Belgique | Procès d’un médecin qui a violé sa petite-fille de 5 mois.

Le médecin a admis avoir provoqué des déchirures allant du clitoris au vagin à sa petite-fille. Le parquet de Liège a requis 15 ans de prison et 10 ans de mise à disposition du tribunal d’application des peines à l’encontre d’un médecin qui a avoué avoir commis un viol bestial sur sa petite fille âgée de 5 mois !

Illustration. Reporters

Dans la soirée du 4 février 2017, le fils de ce médecin lui avait confié ses deux enfants en bas âge. L’homme ignorait totalement que son père avait des penchants pédophiles.

Ainsi, le médecin consultait régulièrement des images d’enfants abusés sur Internet.

Cette nuit-là, lorsqu’il s’est retrouvé seul avec l’enfant, il a commis l’impensable.

Selon lui, en soirée, il a changé la fillette et lui aurait introduit à plusieurs reprises un doigt dans le vagin…

Selon les experts, cette explication n’est pas du tout crédible, une pénétration pénienne ne fait aucun doute.

Les enquêteurs ont retrouvé du sang dans le lit et à proximité de la table à langer.

Des traces de sperme ont été retrouvées sur des papiers essuie-tout dans la poubelle à côté de la table à langer.

L’ADN de la victime a été retrouvé sur le sexe du médecin !

Alors que les blessures ont été infligées dans la soirée, il n’a ramené la fillette que le lendemain.

La maman a directement conduit l’enfant aux urgences.

Les blessures infligées à la fillette par son grand-père ont entraîné d’énormes souffrances, mais également nécessité de la chirurgie.

Les fils placés à l’extérieur et à l’intérieur du vagin de la fillette ont cédé et de nouvelles interventions ont été et seront encore nécessaires.

Les médecins ne peuvent pas se prononcer sur les séquelles à long terme.

Le vagin de la petite fille pourrait ne pas se développer normalement.

Elle pourrait être incontinente, ne jamais réussir à avoir de relations sexuelles et d’enfant…

Devant le tribunal, le prévenu a prétendu que la fillette avait continué à dormir lorsqu’il lui a infligé ces tortures.

“J’ai pris conscience rapidement de la gravité de ce que j’avais fait”, a indiqué le prévenu.

“Je suis profondément conscient du mal que j’ai fait.

Je ne sais pas si j’ai le droit d’exprimer mes plus sincères excuses à la petite, à la famille et à la société.”

Source : DH Net

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