Les réseaux pédocriminels n’existent pas | Round 31 | Réseau Barker

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Kerth Barker récit d’une tentative d’initiation dans un réseau satanique US
Kerth Barker (Barker)
Barker présente un groupe sataniste US, dans lequel il a été embarqué sans aller jusqu’à l’initiation, avec un point de vue de victime, mais de l’intérieur. Il explique un fonctionnement, des méthodes, mais parle aussi d’une sorte de “résistance” à l’intérieur de la sphère sataniste.

Le podcast complet de cet article est téléchargeable ci-dessous (clic-droit puis “enregistrer la cible du lien sous”) ou à retrouver sur notre chaine Youtube.

Podcast – Réseau Barker Partie 1 (35′)

Podcast – Réseau Barker Partie 2 (30′)

(Le résumé de ce livre que vous allez lire est assez détaillé, afin de permettre de comprendre l’ambiance décrite par Barker, même si j’ai plus insisté sur le côté factuel).

Dans son livre “Angelic Defenders & Demonic Abusers, memoirs of a satanic ritual abuse survivor”, Kerth Barker commence par son enfance et son cadre familial.

Il explique que son grand-père était entré dans une loge satanique à New York, où il a rencontré une femme qui faisait partie de l’énorme contingent de nazis exfiltrés aux USA après la guerre.

Ce transfert de nazis outre-Atlantique c’est l’opération Paperclip [1], qui est loin d’être une théorie du complot puisque des archives ont été mises au jour.

Paperclip avait pour objectif de récupérer des scientifiques, mais aussi de hauts gradés, des entrepreneurs nazis, afin de les utiliser aux États-Unis pour y développer des armes diverses et variées.

La CIA, nouvellement créée, a très vite mis en place plusieurs programmes militaires, comme MK Monarch, MK Naomi etc., déclinaisons de MK Ultra,

afin de tester toutes les méthodes imaginables de contrôle mental, cela avec l’aide précieuse des scientifiques nazis qui s’étaient exercés avec les victimes des camps de concentration.

Officiellement, dans le cadre de la guerre froide, l’objectif était de créer le militaire parfait, l’assassin parfait, capable de tuer sur commande sans se rappeler de quoi que ce soit.

Au sujet de ces opérations MK-Ultra, je renvoie vers les quelques archives qui n’ont pas été détruites par la CIA dans les années 70, sur l’affaire Ewen Cameron, ce psychiatre canadien mondialement connu qui a réalisé des expériences sur de nombreux patients,

et vers les enregistrements d’une commission d’enquête sur cette question, qui a eu lieu sous la présidence Clinton, et au cours de laquelle plusieurs victimes ont témoigné d’abus similaires à ceux qu’a vécu Kerth Barker.

On peut aussi renvoyer vers l’affaire de Pont-Saint-Esprit, une petite ville empoisonnée au LSD par la CIA pour tester les effets de ces produits, en 1954.

Ce genre de test n’était pas exceptionnel : de nombreuses villes US ont fait l’objet d’expériences similaires, avec du LSD (inventé par un chimiste allemand, Fritz Hoffmann) ou avec d’autres drogues.

Cette femme rencontrée par le grand-père, surnommée Shotzy, étudiait la théosophie (que Barker qualifie de « mouvement luciférien international » et les textes d’Héléna Blavatski, avant de passer carrément aux délires d’Alistair Crowley, qui passe pour le pape du satanisme.

De retour à Saint-Louis, le grand-père et Shotzy auraient créé un convent, un groupuscule satanique, sous l’égide d’un autre luciférien.

Barker explique que Shotzy a été également formée par la CIA, par des lucifériens qui l’ont initiée.

Barker écrit qu’il ne l’a rencontrée qu’à 6 ans, au début des années 60, mais qu’elle était derrière sa vie depuis sa naissance.

