Genlis | Viol à l’école : l’instituteur remis en liberté, témoigne

L’école maternelle, à Lille, où un instituteur a été suspendu en mars 2017 – O. Aballain / 20 Minutes

Mise à Jour du 15/11/2017 : La mise en examen de l’instituteur a été levée, il est maintenant sous statut de témoin assisté. Source : France 3 Régions

Genlis : l’instituteur accusé de viol témoigne

Le 17 novembre 2016, les gendarmes plaçaient en garde à vue Éric P., 42 ans, instituteur remplaçant à l’école maternelle La Chênaie, à Genlis. Il avait été désigné par une élève de 4 ans comme son agresseur sexuel. Les examens médicaux avaient montré que l’enfant avait subi un viol. Les faits se seraient déroulés le 14 novembre.

Le 19 novembre, à l’issue d’une garde à vue prolongée au cours de laquelle il avait constamment nié être l’auteur de l’agression sexuelle, l’instituteur avait été mis en examen du chef de viol et placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Dijon. Il avait été immédiatement suspendu de l’Éducation nationale.

Le 24 mars, il était sorti de prison, mais restait mis en examen du chef de viol et était placé sous contrôle judiciaire strict et éloigné à 450 km de Dijon.

Mais depuis, l’enquête a connu plusieurs rebondissements ( lire nos éditions des 30 novembre 2016, 23 mai et 9 juin derniers ), et Éric P. continue de clamer son innocence.

Source : Le Bien Public

Mis en examen pour viol et écroué en novembre, l’instituteur de Genlis a été remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire.

L’enquête se poursuit.

Nous relations, dans nos éditions de novembre, la façon dont les gendarmes avaient interpellé un instituteur de 42 ans, enseignant à l’école maternelle de la Chênaie, à Genlis, après le viol d’une petite élève de 4 ans.

La fillette s’était confiée à ses parents le 16 novembre : elle leur avait dit avoir subi des attouchements de la part de l’instituteur remplaçant, arrivé à l’école deux jours plus tôt.

Les gendarmes et le procureur de la République avaient été alertés et une enquête avait immédiatement débuté.

D’abord par une série d’examens menés par les experts médico-légaux du centre d’accueil des victimes d’agressions sexuelles et des enfants maltraités (Cavasem) : il avait été démontré que la fillette avait été victime d’un viol.

Plusieurs personnes, dont l’enseignant mis en cause par la fillette (et suspendu à titre conservatoire par l’Éducation nationale sitôt le signalement effectué), avaient été entendues par les gendarmes de Genlis et de la brigade des recherches de la compagnie de Dijon.

Source : bienpublic

Source(s):