Agnès Giard et l’apologie du pédosatanisme dans Libération

Agnès Giard est une écrivaine, journaliste à Libération et elle a fait une thèse en anthropologie (université de Nanterre).

NDLR: Libération est un journal (comme tant d’autres) qui ne survit que grâce aux subventions (6,5 millions d’euros) et à l’injection de fonds privés (18 millions d’euros par Patrick Drahi), ce journal totalement déficitaire est virtuellement en faillite.

Elle est surtout une grosse fan des pratiques sexuelles en général et japonaises en particulier.

Le tout assaisonné d’un baratin pseudo-intellectuel qui ne trompe personne.

Sa photo de couverture de son Facebook annonce la couleur : “le sexe et la mort”

On y trouve une photo “sympa” intitulée :

Les poupées soumises aux grand yeux écarquillés

Tout un programme !

Elle tient un blog officiel sur Libération appelé “400 culs”, on suppose en référence à l’expression “faire les 400 coups”…

Subtil…

Dont l’adresse est “sexes.blogs.liberation.fr” au cas où c’était pas assez clair.

Grosso modo elle se fait le chantre du sexe dans tous ses états, avec un relativisme militant de toute forme de morale, jouissant visiblement d’afficher les transgressions les plus diverses.

On connaît la musique…

Bref, le logiciel 68’Hard, libertaire bien basique sans nuance ni tolérance pour tous ceux qui ne sont pas “aussi ouverts d’esprit qu’elle”

On a pu le constater avec son article sur les asexuels (gens qui n’ont pas d’envies ou de plaisirs sexuels) qui respire la tolérance :

Pour en finir avec l’asexualité !

Ouais, enfin on parle d’humain là quand même.

En gros, elle les traite de malades, dénonce leur “communautarisme asexuel” où on appréciera le deux poids deux mesures avec les homos.

Puis elle vomit une suite d’arguments dont le niveau d’absurdité n’a d’égal que celui des contradictions internes de sa crise d’ados rebelle jamais terminée.

Mort à ceux qui ne veulent pas jouir !

C’est tellement sincère et raz des pâquerettes, les bras m’en tombent.

Enfin bon, les journalistes en même temps…

Agnès quand tu écris “en finir” c’est genre “solution finale” ou plutôt “on les fini un par un” ?

La réponse d’un blog asexuel se suffit à elle-même, passons…

Dans une courte vidéo d’une série suisse intitulée les “4 vérités” (d’Agnés Giard du coup), elle exprime assez bien ses fondements.

D’abord elle nous parle des magasins de petites culottes usagées (“tièdes”) de jeunes filles et de son T-shirt à tête de mort (vraiment porté par un mort et acheté pour ça si j’ai bien compris),

Elle précise que les petites culottes vendues n’ont pas été portées par des mineurs.

Enfin, elle veut dire plus maintenant puisque les japonais ont été obligés de faire une loi pour l’interdire…

Puis elle répond à une question très intéressante du journaliste :

Dans ce mélange japonais d’érotisme et de mort, est-ce qu’il y a quelque chose qui vous rebute, vous vous êtes dit là s’arrête ma curiosité de chercheuse ?

Ah, tout est bon oui !

Non, ça me paraît difficile de porter un jugement sur la sexualité quel qu’elle soit.

Il importe d’abord de comprendre la logique qui sous-tend ces pratiques.

Et puis dès qu’on est dans le système de pensée des personnes qui sont dans un fétichisme par exemple, on est en mesure de se mettre à leur place.

Comme ça c’est clair !

Je vous fait grâce de son interprétation anti-cléricale des différentes traductions du mot “amour” traduit par “supplication”…

Décidément elle coche toutes les cases et c’est pas fini.

 

Alors là on va quand même replacé les choses.

Le Japon est le pays où la prostitution des mineurs est juste une institution et un fléau.

Le pays où la possession de pédopornographie n’a été interdite qu’en 2014

http://wanted-pedo.com/bis/letrange-laxisme-du-japon-envers-la-prostitution-infantile/

 

Mais ça Agnès n’en parle pas…

Par contre elle parle des poupées gonflables améliorées en silicone et vient même de sortir un bouquin sur le sujet.

C’est même son sujet de thèse ! (si, si…)

On suppose qu’elle n’y parle pas non plus des poupées d’enfants pour les pédos

http://wanted-pedo.com/bis/des-poupees-pour-pedocriminels-le-business-derangeant-dune-societe-japonaise/

 

Bref, le Japon c’est tellement formidable vous comprenez…

Là où ça se corse et où Agnès se dévoile c’est dans une série d’articles récents sur la magie sexuelle.

Elle nous y fait l’apologie de ces pratiques et notamment de l’Ordo Templi Orientis ou OTO qui revendique 500.000 membres dans 58 pays.

On rappelle que la magie sexuelle est à la base de toutes les pratiques pédosataniques.

Au moment du viol ou du meurtre de l’innocence et de la pureté d’un enfant le criminel prend son énergie sexuelle et vitale.

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Le problème, c’est que l’OTO est un réseau pédocriminel qui s’est notamment fait attrapé en Australie pour les habituels rituels de viols, tortures et meurtres d’enfants concernant des centaines d’enfants.

 

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Elle nous gratifie de deux autres articles où se mélange “Aleister Crowley” le pape du satanisme et veut nous faire croire que c’est vraiment “trop frais” la magie sexuelle.

Son dernier article traite de la bête 666 et encore de l’OTO, bref on croirait qu’elle vient d’intégrer une secte satanique et qu’elle kiffe trop…

On rappellera quand même qu’en 1977 et en 1979 le journal Libération donnait déjà plusieurs tribunes de soutien à la pétition du FLIP, le Front de LIbération des Pédophile.

Depuis plus de 40 ans ce journal démontre sa constance.

La libération n’est pas celle que l’on croit.

Et Agnès Giard porte sans complexe le flambeau de ses aïeux.

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