Pétition | #LIBEREZNOA, rendez-la à sa famille, à sa maman, et faites juger les pédocriminels
- La Prison avec sursis... C'est quoi ?
- 18/02/2020
- 00:00
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#LIBÉREZNOA #PÉTITION
Je m’appelle Sabrina, j’ai 41 ans, je suis artiste auteur, compositeur, interprète, autodidacte et sans diplôme universitaire.
Ma fille, Noa Rose, est née le 15 février 2009.
L’ambiance dans mon couple pendant ma grossesse était délétère. Mon compagnon n’était jamais là, même quand il était à la maison. J’ai pris 40 kilos et j’avais perdu le physique charmant qui avait pu le séduire.
Après la naissance de ma fille, l’une des associés qui finançait mon premier album studio s’est retirée et le projet a dû être enterré avec les deux années de travail passées dessus. J’ai fait une dépression post-partum.
Le père de ma fille, étudiant en médecine, m’a regardé m’enfoncer dans la dépression puis m’a faite interner en psychiatrie sur un motif fallacieux (bipolaire) et avec un certificat médical mensonger (Une demande d’ouverture d’une information judiciaire a été déposé devant le juge d’instruction en février 2019 et sans suite à ce jour).
A l’hôpital ils m’ont trouvé pas moins de 4 pathologies différentes comme bipolaire, paranoïaque, état limite, bipolaire mais selon Lacan (apparemment ce serait différent), etc…
J’ai été hospitalisée en tout cinq fois en deux ans, dont deux de ma propre initiative. J’étais lourdement médicamentée. Mon compagnon me prescrivait du TRAMADOL, en plus des traitements de l’hôpital, sur ordonnances volées en 2010 durant ses stages d’interne au CHU. La dernière hospitalisation était suite à une tentative de suicide, en aout 2012, qui coïncide avec ma séparation du père de ma fille. Je suis reconnue handicapée depuis.
Suite à notre séparation, le père de ma fille s’est rapidement fiancé avec celle qui apparaîtra comme ayant été sa maitresse durant notre vie commune. Ils se marieront en juillet 2013.
Le 1er janvier 2015, ma fille me révèle qu’elle a un secret avec un adulte et qu’elle ne peut pas me le dire parce que ça ne va pas me plaire.
Je me suis remémorée l’inquiétude de la grand-mère paternelle de ma fille quand elle m’expliquait qu’elle trouvait systématiquement Noa enfermée seule dans la chambre du père de sa future belle-fille, quand elle se rendait chez eux pour les fiançailles et les préparatifs du mariage. Son fils lui ayant demandé de se mêler de ses affaires quand elle a essayé de lui faire la remarque.
J’ai décidé de déposer plainte devant le Police et là, je me suis heurtée à ce que je sais maintenant être un réseau d’influences occultes.
Quand j’ai compris que les avocats ne feraient rien pour ma fille, excepté prendre l’argent de ma mère, j’ai acheté les Codes Civil, Pénal et de Procédures, j’ai lu toutes les jurisprudences de la Cour Européenne des Droits de l’Homme et celles de la Cour de Cassation qui se rapprochaient de près ou de loin de mon histoire. Pendant dix-huit mois, jours et nuits, j’ai appris mes Droits et ceux de ma fille.
L’enquête de Police a été viciée dès le départ, le Parquet a classé et le Juge d’Instruction que j’ai saisi n’a pas daigné rédiger lui-même son ordonnance de non-lieu, il a copié/collé le réquisitoire du Parquet privant ainsi ma fille d’un Juge indépendant.
Ma fille de 5 ans a parlé des agressions sexuelles qu’elle subissait devant la policière qui l’a interrogée seule équipée d’un gilet pare-balle, elle a parlé des cunnilingus imposés par son agresseur devant la Juge des enfants qui lui demande si ça ne lui a pas plus. Noa dira qu’elle dort chez son agresseur régulièrement et qu’elle a peur de déplaire à son père. La Juge lui expliquera qu’elle ne fera rien pour elle, que c’est un autre Juge qui va décider. La Juge des enfants placera ma fille chez son père en garde exclusive et le JAF confirmera.
Le père n’a eu qu’à invoquer ma « folie » dès le départ et faire jouer quelques relations non dissimulées. A noter que le père de ma fille s’est associé familialement mais aussi professionnellement avec le violeur de sa fille.
La grand-mère paternelle, dentiste, a constaté des lésions sur sa petite-fille et rapporte des propos de l’enfant qui ne laissent aucuns doutes quant aux viols que la petite a subi pourtant, elle a été complètement occultée par les autorités puis discréditée par son propre fils.
Ma fille est, depuis, en contact régulier et normalisé avec son agresseur.
Le problème c’est qu’ils ont tous sous-estimé ma détermination.
Depuis que j’ai appris mes Droits, j’ai saisi toutes les juridictions possibles de France et de Navarre puisque j’ai saisi la Cour de Cassation, le Conseil D’Etat, la Cour Européenne des Droits de l’Homme et le Comité contre la torture de l’ONU.
Ils m’ont tous, sans exception, rejetés sans justifications alors qu’ils y sont tenus.
Je vais de jugements incompréhensibles en jugements de complaisance comme le JAF de 2018 qui me retire mon autorité parentale alors que je réside au Portugal et qu’il est incompétent géographiquement pour le faire (Article 1202 du Code de Procédure Civile), mais il le fait tout de même.
En mai 2019, j’ai décidé de médiatiser toute l’affaire ainsi que tous les protagonistes nommément, fonctionnaires compris.
