Une rescapée d’un réseau pédocriminel de l’élite témoigne
- La Prison avec sursis... C'est quoi ?
- 21/12/2016
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Anneke Lucas est née en Belgique et a été vendue à un réseau de trafic sexuel à l’âge de six ans. Ce réseau a fait les gros titres en 2004 lors du scandale de pédophilie impliquant Marc Dutroux, qui affirmait faire partie d’”un réseau qui comprenait des membres de haut rang des forces de police et du gouvernement.” A partir de 1969, Lucas a été abusée par le réseau qui a commis sur elle des actes de violences sexuelles et qui l’a torturée avant de la libérer en 1974 lorsqu’elle avait onze ans.
Lucas affirme avoir reçu des instructions de survie par celui qui l’a sauvée qui comprenaient le fait de déménager à Londres, Paris et New York. Après avoir vécu dans les trois villes en tant que jeune adulte, elle a déménagé à Los Angeles en 1986 où elle a commencé la thérapie, le yoga et la méditation.
Voici le récit de cette rescapée d’un réseau, de même type que celui évoqué dans le scandale du pizzagate, dont les médias ne veulent pas parler. La vidéo qui va suivre comporte des descriptions de sévices vraiment durent à entendre.
“J’ai était élevée en Belgique et ai été vendue à un réseau pédocriminel aux alentours de mon 6ème anniversaire. J’ai été abusée dans ce réseau pendant 5 ans et demi. Des hommes adultes qui faisaient partie de ce club exclusif étaient là pour des raisons très variées.
Il y avait beaucoup d’alcool et de drogues et les enfants servaient de marchandises, ils étaient les marchandises qui avaient le plus de valeur et étaient surtout violés mais il y a un certain nombre d’aristocrates qui faisaient parti de ce club et qui aimaient aussi tuer les enfants.
Puis, un jour mon heure est venue. A l’âge de 11 ans, j’allais être tuée. J’ai été torturée car quelqu’un qui m’avait protégée pendant un certain temps puis qui m’avait abusée vraiment violemment en avait fini avec moi. J’ai été attachée à un bloc de boucher. Il était noir à cause du sang de tous les enfants qui étaient passés par là avant moi.
J’étais là pendant plusieurs heures. Mon corps est plein de cicatrices. Et chaque cicatrice me rappelle ce moment. Je pensais que j’allais être tué comme tous les enfants qui n’étaient pas assez appréciés pour qu’ils restent en vie. Et j’allais être oubliée moi aussi. Et je n’étais pas prête à mourir. Quelqu’un appartenant à ce réseau m’aimait suffisamment pour me sauver. Cette torture a duré plusieurs heures.
Cependant, j’étais dans ce réseau pendant 5 ans et demi. Pendant cette période, j’ai été violé, beaucoup, beaucoup, beaucoup de fois. Mes cicatrices ne permettent pas de mesurer à quel point j’ai été violé mais j’ai fais un calcul. Habituellement, il s’agissait d’une nuit entière pendant le weekend. Donc j’ai estimé que j’ai été violé environ 6 heures par semaines, 1716 heures de viols avant mes 12 ans…[…]”
On pourrait penser qu’un témoignage aussi poignant et impliquant un réseau pédocriminel de l’élite ferait le tour des médias internationaux : pas du tout. Actuellement, on ne trouve son témoignage que sur la chaine Youtube de l’emission de RT “In The Now”…et c’est tout. Son témoignage a pourtant été publié il y a 2 jours sur la toile.
Malheureusement, les termes “réseau pédocriminel” plus “élite” n’ont jamais fait bon ménage dans les médias qui préfèrent ne pas parler de ce sujet ou alors les faire passer pour de fausses informations. Pourtant, ces réseaux existent. Ils ne sont pas rares et cela n’a pas lieu qu’en Belgique.
“Viols d’enfants : la fin du silence » est un reportage présenté par Elise Lucet sur France 3 le 27 mars 1999. Ce reportage révèle l’existence d’un réseau pédo-satanique actif sur la France en dévoilant l’enfer vécu par plusieurs enfants qui expliquent avoir été abusés au cours de cérémonies très étranges qu’ils représentent sur des dessins.
Dans ce reportage et au cours du débat qui s’ensuit, il est question de viols, de meurtres rituels, de têtes coupées, de charniers d’enfants (notamment en région parisienne selon les propos du substitut du procureur Bouillon), mais il est aussi question de l’attitude étrange de la Justice qui malgré les nombreux éléments à charge du père, dont les extraits de différentes conversations éloquentes provenant d’écoutes téléphoniques, oblige ces enfants à retourner chez leur père contre leur gré et malgré leurs larmes.
Les témoignages des enfants sont discrédités sous prétexte qu’ils sont doués d’un imaginaire fantasmatique particulièrement fertile alors que plusieurs psychiatres et spécialistes affirment qu’ils ne peuvent pas avoir inventé ce qu’ils racontent avoir vécu.
En visionnant cette vidéo sur Internet, vous percevrez à travers leurs témoignages, l’intensité de leurs souffrances, de leurs peurs lorsqu’ils expliquent avec leurs mots d’enfant ce qu’ils ont vécu et ne veulent surtout plus vivre. Ce genre de témoignages ne permet pas de douter de la véracité des faits.”
Source : fawkes-news.com
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