Dunkerque | Eric Kempe accusé d’agression sexuelle sur deux jeunes garçons

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Le consommateur de pédopornographie détenait également des photos dénudées de sa fille de 11 ans
Justice laxiste pour des notables dunkerquois qui s’échangeaient par courriel des vidéos de bébés violés. Ils en profitaient pour s’échanger des commentaires tels que « J’ai hâte que tes enfants aient des bébés ! Tu me les prêteras ? »

Actualisation du 19 mai 2023 :

Condamnations à des peines fermes légères pour :
🐷 Eric Kempe,
65 ans, ancien ingénieur EDF et ancien élu du parti LR. Mais aussi Homme de confiance du Maire (Franck Dhersin) et adjoint à la Sécurité de la Mairie de Téthegem.

Ainsi que pour
🐷 Stéphane Bak
, 51 ans, patron (ou ex) de l’agence de travail intérimaire “Back Emploi” à Arras, ancien éducateur (ndlr : la police a-t’elle bien enquêté sur d’éventuelles victimes ? voir source 9 ) du club de rugby de Couderkerque-Branche, (ancien ?) président du Bay Car Blues Festival et actuel président de la holding “Djob”, crée en 2019, située à Grande-Synthe.

Eric Kempe, écope de 18 mois de prison, dont 9 mois ferme. (8 mois selon la source 2)

A noter qu’ Eric Kempe doit encore être jugé pour des agressions sexuelles sur deux mineurs à Lille (voir ci-dessous).

Stéphane Bak, est condamné à une pleine plus lourde, 3200 vidéos d’enfants et de bébés violés avaient été retrouvés en sa possession.

Parmi les fichiers se trouvaient des photos de sa fille de 11 ans dénudée et de la zoophilie.

Il partageait sa « déviance » avec ses « copains » et d’autres personnes adeptes de la pédopornographie dont Kempe.
il est condamné à 2 ans de prison dont 1 an ferme, avec mandat de dépôt à délai différé.

Revenons au 6 juin 2016, Éric Kempe, l’adjoint à la Sécurité de la mairie de Téteghem, était placé en garde à vue et son domicile perquisitionné, dans le cadre d’une affaire de pédopornographie.

La justice le suspectait d’avoir échangé avec Stéphane Bak, un Grand-Synthois chef d’entreprise et éducateur sportif ,des photos à caractère sexuel “insoutenables”, mettant en scène des enfants.

Dans ce dossier particulièrement sordide, Éric Kempe, qui avait reconnu les faits, avait été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire.

Parmi les obligations que la justice lui avait fixées figurait l’interdiction d’entrer en contact avec des mineurs.

L’adjoint, qui avait démissionné de ses fonctions aussitôt après les faits, était parti se « ressourcer », ou plutôt se faire oublier à Lille.

Cependant, dans le métro lillois, un adolescent s’était plaint d’avoir subi des attouchements et avait dénoncé le comportement déviant d’un homme.

Ce dernier avait été interpellé. Il s’agissait d’Éric Kempe.

Alors qu’il était transporté au commissariat, une autre plainte était déposée par un adolescent disant avoir été victime d’une agression sexuelle de la part d’un homme rencontré sur Internet.

Et de donner le nom de son agresseur présumé : Éric Kempe.

Les policiers lillois s’étaient vite aperçus qu’ Eric Kempe faisait l’objet d’un contrôle judiciaire ordonné après l’affaire de pédopornographie dunkerquoise et avaient contacté le parquet de Dunkerque.

Ce dernier avait immédiatement ordonné la révocation de son contrôle judiciaire et Kempe avait été écroué.

Source 1

Source 2

Source 3

Source 4

Source 5

Source 6

Source 7

Source 8

Source 9

Source 10

Actualisation du 17 Mai 2023:

Deux dunkerquois viennent d’être condamnés pour avoir visionné des images pédopornographiques d’une rare violence…

Les deux prévenus appartiennent à un milieu social plutôt aisé : le premier, Eric Kempe, est un ancien adjoint au maire de Teteghem, le second est chef d’entreprise, Stéphane Bak.

L’ancien adjoint écope de 18 mois de prison, dont 9 mois ferme.

Le chef d’entreprise est condamné à une pleine plus lourde, des vidéos d’enfants et de bébés violés ont été retrouvé en sa possession, il est condamné à deux ans de prison dont un an ferme, avec mandat de dépôt à délai différé.

Article du 2 Septembre 2016:

Éric Kempe, l’ex-deuxième adjoint au maire de Téteghem, est mis en examen dans une affaire de pédopornographie, a été placé en détention provisoire. Son contrôle judiciaire a été révoqué suite à des dénonciations d’agressions sexuelles sur des adolescents à Lille.

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Le 6 juin 2016, Éric Kempe, l’adjoint à la Sécurité de la mairie de Téteghem, était placé en garde à vue et son domicile perquisitionné, dans le cadre d’une affaire de pédopornographie.

La justice le suspecte d’avoir échangé avec Stéphane Bak, un Grand-Synthois chef d’entreprise et éducateur sportif ,des photos à caractère sexuel “insoutenables”, mettant en scène des enfants. Dans ce dossier particulièrement sordide, Éric Kempe, qui avait reconnu les faits, avait été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire.

Parmi les obligations que la justice lui avait fixées figurait l’interdiction d’entrer en contact avec des mineurs.

Plaintes à Lille

L’adjoint, qui avait démissionné de ses fonctions aussitôt après les faits, était parti se « ressourcer », ou plutôt se faire oublier à Lille. La semaine dernière, dans le métro lillois, un adolescent s’est plaint d’avoir subi des attouchements et a dénoncé le comportement déviant d’un homme. Ce dernier a été interpellé. Il s’agissait d’Éric Kempe.

Alors qu’il était transporté au commissariat, une plainte était déposée par un adolescent disant avoir été victime d’une agression sexuelle de la part d’un homme rencontré sur Internet. Et de donner le nom de son agresseur présumé : Éric Kempe.

Les policiers lillois se sont vite aperçus que le Téteghemois faisait l’objet d’un contrôle judiciaire ordonné après l’affaire de pédopornographie dunkerquoise. Ils ont contacté le parquet de Dunkerque.

Les magistrats ont immédiatement ordonné la révocation de son contrôle judiciaire. Éric Kempe a été écroué vendredi dernier.

Il devra par ailleurs répondre des faits qui ont été dénoncés à Lille et qui ont fait l’objet d’ouvertures d’enquêtes pour agressions sexuelles sur mineurs.

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