaient-ils morts quand ils ont été ainsi ligotés ? Par quel sadisme morbide leur emballeur aurait-il agi ?

Pour des raisons louables mais mensongères, les autorités judiciaires ont peut-être voulu étouffer la vérité. Se sont-elles rendu compte qu’en agissant ainsi, elles se sont instituées complices de ce qui s’affirme être, au vu des événements récents, un réseau de criminalité polymorphe mondial !

Je n’ose croire que les représentants de nos institutions y soient mêlés, mais je me suis posé des questions quand les députés de notre parlement ont quitté la séance en insultant le jeune représentant Laurent Louis qui réclamait, c’était son droit, la réouverture de ce dossier bis brûlant…

L’association de fait NNSPMDF (Nousnesommespasmortesdefaim) est née de multiples déductions et constatations du même ordre. Elle compte de nombreux membres dispersés aux quatre coins du pays, et tient à ranimer la braise au cœur des démocrates blasés par des pouvoirs qui se sont moqués d’eux.

Il est grand temps que la vérité soit révélée pour que cesse ce commerce abject des enfants.

Roger Morelle, ce 10 octobre 2012, pour CYNERGIE

Source : Wikistrike

 

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