Des viols et la mort d’un bébé à la barre

Des viols et la mort d’un bébé à la barre

 

AU PALAIS DE JUSTICE D ALBI PROCES D ANDRE KUPFER DEVANT LA COUR D ASSISES. CET HOMME DE 52 ANS ACCUSE D UN VIOL SUR UNE FEMME DE 40 ANS COMMIS EN FEVRIER 2008 A ALBI EST DEFENDU PAR ME FREDERIC ALBAREDE. LA VICTIME EST REPRESENTEE PAR ME MATHILDE ENSLEN. L AVOCATE DE LA PARTE CIVILE A DEMANDE LE HUIS CLOS COMPTE TENU DE LA NATURE DES FAITS.
AU PALAIS DE JUSTICE D ALBI PROCES D ANDRE KUPFER DEVANT LA COUR D ASSISES. CET HOMME DE 52 ANS ACCUSE D UN VIOL SUR UNE FEMME DE 40 ANS COMMIS EN FEVRIER 2008 A ALBI EST DEFENDU PAR ME FREDERIC ALBAREDE. LA VICTIME EST REPRESENTEE PAR ME MATHILDE ENSLEN. L AVOCATE DE LA PARTE CIVILE A DEMANDE LE HUIS CLOS COMPTE TENU DE LA NATURE DES FAITS.

Session d’assises du tarn chargée.

Sept affaires seront jugées à partir d’aujourd’hui et jusqu’au mercredi 14 octobre.
La cour d’assises des mineurs se réunira deux fois pour des viols.
D’autres viols également en première instance et la mort d’un bébé à Castres.

Sept affaires seront jugées dès cet après-midi, et jusqu’au 14 octobre, par la cour d’assises du Tarn à Albi.
Dont quatre consacrées à des viols, une à des violences ayant entraîné la mort d’un bébé de 4 mois sans intention de la donner et deux autres en appel pour vols avec arme et vol avec violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
(NDWP: Ca existe ça? frapper un bébé sans chercher à le tuer?
il y’a toujours de bonne raison pour ne pas condamner ces bourreaux très sévèrement…)

                                                                      Accusé du viol de sa sœur

C’est la cour d’assises des mineurs qui ouvre le bal, à huis clos, cet après-midi et demain pour viols sur mineur de 15 ans.
Le frère, âgé de 13 à 17 ans, au moment des faits, entre décembre 2000 et juin 2005, est accusé d’avoir violé sa sœur à Cagnac-les-Mines.
La jeune fille a déposé plainte en décembre 2011 alors qu’elle avait 20 ans.
Elle confiait que son frère, qui a abusé d’elle entre 10 et 14 ans, lui disait que c’était normal.
Il a reconnu partiellement les faits, expliquant que lui aussi avait subi des abus sexuels de la part d’un cousin.
Il sera défendu par Me Pierre Julhe et la partie civile représentée par Me Alain Combarel.

Violée lors de la fête à Carlus

C’est devant la cour d’assises des mineurs du Tarn que sera jugé à huis clos, lundi 28 et mardi 29 septembre, le jeune accusé de viol sur une personne vulnérable.
Il sera défendu par Me Hervé Renier et la partie civile représentée par Me Jean-Baptiste Alary.
Le 1er juillet 2012, les gendarmes sont intervenus à la fête de Carlus pour une affaire de viol commis dans une tente du camping provisoire.
Un groupe de trois jeunes filles a été abordé par deux autres jeunes.
L’une d’elle, en état d’ébriété, a été conduite dans une tente par l’accusé.
Quelques minutes plus tard, elle est ressortie en pleurs et en état de choc, expliquant à ses amies qu’elle avait été violée.
L’agresseur présumé, âgé de 17 ans, a été interpellé le 3 juillet.
Il a nié avoir utilisé la violence ou des menaces mais pour les juges qui ont instruit le dossier, son état d’ébriété a caractérisé la vulnérabilité de la jeune fille et son absence de consentement.

Accusé du viol de ses belles-filles

Ludovic Cueva, 40 ans, ancien militaire du 8e Rpima à Castres, est accusé de viols avec plusieurs circonstances aggravantes, sur ses deux belles-filles et sur une enfant d’un couple d’amis.
Défendu par Me Édouard Martial, il sera jugé du mercredi 30 septembre au vendredi 2 octobre.
Les parties civiles seront représentées par Mes Younès Derkaoui et Hervé Renier.
C’est la plainte d’une jeune fille contre son beau-père, le 29 août 2012 à Castres, qui a lancé l’affaire pour des viols et agressions sexuelles sur mineur.
Il est aussi poursuivi pour détention d’images de mineurs à caractère pornographique.
L’accusé nie les faits en bloc, sauf pour les images pédopornographiques.

(NDWP: Comme d’habitude, l’accusé nie se qui est difficilement prouvable pour remettre en cause la parole de la victime lors du procès et ainsi essayé de la discréditer.)

Condamné à 12 ans pour vol avec arme

Orélien Dubuc, 32 ans, condamné en première instance à 12 ans de réclusion pour un vol avec arme, aux côtés d’Alfonso Mateux, condamné à 11 ans, ont fait appel.
Le 3e complice du vol au domicile d’une famille, le 27 mai 2010 à Saint-Jean, et le conducteur de la fourgonnette, n’ont pas fait appel.
Ils seront défendus, du lundi 5 octobre au mercredi 7 par MesGuy Dubuissson et Pierre Alfort.

Violée alors qu’elle était ivre

Laurent Robart, 54 ans, 15 condamnations au casier dont 4 pour des violences aggravées, sera jugé le jeudi 8 et le vendredi 9 octobre pour des viols commis par une personne en état d’ivresse manifeste.
C’était le dimanche 22 septembre 2013 à Castres, dans son appartement où il avait convié une rencontre de bar.
La victime l’a accusé de l’avoir frappée et violée à deux reprises sur son canapé.
Ce qu’il nie.

Condamné à perpétuité

Daniel Bedos, 59 ans, condamné à la réclusion à perpétuité pour un vol avec violence ayant entraîné la mort d’une mamie de 97 ans, le 19 août 2010 à Toulouse, a fait appel de la décision.
Il sera rejugé du lundi 12 au mercredi 14 octobre.

Le bébé de 4 mois est décédé de ses blessures à Purpan

Kévin Tailame, 24 ans, est accusé de violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur un mineur et de violences aggravées.
Il sera jugé à partir de mercredi et jusqu’à vendredi.
L’accusé sera représenté par Me Jean-Baptiste Alary.
Il n’y a pas de partie civile au procès.

Le commissariat de police de Castres, qui enquêtait sur des maltraitances d’enfant, a placé en garde à vue, le 2 octobre 2012, le père et la mère d’un bébé de 4 mois, hospitalisé à Purpan.

Savannah, la petite fille, souffrant de fractures du crâne et de nombreuses contusions et fractures des côtes, mourra le jour même à l’hôpital Purpan à Toulouse.
L’accusé a sorti une première version expliquant aux enquêteurs que sa petite fille lui avait échappé des mains et avait chuté sur la tête.

Puis au fil de l’instruction, il a reconnu avoir frappé le bébé à plusieurs reprises et notamment dans la nuit du 28 au 29 septembre, excédé par ces hurlements.

Il a aussi expliqué consommer beaucoup de cannabis.
L’instruction du dossier a permis de mettre en avant que l’intention du père n’était pas de tuer son enfant mais de le faire taire…
La mère a été mise hors de cause et a fait l’objet d’un non-lieu.

Source : http://www.ladepeche.fr

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