Arras | Des faits de détention d’images pédopornographiques requalifiés en recel, la mère de famille écope de prison avec sursis !

Cette ancienne institutrice avait expliqué qu’elle avait voulu « suivre les fantasmes de son mari ». Un policier qui s’était suicidé en détention en 2018 à la suite de cette affaire.

Jugée pour détention d’images pédopornographiques et recours à la prostitution de mineurs en Thaïlande, la maman a finalement été condamnée pour recel de photos pédopornographiques. Quand aux faits de prostitution de mineurs en Thaïlande, les analyses n’ont pas pu prouver l’âge des personnes présentes sur les vidéos !

Mardi 13 octobre, après requalification des faits, elle a été condamnée pour recel et a écopé de six mois de prison avec sursis.

La femme du policier lensois qui s’était suicidé lors de sa détention provisoire en 2018 a finalement été condamnée à six mois de prison avec sursis.

Le tribunal d’Arras (Pas-de-Calais) a rendu mardi 13 octobre son verdict concernant cette affaire de détention d’images pédopornographiques, qu’elle a requalifiée en recel.

Elle était aussi poursuivie pour recours à la prostitution de mineurs en Thaïlande, mais les analyses n’ont pas pu prouver l’âge des personnes présentes sur les vidéos.

L’audience avait eu lieu le 22 septembre dernier.

Cette institutrice avait expliqué qu’elle avait voulu « suivre les fantasmes de son mari » après avoir découvert, en 2009, qu’il avait une liaison extraconjugale. Le policier lui montrait notamment des images à caractère pédopornographiques.

Au cours de voyages en Thaïlande, ils avaient eu recours à de jeunes prostitués. Une enquête d’Europol en 2016 avait permis de retrouver ces images ainsi que des vidéos tournées par le couple en Asie.

L’époux, qui était au cœur du dossier, s’était suicidé lors de sa détention provisoire en 2018.

L’expertise psychologique de la femme avait exclu tout attrait sexuel pour les mineurs.

L’avocate de la prévenue avait demandé la relaxe.

En plus de sa peine de prison avec sursis, la mère de famille devra verser 300 € à la Fondation pour l’enfance pour le préjudice moral, qui s’était constituée partie civile. L’association Enfance et Partage n’a rien obtenu, le recours à la prostitution n’ayant pas été retenu.

La mère de famille pourra retrouver ses deux enfants, dont elle avait récupéré la garde en mars 2019 après un an de placement. Elle ne reprendra par contre pas le chemin de l’école maternelle où elle exerçait avant cette affaire.

Source : ouest-france.fr

 

NDWP : Surréaliste ! Cette ancienne institutrice, mère de famille, écope d’une peine avec sursis car la prostitution de mineurs n’a pas été retenue, elle écope donc de sursis pour recel d’images pedoporno et a récupéré la garde de ses enfants en mars 2019 après un an de placement ! On croit rêver !!

Alors que nous connaissons des mères dont leur enfant est placé depuis des années car elles persistent à porter la parole de leur enfant après dénonciations de violences sexuelles perpétrées par le père.

L’ASE préfère les profils pedo ou bien ?  

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