Tahiti | Un ex-entraîneur de boxe condamné pour viols sur plusieurs mineur.e.s

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L’ex-entraîneur de boxe de l’Aorai de retour aux assises
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Après avoir obtenu l’annulation en cassation de sa condamnation à 20 ans de prison ferme pour des viols et des agressions sexuelles sur mineurs, l’ex-entraîneur de boxe du club de l’Aorai va de nouveau comparaître devant la cour d’assises à partir de mercredi. Le procès doit durer trois jours.

Actualisation du 14 Décembre 2021:

L’ancien entraîneur de boxe du club de l’Aorai a été condamné samedi par la cour d’assises à vingt ans de prison ferme.

Il a été reconnu coupable de viols et d’agressions sexuelles sur mineurs. 

Au terme de quatre jours de procès à huis-clos total, l’ancien entraîneur du club de boxe de l’Aorai a été condamné pour des faits de viols et d’agressions sexuelles sur mineurs à la peine de 20 ans de prison ferme.

Condamné en première instance puis en appel à 20 ans de prison ferme, l’homme avait saisi la Cour de cassation qui avait, en mars dernier, annulé sa condamnation, ouvrant ainsi la voie au procès qui vient de s’achever samedi.

Entre 1991 et 2013, il avait fait quatre victimes mineures.

L’affaire avait été révélée courant 2015 suite au dépôt de plainte d’une mineure qui avait dénoncé des abus sexuels commis par l’ancien entraîneur.

Article du 12 Décembre 2021:

Condamné en première instance puis en appel à 20 ans de prison ferme pour des agressions sexuelles, des viols et des viols aggravés commis sur des mineurs entre 1991 et 2013, l’ancien entraîneur de boxe du club de l’Aorai avait saisi la Cour de cassation qui a, en mars dernier, annulé sa condamnation. Dès mercredi matin, il comparaîtra donc de nouveau devant la cour d’assises de Papeete pour trois jours d’un procès qui devrait se tenir à huis-clos.

Cette sordide affaire avait été révélée courant 2015 à la suite d’une plainte d’une jeune sportive du club Aorai pour abus sexuels visant l’entraîneur de boxe de ce même club. La victime avait également indiqué qu’il filmait les scènes de viols. L’enquête avait permis d’établir que l’homme avait fait 3 autres victimes mineures depuis 1991, dont 1 fille et 2 garçons.

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