Villeparisis | Le père incestueux condamné à 18 ans de réclusion criminelle

MAJ DU 13/05/17

L’homme de 39 ans avait abusé de sa fille d’abord au Cameroun puis en France.

Illustration. L’avocat général avait requis 15 ans de réclusion criminelle contre le père de famille de 39 ans, domicilié à Villeparisis. LP/Olivier Boitet.

La cour d’assises de Seine-et-Marne, a condamné jeudi soir Michel M., un père de famille de Villeparisis à 18 ans de réclusion criminelle pour des viols sur sa fille, alors mineure. Une peine qui va au-delà des réquisitions de l’avocat général, qui demandait 15 ans.

L’homme de 39 ans avait abusé de sa fille d’abord au Cameroun puis en France, deux à trois fois par semaine, durant plusieurs années. Elle avait dû subir deux avortements. L’hôpital qui a pratiqué les interventions lui avait même posé un implant contraceptif.

L’affaire a éclaté en 2014, lorsque l’assistante sociale du collège où l’adolescente de 15 ans était scolarisée, a alerté le procureur de Meaux. Durant son procès, Michel M. a constamment nié les faits et dénonçait un complot.

Source: Le Parisien


Article du 10/05/17

Villeparisis | Un père devant la cour d’assises, accusé d’avoir violé sa fille durant plusieurs années

Illustration. Le procès durera deux jours devant la cour d’assises de Seine-et-Marne, à Melun. LP/Guénaèle Calant

La cour d’assises de Seine-et-Marne, à Melun, juge ce mercredi et ce jeudi un habitant de Villeparisis de 39 ans pour « viol sur mineure par ascendant ». Ce père de famille comparaît pour avoir abusé de sa fille durant plusieurs années.

L’affaire a éclaté en 2014, lorsque l’assistante sociale du collège où était scolarisée l’adolescente, âgée de 15 ans, a alerté le procureur de Meaux.

Aux enquêteurs, la victime a expliqué que les agressions avaient commencé au Cameroun, son pays d’origine, et s’étaient poursuivies quand son père l’avait fait venir en France.

Son père la violait, selon son témoignage, deux à trois fois par semaine.

Des accusations que l’accusé, qui encourt vingt ans de réclusion criminelle, a fermement contestées, évoquant un complot contre lui.

La jeune fille, tombée enceinte deux fois, avait déjà subi deux avortements, lorsqu’elle a été entendue par les enquêteurs.

L’hôpital qui a pratiqué les interventions lui avait posé un implant contraceptif !

Source : Le Parisien

Source(s):