Épinal | 12 ans de prison pour le père qui violait ses enfants

Le père de famille qui comparaissait devant la Cour d’assises des Vosges de lundi à mercredi a été condamné à 12 ans de réclusion criminelle pour le viol de ses deux fils et de son beau-fils.
Une peine plus clémente que celle encourue par le code pénal de vingt ans.

Le père de famille qui comparaissait devant la Cour d’assises des Vosges de lundi à mercredi a été condamné à 12 ans de réclusion criminelle pour le viol de ses deux fils et de son beau-fils. Une peine plus clémente que celle encourue par le code pénal de vingt ans.
Le père de famille qui comparaissait devant la Cour d’assises des Vosges de lundi à mercredi a été condamné à 12 ans de réclusion criminelle pour le viol de ses deux fils et de son beau-fils. Une peine plus clémente que celle encourue par le code pénal de vingt ans.

Le sexagénaire qui était accusé de viols sur ses deux enfants à la fin des années 90 et de son beau-fils (l’enfant de sa compagne de l’époque qui a entre temps été condamnée pour assassinat) a été condamné mercredi soir à 12 ans de réclusion criminelle par la Cour d’assises d’Epinal dans les Vosges.

Dès lundi, les victimes se sont succédées à la barre pour raconter les sévices sexuels perpétrés par leur propre père ou beau-père.

Récemment, entre quinze et vingt-ans plus tard après les faits présumés, les trois victimes se sont enfin décidées à dénoncer leur père ou beau-père à la justice. L’accusé pendant l’instruction judiciaire a formellement démenti les accusations de ses deux fils et de son beau fils, reconnaissant toutefois avoir eu des relations sexuelles «consenties» avec… son beau-fils.

L’avocat général avait requis 12 ans de prison mercredi en fin d’après-midi.
Les jurés de la Cour d’assises ont suivi les réquisitions alors que le prévenu risquait 20 ans de réclusion criminelle pour viols avec circonstances aggravante notamment liées aux liens familiaux entre les victimes et l’agresseur.

Le procès de l’horreur

Pendant le procès, l’un des enfants violé par son père a expliqué dans le détail devant la Cour d’assises la pression psychologique qu’il subissait.

À l’époque, l’un des frères alors adolescent qui est fan de l’Olympique de Marseille (OM) demande à son père de lui acheter un maillot de son équipe préférée. Il accepte mais en échange d’une fellation de son fils.

D’après son témoignage glaçant livré mardi devant la Cour, le père de famille forçait régulièrement son fils à se livrer à ces faveurs sexuelles en échange de cadeaux ou d’argent.

Le frère qui a subi moins longtemps (quatre mois) les ardeurs sexuelles de son père a livré un témoignage en ce sens.
Il était forcé à faire des fellations à son père alors qu’il était âgé de 16 ans.

Quant au beau fils (sa mère était en couple avec le prévenu mais a été incarcérée pour assassinat entre temps), il a assuré qu’il a aussi été forcé à des faveurs sexuelles dont de nombreuses fellations.

Pire, il était forcé à regarder des films zoophiles, à jouer à la console de jeu en robe de chambre pour mettre «en valeur» son sexe ou encore toucher le sexe d’autres hommes, des connaissances de ce père de famille.

Source: http://loractu.fr/vosges/

L’équipe Wanted Pedo a été contactée par une personne ayant assistée au procès de cet individu. Elle nous a fait part d’un élément important non inscrit sur les articles relayés par la presse. Concernant ce verdict, le parquet a pris en compte la récidive de cet homme.

Ce père incestueux a été jugé en 1988 pour viol sur sa fille. Nous trouvons nécessaire de le notifier. 


