Reims | Un homme violait sa belle-fille de 14 ans, le tribunal le relaxe !
- La Prison avec sursis... C'est quoi ?
- 26/12/2017
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Ce mercredi 20 décembre, un homme de 32 ans comparaissait devant le tribunal correctionnel de Reims. Il était accusé de viols et d’abus sexuels par sa belle-fille, une mineure de moins de 15 ans à l’époque des faits.
Olivier* avait 29 ans. Sa belle fille, 14 ans seulement.
À la barre du tribunal, l’accusé ne nie pas avoir couché à de nombreuses reprises avec elle, mais il prétend que cette relation était “parfaitement consentie”.
Mieux encore : ce Martiniquais jure ne pas l’avoir spécialement souhaitée.
Selon lui, c’est sa belle-fille qui lui aurait fait du “rentre-dedans”… quand elle avait 12 ans !
“Je l’ai repoussée, j’ai refusé, mais elle est revenue à la charge quelques années plus tard “, s’excuse-t-il presque devant le tribunal.
Mais visiblement, il n’a pas eu trop de mal à céder.
La relation entre Olivier et sa belle-fille a en effet commencé à Kourou en Guyane où ils vivaient à l’époque.
Ils se “voyaient” plusieurs fois par semaine et parfois même, “l’affaire” se faisait sur le lieu de travail d’Olivier.
Cependant, c’est seulement après avoir déménagé à Reims en 2015, où leur “relation” s’est un temps poursuivie, que sa belle-fille s’est enfin décidée à porter plainte contre lui.
La jeune fille était hélas absente à l’audience.
Cependant, sa version des faits n’a rien à voir avec celle de son beau-père puisqu’elle assure avoir été contrainte de coucher avec lui.
Pendant longtemps, elle n’a rien osé dire.
Elle n’osait même pas mettre les mots “viols” et “abus sexuels” sur ces agressions.
Elle avait peur de lui.
Olivier lui aurait même fait jurer sur la Bible de ne jamais parler à quiconque de cette “relation”.
“C’est notre petit secret…”
Malheureusement pour notre jeune plaignante, les avocats de son beau-père ont fait du bon boulot.
Lors de leur plaidoirie, ces derniers ont même prétendu que certains de leurs ébats sexuels avaient été filmés… à la demande de l’adolescente !
Alors que le procureur avait requis sept ans de réclusion criminelle contre l’accusé, le tribunal l’a finalement relaxé au “bénéfice du doute”.
L’homme avait cependant effectué un an de détention provisoire entre mai 2016 et 2017.
Source : Le Nouveau Détective
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