Les intellectuels de l’université déclarent que la pédophilie est « naturelle et qu’il est normal que les hommes soient excités par les enfants »
- La Prison avec sursis... C'est quoi ?
- 01/02/2016
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Une conférence universitaire qui s’est tenue à l’Université de Cambridge atteste que le sujet de la pédophilie est
« naturel et normal pour les hommes », que « au moins une minorité notable d’hommes normaux souhaiterait avoir des relations sexuelles avec des enfants, et que les hommes normaux sont excités par les enfants »
Ces avis ont été examinés lors d’une conférence qui s’est tenue l’an dernier dans le but de traiter de la classification de la sexualité dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), manuel psychiatrique international de base utilisé par le système officiel.
La conférence, dont le titre était « Classification de la sexualité : débat sur le DSM5 », avait réuni un certain nombre d’intervenants qui se sont exprimés en faveur de la sexualité avec des enfants, ce qui, au fond, est un soutien à la pédophilie .
L’Association Américaine des Psychiatres (APA), qui était organisatrice, était engagée dans un débat visant à déterminer si l’hébéphilie devrait compter comme un trouble. L’hébéphilie est une préférence sexuelle envers les enfants d’âge pubère soit de 11 à 14 ans.
Ce sujet fut discuté en raison du fait que les enfants sont pubères de plus en plus tôt et la définition courante de la pédophilie est l’attirance pour les enfants pré-pubères.
Parmi les intervenants et les participants enthousiastes se trouvait Tom O’Carroll, multiple abuseur d’enfants, qui fit une longue campagne pour la légalisation du sexe avec les enfants et anciennement à la tête de Paedophile Information Exchange (base d’information sur la pédophilie).
« C’est formidable ! » écrivit-il ensuite sur son blog. « Ce furent les rares journées durant lesquelles je me suis senti populaire ! ».
Le télégraphe a relaté :
Après des débats animés au sein de l’association américaine des psychiatres (APA), une proposition visant à inclure l’hébéphilie comme trouble dans la nouvelle édition du manuel a échoué. Cette proposition avait été soulevée parce que la puberté des enfants a débuté plus tôt durant les dernières décennies.
Il en résulte, et cela fut argumenté, que cette définition commune de pédophilie – attirance sexuelle pré-pubère – laissait de côté trop de jeunes enfants.
Ray Blanchard, professeur de psychiatrie à l’université de Toronto, qui a conduit le groupe de travail de l’APA sur ce sujet, a affirmé que, à moins qu’une autre façon ne soit trouvée pour englober l’hébéphilie dans le nouveau manuel, il était équivalent de « déclarer que la position officielle de l’APA est que la préférence sexuelle pour les enfants jeunes pubères est normale ».
Le professeur Blanchard fut à son tour critiqué par un intervenant lors de la conférence de Cambridge, Patrick Singy, de l’Union College de New York qui déclara qu’il serait abusif de retenir le diagnostic d’hébéphilie chez les abuseurs sexuels tels que les malades mentaux qui relèvent des lois US en tant que « prédateurs sexuels violents » même après qu’ils ont purgé leur peine.
Mais la présentation la plus controversée de toutes fut sans doute, celle de Philip Tromovitch, professeur à l’université Doshisha au Japon, qui déclara dans un exposé sur la « prévalence de la pédophilie » que « la majorité des hommes sont probablement pédophiles et hédéphiles » et que « l’intérêt pédophile est normal et naturel chez tout mâle humain ».
O’Carroll, l’ancien leader de PIE, en fut tout ému et décrivit sur son blog comment il retrouva le professeur Tromovitch et un collègue devant un verre après la conférence. « La conversation se déroula de façon agréable, avec des boissons et la magnifique rivière Cam » dit-il.
Source: http://truthuncensored.net/
Article traduit par une membre sympathisante
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