Le père projetait des films zoophiles et violait ses deux fils

Des gendarmes à la recherche d'indices. PHOTO : ILLUSTRATION/ GENDARMERIE NATIONALE
Des gendarmes à la recherche d’indices. PHOTO : ILLUSTRATION/ GENDARMERIE NATIONALE

Un procès particulièrement sordide s’est ouvert ce lundi dont le verdict est attendu mercredi soir devant la Cour d’assises d’Epinal dans les Vosges. Il y a vingt-ans, un père de famille aurait violé à plusieurs reprises et de manière régulière ses deux fils.

Durant quatre ans, de 1992 à 1996, l’enfant qui était alors âgé de 12 ans affirme avoir été violé presque quotidiennement par son père. Pendant des années, le jeune garçon assure avoir été sous l’emprise de son père aujourd’hui âgé d’une soixantaine d’années.

Les jurés devront aussi se prononcer sur le cas de son frère qui lui aussi affirme avoir été violé pendant plusieurs mois pendant l’année 1996 alors qu’il était âgé de 16 ans.

Le père de famille qui sera sur le banc des accusés semble avoir un goût prononcé pour les jeunes garçons puisque des accusations similaires ont été lancées par son beau-fils, l’enfant de sa compagne de l’époque, qui aurait été violé pendant quatre ans de 92 à 96 alors qu’il était âgé de 16 ans.

Avec une forte emprise psychologique et des menaces, il l’aurait lui aussi forcé à avoir des relations sexuelles.

Un procès plusieurs années après les faits

Récemment, entre quinze et vingt-ans plus tard après les faits présumés, les trois victimes se sont enfin décidées à dénoncer leur père ou beau-père à la justice. L’accusé pendant l’instruction judiciaire a formellement démenti les accusations de ses deux fils et de son beau fils, reconnaissant toutefois avoir eu des relations sexuelles «consenties» avec… son beau-fils.

Le viol d’un mineur de plus de 15 ans est puni de 15 ans de prison. Les attouchements sexuels sont punis de 5 ans d’emprisonnement dans le même cas, selon le code pénal.

Si la victime a moins de 15 ans, le viol est puni de 20 ans et les attouchements de 10 ans de prison et 150 000 € d’amende.
Le père de famille risque d’ailleurs une lourde peine à cause de la circonstance aggravante de l’ascendance (inceste).

À noter que les infractions sexuelles sur mineur bénéficient de délais de prescription allongés. C’est-à-dire que la plainte peut avoir lieu des années après les faits.
La victime de telles infractions peut porter plainte jusqu’à ses 38 ans dans les cas les plus graves notamment s’il s’agit de viols.

Fellations contre cadeaux, films zoophiles

Pendant le procès dont le verdict est attendu ce mercredi soir, l’un des enfants violé par son père a expliqué dans le détail devant la Cour d’assises la pression psychologique qu’il subissait.

À l’époque, l’un des frères alors adolescent qui est fan de l’Olympique de Marseille (OM) demande à son père de lui acheter un maillot de son équipe préférée. Il accepte mais en échange d’une fellation de son fils.

D’après son témoignage glaçant livré mardi devant la Cour, le père de famille forçait régulièrement son fils à se livrer à ces faveurs sexuelles en échange de cadeaux ou d’argent.

Le frère qui a subi moins longtemps (quatre mois) les ardeurs sexuelles de son père a livré un témoignage en ce sens. Il était forcé à faire des fellations à son père alors qu’il était âgé de 16 ans.

Quant au beau fils (sa mère était en couple avec le prévenu mais a été incarcérée pour assassinat entre temps), il a assuré qu’il a aussi été forcé à des faveurs sexuelles dont de nombreuses fellations.

Pire, il était forcé à regarder des films zoophiles, à jouer à la console de jeu en robe de chambre pour mettre «en valeur» son sexe ou encore toucher le sexe d’autres hommes, des connaissances de ce père de famille.

Le prévenu encourt jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle. Le verdict est attendu ce mercredi soir après les réquisitions de l’avocat général en fin d’après-midi.

Source: http://loractu.fr/

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