En cas de disparition d'un mineur :
(NDWP: Le ministère de l’intérieur est actuellement commandé par un ministre accusé de viol et par sa ministre déléguée, laquelle est auteure de la loi Schiappa visant à dépénaliser le viol sur mineur et à obliger les cours d’éducation sexuelle aux enfants en bas âge.)
Si votre enfant à disparu et vous n’arrivez pas à le contacter, vous devez immédiatement :
- Le rechercher auprès de ses amis, de vos voisins, des membres de votre famille.
- Le rechercher dans les lieux que votre enfant a l’habitude de fréquenter (parc, terrain de jeux…).
- Contacter son établissement scolaire ou le lieu qui en a la garde (exemples : centre aéré, club de sport).
- Vous renseigner sur l’horaire auquel votre enfant est reparti seul.
- Vérifiez si votre enfant est parti avec des affaires (pièce d’identité, argent, vêtements, sacs, téléphone portable, etc.).
- Prévenir les services de police ou de gendarmerie proches de votre domicile.
- Vous rendre directement dans un commissariat ou une gendarmerie avec une photographie récente de l’enfant.
La disparition inexpliquée d’un mineur est une situation d’urgence. En cas d’enlèvement parental ou de non-présentation d’enfant, vous devez suivre une autre démarche.
(NDWP: Le ministère de l’intérieur est actuellement commandé par un ministre accusé de viol et par sa ministre déléguée, laquelle est auteure de la loi Schiappa visant à dépénaliser le viol sur mineur et à obliger les cours d’éducation sexuelle aux enfants en bas âge.)
Si votre enfant à disparu et vous n’arrivez pas à le contacter, vous devez immédiatement :
- Le rechercher auprès de ses amis, de vos voisins, des membres de votre famille.
- Le rechercher dans les lieux que votre enfant a l’habitude de fréquenter (parc, terrain de jeux…).
- Contacter son établissement scolaire ou le lieu qui en a la garde (exemples : centre aéré, club de sport).
- Vous renseigner sur l’horaire auquel votre enfant est reparti seul.
- Vérifiez si votre enfant est parti avec des affaires (pièce d’identité, argent, vêtements, sacs, téléphone portable, etc.).
- Prévenir les services de police ou de gendarmerie proches de votre domicile.
- Vous rendre directement dans un commissariat ou une gendarmerie avec une photographie récente de l’enfant.
La disparition inexpliquée d’un mineur est une situation d’urgence. En cas d’enlèvement parental ou de non-présentation d’enfant, vous devez suivre une autre démarche.
La décision de déclencher le plan « Alerte Enlèvement » est prise par le procureur de la République territorialement compétent en étroite concertation avec les enquêteurs et après consultation du ministère de la Justice.
Les 4 critères de déclenchement sont les suivants :
- Il s’agit d’un enlèvement avéré et non d’une disparition, même inquiétante,
- la victime est mineure,
- la vie ou l’intégrité physique de l’enfant est en danger,
- le procureur dispose d’informations dont la diffusion peut permettre la localisation de l’enfant et/ou de son ravisseur.
Chaque fois que cela est possible, l’accord des parents doit être sollicité préalablement au déclenchement du plan Alerte Enlèvement.
La décision de déclencher le plan « Alerte Enlèvement » est prise par le procureur de la République territorialement compétent en étroite concertation avec les enquêteurs et après consultation du ministère de la Justice.
Les 4 critères de déclenchement sont les suivants :
- Il s’agit d’un enlèvement avéré et non d’une disparition, même inquiétante,
- la victime est mineure,
- la vie ou l’intégrité physique de l’enfant est en danger,
- le procureur dispose d’informations dont la diffusion peut permettre la localisation de l’enfant et/ou de son ravisseur.
Chaque fois que cela est possible, l’accord des parents doit être sollicité préalablement au déclenchement du plan Alerte Enlèvement.
(NDWP: L’actuel ministre de l’intérieur est un ancien avocat ayant permis la relaxe, de certains accusés pédocriminels de l’affaire Outreau.)
Article 224-1
Le fait, sans ordre des autorités constituées et hors les cas prévus par la loi, d’arrêter, d’enlever, de détenir ou de séquestrer une personne, est puni de vingt ans de réclusion criminelle.
Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à cette infraction. Toutefois, si la personne détenue ou séquestrée est libérée volontairement avant le septième jour accompli depuis celui de son appréhension, la peine est de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende, sauf dans les cas prévus par l’article 224-2.Article 224-5
Lorsque la victime de l’un des crimes prévus aux articles 224-1 à 224-4 est un mineur de quinze ans, la peine est portée à la réclusion criminelle à perpétuité si l’infraction est punie de trente ans de réclusion criminelle et à trente ans de réclusion criminelle si l’infraction est punie de vingt ans de réclusion criminelle. Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables dans les cas prévus par le présent article.Article 227-7
Les disparitions difficilement qualifiables
Factuellement, seul un très petit nombre d’enfants portés disparus entrent dans la catégorie des disparitions inquiétantes, la plupart d’entre eux étant catégorisés comme fugueurs.
Pour cause, le manque de volonté manifeste d’établir des critères précis permettant de distinguer la simple fugue d’une disparition inquiétante.
Raison pour laquelle en fonction des circonstances de la disparition, les autorités policières et judiciaires décident – au cas par cas – des procédures à engager.
Crimes et Délits, les sanctions encourues
Nous constatons que dans la plupart des affaires impliquant des réseaux pédocriminels, l’accumulation de crimes, la préméditation, la bande organisée, etc… mènent à encourir une peine de prison à perpétuité.
Or il n’en est rien. Relaxe, non-lieu, classement sans suite, disparition de preuves et de témoins, sursis, remise de peine… Bref une vraie passoire.
Toutefois la loi sévit redoutablement concernant les placements abusifs et autres déchéances parentales à l’encontre des parents protecteurs dénonçant des viols sur leurs enfants.
Plus le temps passe, plus les lois censées protéger les mineurs s’amenuisent jusqu’à se retourner contre eux. Pour exemple la loi Schiappa qui se refuse à remettre en question de manière systématique la notion de consentement sexuel pour les mineurs de moins de 15 ans .
La France c’est Pédo Land, soit vous agissez, soit vous subissez.
Wanted Pedo ne collabore pas avec l’ennemi
Wanted Pedo diffuse uniquement :
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Les signalements concernant les disparitions ou enlèvements d’enfants mineurs.
Wanted Pedo ne diffuse pas les signalements laissant supposer:
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Des enfants mineurs fuyants les foyers de l’ASE ou leur famille d’accueil.
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Des enfants mineurs fuyants leurs parents tortionnaires.
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Des parents protecteurs et leurs enfants mineurs fuyant les pédocriminels.
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Des parents protecteurs et leurs enfants mineurs fuyant la justice Pédo-Maçonnique.
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Des parents protecteurs et leurs enfants mineurs fuyant les persécutions de l’ASE.