Bouches-du-Rhône | Condamné à 15 ans en appel pour avoir violé une adolescente

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L’homme a été reconnu coupable de sept des huit chefs d’accusation qui le visaient
Condamné en première instance à 14 ans de prison, un homme a écopé d’une année de prison supplémentaire mercredi 14 février 2024. La cour d’assises des Bouches-du-Rhône l’a reconnu coupable de sept infractions, dont le viol d’une adolescente.

Un homme de 38 ans a été condamné en appel à 15 ans de réclusion criminelle mercredi 14 février 2024 par la cour d’assises des Bouches-du-Rhône pour viol sur une adolescente de 14 puis 15 ans, ainsi que détention et consultation habituelle d’images à caractère pédopornographiques. Il a en plus écopé d’un suivi sociojudiciaire de cinq ans avec obligation de soins à l’issue de sa détention, rapporte La Provence.

Des mesures en plus de la peine de prison

La justice a par ailleurs prononcé à son encontre une interdiction d’exercer une activité professionnelle ou bénévole en contact avec des mineurs pendant dix ans.

L’homme, conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation, était jugé depuis lundi 12 février à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), détaille le journal local.

En première instance, l’accusé avait été condamné à 14 ans de prison par la cour d’assises de Nice (Alpes-Maritimes).

Il s’avère que le mis en cause avait obtenu des photos intimes et avait eu des rapports sexuels avec une adolescente de 14 ans rencontrée en ligne.

Elle a répété à L’audience ne pas avoir été consentante.

Pour arriver à ses fins, l’accusé aurait menacé la jeune fille, notamment de diffuser des photos d’elle nue.

L’accusé avait nié les faits, tout comme il avait assuré ne pas avoir été au courant de l’âge de la victime.

La victime s’est exprimée

Au procès, il a finalement reconnu avoir eu avec elle des relations sexuelles avant qu’elle n’ait 15 ans.

Les avocats de l’accusé ont expliqué qu’il avait commencé un travail avec un psychothérapeute, indiquent nos confrères.

L’homme a tout de même été reconnu coupable de sept des huit chefs d’accusation qui le visaient.

La victime, elle, ne s’est pas portée partie civile dans ce nouveau procès mais a témoigné en visioconférence.

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