Elle devint en quelque sorte sa nounou, essentiellement préoccupée par l’envie d’en faire un soldat à la volonté de fer, en enlevant toute empathie en lui.

Si ses parents, d’après lui, ne se rendaient pas compte du traitement que lui réservait Shotzy, il dit aussi qu’un certain nombre de satanistes vivaient dans le voisinage.

Le premier à avoir atterri là est venu habiter au n°666 de la rue, des amis à lui ont suivi, dont plusieurs travaillaient dans l’école du coin.

La nuit, il était drogué puis amené dans diverses maisons du voisinage et ailleurs.

Il se rappelle de cela très vaguement :

“Aujourd’hui encore je ne comprends pas vraiment ce qu’il s’est passé.

Une chose que font les satanistes quand ils abusent des enfants est de mettre des éléments surréalistes dans leurs rituels.

De cette manière, si les enfants se rappellent et racontent ces événements, ça semblera irréel”.

Dans son cas, ledit Mr du 666 pouvait mettre un masque de Frankenstein et une robe noire et marchait sur des fils qui faisaient penser qu’il planait dans la pièce.

Il parle de rituels où tous les adultes étaient masqués, où Shotzy l’emmenait.

 

Quand il a eu 8 ans, son grand-père a commencé à abuser de lui.

Après le premier viol, sa grand-mère l’a recouché, répétant

“rien de tout cela n’est arrivé.

Ça n’est pas arrivé, tu as fait un cauchemar.

Quand tu te réveilleras demain matin tout sera à nouveau normal”.

Rentré chez lui, il a saigné beaucoup, sa mère a immédiatement appelé les grands parents, qui ont simplement dit qu’il avait mangé trop de fromage.

Barker évoque aussi un rituel de contrôle mental au cours duquel on tue un chat devant lui.

Beaucoup de victimes racontent avoir vécu cela dans leur enfance.

Il s’agit d’un moyen de dissocier les enfants, qui disjonctent littéralement devant des horreurs pareilles.

Aujourd’hui en France, des enfants racontent avoir été forcés à regarder d’autres enfants se faire tuer devant eux, et même avoir dû participer aux meurtres.

Pour Barker, l’opération a permis de lui faire switcher sa personnalité en deux, en créant une personnalité qu’il appelle “gentil petit agneau“.

Presque chaque week-end, il allait chez son grand-père et des abus avaient lieu, de manière graduelle.

Très vite, il a été emmené chez des amis de son père.

Il décrit des lieux de rituels, avec des pentacles, des étoiles de David, divers symboles qu’il ne comprenait pas.

Les gens portaient des grandes robes noires.

Lors du premier rituel auquel son grand-père l’a amené, les gens en robe l’ont entouré, lui ont fait boire un liquide, l’ont déshabillé et l’ont mis dans une boite fermée.

A ce moment-là, Shotzy lui dit qu’il ne pourra pas sortir de cette boîte, et qu’il va même y mourir.

Kerth a crié, pleuré, a été pris d’une crise de peur panique, il s’est à moitié étouffé dans son vomi et en est tombé dans les pommes.

Il raconte qu’il s’est vu flotter au-dessus de la boîte et pouvait voir les neuf personnes dans la pièce.

Mais sept d’entre eux n’avaient pas l’air comme les autres, et avaient des apparences de dragons.

Il a vu “d’autres créatures dans la pièce”, des anges qui le rassurent, écrit-il.

Quand Shotzy finit par le faire sortir de la boite, elle lui demande comment il s’appelle.

Il répond qu’il s’appelle Kerth Barker au lieu de répondre “Mignon petit agneau”, comme elle s’y attendait.

Manifestement, cette réponse n’a plus à personne dans la petite assemblée.

Deux types enlèvent leur robe, dont un plus jeune, moins excité que les autres.

Et puis tout le monde commence à critiquer Shotzy et le grand-père, qui n’avaient pas assez bien conditionné leur victime.