La réaction fut brutale : arrestations arbitraires, gardes à vues arbitraires, intimidations, expertises psychiatriques, comparution immédiate et contrôle judiciaire.
Le Parquet de Grenoble n’a pas supporté que je dévoile un document qui prouve l’inimitié qu’il peut entretenir à mon encontre et, puisque plusieurs dizaines de milliers de personnes l’ont vu sur internet, cette inimitié est notoire.
En 2015, le JAF ordonne une expertise psychologique de la famille qui ne révèle aucune anomalie notable me concernant ou concernant le père de ma fille.
Mon psychiatre du CMP, qui me suit depuis ma sortie du premier internement arbitraire en 2010, ne cesse de fournir, depuis 2015, des attestations médicales expliquant que je ne présente pas de signe de maladie mentale, que mon état a évolué positivement depuis 2010, que j’ai toujours été une mère soucieuse du bien-être de mon enfant car toujours prête à la confier à ses grand-mères et à me faire aider dans les moments difficiles que j’ai pu traverser avec la psychiatrie. Il précise aussi que je ne nécessite pas de traitement ni d’hospitalisation et que je sais demander de l’aide.
Le Parquet est en possession de tous ces documents et malgré tout, Monsieur le Procureur de la République, au printemps 2018, décrètera que je ne jouirais pas de toutes mes facultés mentales donnant ainsi au père de ma fille un document officiel, émanant de l’autorité judiciaire, confirmant ce que lui seul prétendait jusqu’alors.
Je n’ai eu connaissance de ce document qu’en septembre 2019. Le père de ma fille l’a versé en pièce dans ses conclusions JAF. Dès lors j’ai commencé à comprendre d’où pouvaient venir toutes ces décisions et autres rejets incompréhensibles des juridictions Nationales et Internationales que j’avais saisies. L’avis du Procureur étant requis dans chacune des procédures judiciaires Nationales et Internationales.
J’ai soulevé cette anomalie au JAF en septembre 2019 ainsi que la spoliation de mon autorité parentale par son prédécesseur l’année précédente mais, sans surprise, le JAF rendra un jugement accablant à mon encontre et m’accordera un droit de visite médiatisées sauf qu’il y a une liste d’attente, dans le point rencontre sélectionné par le Juge, et je ne pourrai revoir ma fille que dans dix mois alors qu’on ne s’est pas vues depuis le 24 juin 2018.
J’ai fait une vidéo sur Youtube expliquant ces faits. Elle s’est vue quelques dizaines de milliers de fois, avec beaucoup de partages, et a été limitée par la plateforme donc n’est plus accessible depuis la France.
J’ai déposé une plainte devant le nouveau Procureur de la République contre son prédécesseur en retraite anticipée depuis fin 2018 et responsable du document qui me qualifie mentalement de manière frauduleuse, mais Monsieur le nouveau Procureur classe sans suite en violant l’article 79 du Code de Procédure Pénale puisque ma plainte était criminelle.
Des plaintes sont déposées contre moi pour des faits d’outrage, de diffamation et de harcèlement suite à mes vidéos de dénonciation.
Monsieur le nouveau Procureur décide enfin de me faire passer une expertise psychiatrique en décembre 2019 pour s’assurer de ma capacité à être jugée, contrairement à ce que le Parquet avait “diagnostiqué” l’année d’avant et l’experte me déclarera apte à être jugée.
Monsieur le nouveau Procureur va ordonner deux nouvelles gardes à vues arbitraires les 3 et 6 février 2020 suivie, pour la dernière, d’un déferrement au Tribunal pour une comparution immédiate alors qu’il n’y avait ni d’atteintes aux biens ni d’atteintes aux personnes mais seulement des mots, des vérités qui dérangent.
A l’audience, ils m’ont imposé le silence médiatique pour éviter la mise sous écrou et ont ordonné une nouvelle expertise psychiatrique pour approfondir ma personnalité !?
Ils veulent juger ma personnalité pour continuer de nier les viols commis sur ma fille et la laisser toujours plus isolée chez son père, puisque ce dernier a même sorti judiciairement les deux grand-mères de la vie de Noa. Ma fille ne voit plus personne de sa famille biologique !?
Je ne suis un danger ni pour moi-même, ni pour les autres, je ne suis pas une menteuse, j’ai toujours respecté les règles de la société et j’estime avoir le Droit d’être ce que je suis sans avoir à me justifier ou en avoir honte.
Je demande à Monsieur le Procureur de la République de Grenoble de mettre en oeuvre TOUTES mesures de protection IMMEDIATE de l’enfant Noa Rose LEVY, victime de viols, d’agressions sexuelles, de manipulations et de harcèlement moral depuis 2015.
Monsieur le Procureur de la République est compétent pour saisir un Juge des enfants qui, lui même, est compétent pour Ordonner le placement provisoire de ma fille chez moi, puisque le Juge des enfants a su le faire pour Monsieur le père en 2018 sans motif valable. Il paraîtrait que : “l’état mental de la mère la prive de tout discernement” selon le Juge !? Merci Monsieur COQUILLAT !
Tout ce que je demande à Monsieur le Procureur de la République du TGI de Grenoble c’est de respecter la Loi et de la faire respecter POUR TOUT LE MONDE DE LA MEME MANIERE (ART. 1 de la Constitution française).
#LIBEREZNOA
Sabrina Bourré
Pour signer la pétition, veuillez suivre ce lien ==> Tgignews
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