Un australien est condamné pour 145 faits de pédophilie

Australie

145 faits d’agressions sexuelles contre des mineurs retenus contre lui

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L’homme aurait 47 ans et serait originaire de Warwick, à proximité de Brisbane dans l’est de l’Australie.

145 faits d’agressions sexuelles contre des mineurs ont été retenus contre lui.

On y compte depuis le viol jusqu’aux productions d’images pornographiques sur pas moins de 28 enfants.

Son mode opératoire serait des sollicitations via les réseaux sociaux, il se servait de plusieurs pseudonymes dont Jazz, Jazzman ou David Bourne. Il s’attaquait à des enfants de moins de 16 ans, dans la plupart des cas entre 2002 et 2015. Cet homme d’origine australienne vient d’être inculpé pour pédophilie ce lundi. Son terrain de chasse aurait été les réseaux sociaux, il y avait déjà fait près de 145 victimes.


Un australien est condamné pour 145 faits de pédophilie

Cet homme d’origine australienne vient d’être inculpé pour pédophilie ce lundi. Son terrain de chasse aurait été les réseaux sociaux, il y avait déjà fait près de 145 victimes.

Plusieurs années dans la pédophilie
L’homme aurait 47 ans et serait originaire de Warwick, à proximité de Brisbane dans l’est de l’Australie. 145 faits d’agressions sexuelles contre des mineurs ont été retenus contre lui. On y compte depuis le viol jusqu’aux productions d’images pornographiques sur pas moins de 28 enfants. Son mode opératoire serait des sollicitations via les réseaux sociaux, il se servait de plusieurs pseudonymes dont Jazz, Jazzman ou David Bourne. Il s’attaquait à des enfants de moins de 16 ans, dans la plupart des cas entre 2002 et 2015.

Les victimes pourraient être encore plus nombreuses
On l’accuse notamment de viols, de production et de distribution d’images pornographiques pédophiles sur des victimes essentiellement australiennes. L’homme aurait manipulé gravement ses victimes en faisant chanter certains par rapport à leurs photos indécentes et en profitait pour les violer ou les filmer ou encore les photographier. C’est une plainte en avril qui a brisé ce cycle infernal. Les investigations ont commencé en essayant d’identifier en premier lieu les victimes. “On a eu des réactions très diverses, gêne, état de choc et d’une certaine manière, du soulagement“, commente l’un des enquêteurs. Pour celui-ci d’ailleurs, il y aurait davantage de victimes mais ceux-ci ne se seraient pas manifestées.

Source: http://www.linfo.re/

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