Devenir un enfant prostitué

Assez rapidement après cette séance, Shotzy a été remplacée par le jeune type qui était présent, Bob.

Désormais, c’est lui qui était de le “contrôler”.

Mais, les deux travaillaient ensemble, afin de le préparer.

Bob se montrait plus sympa, moins agressif, et recueillait les confidences du gamin.

Ce qui leur servait pour mieux le manipuler.

De l’autre côté, il savait que s’il n’était pas docile, Shotzy arrivait derrière.

Le Baron, un homme qui semblait être le chef du groupe satanique auquel appartenait son grand-père, avait décidé d’en faire un enfant prostitué et de le faire évoluer dans le satanisme.

La technique de Bob pour lui faire accepter le satanisme était de combiner les chocs traumatiques avec la séduction.

Bob lui-même avait été conditionné comme enfant prostitué auprès de personnalités, il trouvait tout cela normal et considérait même qu’il s’agissait d’une forme de pouvoir.

 

“Il utilisait une combinaison de techniques pour obtenir ma coopération : hypnose, persuasion, manipulation émotionnelle, menaces, raison et corruption.

Si je faisais ce qu’il voulait, j’étais récompensé, si je n’obéissais pas, j’étais puni d’une manière ou d’une autre.

Mais ses punitions n’étaient pas les terribles tortures de Shotzy.

Il savait comment manipuler mes émotions et me faire sentir mal quand je n’étais pas coopératif “, écrit Barker.

Avec l’hypnose, Bob avait installé d’autres personnages dans la personnalité de Kerth.

Par exemple, une fillette appelée Kathy, dont il devait adopter le comportement alors qu’il était habillé en fille, entraîné à se comporter comme une fille par Bob.

Au fil des jours, ses résistances se sont estompées et Bob a commencé à le sortir en public quand il était dans ce rôle, en état de transe.

Un jour, Kerth a menacé de tout dire à ses parents, mais Bob l’avait pris en photo habillé en fille, ou même nu, dans des poses aguicheuses et menaçait de les leur montrer.

Ensuite, Bob a appris à « Kathy » à se comporter sexuellement.

Barker explique l’importance du phallus pour les satanistes, qui considère que les obélisques représentent le pouvoir de satan.

Pour eux, le sexe est un rituel religieux.

Bob lui a appris à faire des fellations comme si c’était une prière à Satan, et qu’il recevait une bénédiction en les faisant jouir.

Mais lui savait très bien qu’il n’y avait rien de sacré là-dedans.

Au sujet de ces personnalités, Barker se demande si ce n’étaient pas des démons qui prenaient possession d’eux.

Il explique qu’en tant que Kathy, il était essentiellement utilisé par son grand-père pour faire fructifier le business de son père, sans que celui-ci sache comment les opportunités se présentaient à lui.

Les gens, des satanistes, étaient amenés par le grand-père et récompensés par des faveurs sexuelles de « Kathy ».

“Même en tant que Kathy, le sexe m’effrayait et je voulais que cela se termine le plus vite possible.

C’était juste un jeu grotesque que je devais accomplir, et dans mon rôle en tant que Kathy j’étais émotionnellement déconnecté du sexe en lui-même.

J’étais juste en train de jouer la comédie, comme les gens à la télé.

Je jouais de manière joyeuse et je souriais, mais je me sentais mal à l’intérieur.

Mais Sam, cet autre petit garçon que mon grand-père maltraitait, n’avait pas été conditionné et entraîné de la même manière que moi “.

 

Bob a expliqué à Kerth que les parents de Sam devaient beaucoup d’argent à son grand-père.

Du coup, ils le laissaient prendre le petit avec lui des après-midi et parfois la nuit.

Mais un jour le petit a parlé à ses parents, qui ont menacé le grand-père d’un scandale s’il n’effaçait pas leur dette et leur donnait de l’argent en plus.

Selon Barker, cette nuit-là le grand-père a envoyé des tueurs dans la maison de la famille.

