L’Argentière-la-Bessée | Axel Maaziz, pédocriminel, violeur et producteur de pédopornographie, 7 victimes dont un bébé de 21 mois !

Mise à Jour du 16/09/2017 :

La cour d’assises des Hautes-Alpes devait décider, ce vendredi soir, du sort d’Axel Maaziz, 33 ans, jugé pour neuf chefs d’accusation. Le président de la cour, ses deux assesseurs et les six jurés s’étaient retirés pour délibérer vers 15 h 15.

Le verdict est tombé vers 21 h 30, à l’issue de cinq jours de procès.

Le Haut-alpin a été reconnu coupable de tous les faits qui lui étaient reprochés. Il a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle, avec un suivi socio judiciaire pendant 12 ans. Cette peine est quasi conforme aux réquisitions de l’avocat général Raphaël Balland.

Axel Maaziz était accusé de deux viols, d’une tentative de viol sur un nourrisson, deux agressions sexuelles et une tentative d’agression sexuelle sur mineur, enlèvement et tentative de meurtre sur mineur et corruption de mineurs. Il encourrait la réclusion à perpétuité.

Son avocat, Me Sebbar, n’a pas obtenu l’acquittement de son client pour le viol des deux ex-compagnes de ce dernier.

« Il réfléchit à la possibilité de faire appel »,

précise l’avocat.

Source : Le Dauphiné

Un trentenaire interpellé en 2014 après l’enlèvement d’une fillette comparaît à partir de lundi devant la cour d’assises des Hautes-Alpes, qui le jugera aussi pour des viols dont il est accusé et des agressions sexuelles révélées par son ordinateur.

Le procès à Gap doit se tenir à huis clos car la plupart des sept victimes, dont un bébé de 21 mois et de tout jeunes enfants à l’époque des faits, sont toujours mineures.

Mis en examen pour la séquestration d’une fillette

Axel Maaziz, 33 ans, avait été mis en examen et placé en détention provisoire le 19 avril 2014, deux jours après avoir enlevé et séquestré une fillette de 7 ans qui rentrait chez elle après l’école à L’Argentière-la-Bessée, près de Briançon.

Il avait utilisé un pistolet à impulsion électrique pour l’immobiliser avant de l’embarquer dans une voiture.

Mais elle avait ensuite réussi à prendre la fuite et prévenir les gendarmes.

L’accusé reconnaît avoir enlevé la fillette mais conteste avoir tenté de la tuer comme le soutient l’accusation en raison de traces de strangulation.

L’avocat de la défense plaide « un état psychologique extrêmement fragile »

« Mon client était dans un état psychologique extrêmement fragile. Lorsqu’il a pris conscience de la gravité de son acte, il a dit à l’enfant de partir »,

affirme son avocat, Me Kader Sebbar.

« Si la fillette n’avait pas eu le courage et l’énergie pour se débattre, la cour d’assises jugerait aujourd’hui un homicide »,

rétorque Me Jérôme Garcia, qui représente la famille de l’enfant âgée de 10 ans aujourd’hui.

Des vidéos mettant en scène sexuellement quatre jeunes victimes

Au cours d’une perquisition au domicile du trentenaire, les gendarmes avaient découvert sur son ordinateur des vidéos mettant en scène sexuellement quatre jeunes victimes dans son entourage, âgées de 21 mois à 13 ans.

Il devra répondre de ces agressions ou tentatives d’agression devant la cour, ainsi que des viols dont l’accusent deux anciennes petites amies, l’une majeure et l’autre mineure au moment des faits.

« Un vrai prédateur sexuel »

« On a là le cursus d’un vrai prédateur sexuel. Les victimes sont totalement détruites. Rien ne laisse penser qu’elles pourront se reconstruire dans leur vie future », souligne Philippe Lecoyer, avocat de parties civiles.

L’accusé encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le procès est prévu pour durer jusqu’à vendredi.

Source : 20 minutes

Le procès d’Axel Maaziz, accusé de plusieurs viols, tentatives de viols, agressions sexuelles, et tentative de meurtre et séquestration d’une fillette en 2014 à c se tiendra devant les Assises des Hautes-Alpes en septembre prochain.

Il aurait enlevé et tenté de tuer, par étranglement, une fille de 7 ans en avril 2014 à L’Argentière la Bessée. Axel Maaziz, 33 ans, sera jugé en septembre prochain devant la Cour d’Assises des Hautes-Alpes.

Le 17 avril 2014, alors que la fillette rentrait à son domicile à la sortie de l’école primaire, l’homme, habitant La Roche de Rame, l’aurait abordée avant de la contraindre à monter dans son véhicule.

Elle aurait réussi à prendre la fuite et à se réfugier chez un particulier, portant sur elle des traces de strangulation.

« Agi sous le coup d’une pulsion »

Interpellé quelques heures après les faits, il avait déclaré aux enquêteurs avoir agi sous le coup d’une pulsion.

Son procès sera l’un des plus longs de cette session d’assises, puisqu’il se déroulera sur cinq jours, à partir du 11 septembre.

S’il comparait pour tentative de meurtre et enlèvement avec séquestration sur mineure de moins de 15 ans dans le cadre de cette affaire, cinq autres victimes sont aussi concernées pour plusieurs viols, tentative de viol, agressions sexuelles aggravées entre 2010 et le 17 avril 2014, date de son interpellation.

Source: alpesdusud.alpes

 

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