Ils ont endormi tout le monde avec du chloroforme et ont déposé le petit Sam dans le jardin, lui mettant une boite d’allumettes dans la poche.

Puis, ils ont mis le feu à la maison.

Le grand-père a ensuite un peu orienté les autorités locales et Sam a été poursuivi pour avoir mis le feu puis envoyé dans un hôpital psychiatrique administré par un Luciférien.

« Les psychiatres ont pleinement coopéré avec ce que demandait mon grand-père et n’ont rien fait pour aider Sam.

Toutes les déclarations qu’il pouvait faire, comme quoi il n’avait pas mis le feu, ont été ignorées.

Au lieu de l’aider à gérer ses sentiments d’avoir été abusé et d’avoir perdu ses parents, il a été drogué et a subi des électrochocs.

Après cela, il pensait lui-même avoir mis le feu », raconte Kerth Barker.

Le grand père « possédait des documents légaux qui montraient que les parents de Sam lui devaient une grosse somme d’argent.

Au moment du prêt, afin d’être certain qu’ils le rembourseraient même s’ils mouraient accidentellement, il a insisté pour qu’ils prennent une assurance vie.

Il a récupéré tout l’argent qu’ils lui devaient de la revente de leurs biens.

Il s’en est sorti en faisant du profit avec tout ça.

Mais Sam a été mis dans un orphelinat, son esprit a été ruiné, et il a été laissé avec la croyance qu’il avait tué ses parents ».

Sur le satanisme

Kerth explique que “le satanisme est vraiment un business model“, et que le sexe pervers qu’ils pratiquent fait partie de ce business model.

Le sexe, pour les satanistes, “est utilisé dans plusieurs buts.

C’est utilisé pour faire chanter des hommes.

C’est utilisé pour séduire des hommes avec un mode de vie où tous leurs désirs sexuels seront admis.

Cela sépare aussi les satanistes de la culture et des valeurs de la majorité de la société”, précise Barker,

“Mais le sexe pédophile est aussi un moyen d’entrainer des garçons à devenir des satanistes de haut rang quand ils seront adultes.

Au plus de fois j’ai été obligé à avoir des rapports sexuels, au plus je suis devenu sociopathe dans ma relation aux gens.

C’était vrai que je sois Kerth ou Kathy.

J’ai commencé à voir les gens de plus en plus comme des objets à manipuler que comme des gens pour lesquels je ressens de l’empathie”.

Au fur-et-à-mesure, il commence à s’identifier à Bob, à penser comme lui que les satanistes étaient une élite, supérieurs aux autres, la masse des gens qu’il faut manipuler.

Les satanistes sont là pour contrôler la masse, ce “bétail humain”.

Barker dit qu’il n’a pas été initié comme luciférien, mais qu’il en côtoyait très souvent, même hors des rapports sexuels et des rituels, lors de soirées, par exemple.

Mais, c’était toujours quand lui était dans le rôle de Kathy.

Quand il redevenait Kerth, il ne se rappelait plus des abus sexuels ni des rituels.

Dans sa vie de tous les jours, il se sentait mal sans savoir pourquoi.

Puis, Bob a éduqué Barker pour qu’il devienne membre d’une société secrète luciférienne, pour être ensuite initié.

Mais suite à une séance très violente avec son grand-père, qui l’a battu à coups de ceinture, il a commencé à se rappeler de ce qu’il avait subi quand il était Kathy.

A l’école, suite aux coups du grand-père, il a été envoyé chez l’infirmière, chez qui il s’était souvent rendu quand il était Kathy, et qu’il aimait bien car elle a toujours été gentille avec lui.

Chez elle, il n’a pas connu d’expériences sexuelle.

Il savait qu’elle vivait avec une autre femme, s’habillait souvent en homme et se faisait appeler “Freddy”.

Ce jour-là, quand il l’a vue ouvrant la porte de l’infirmerie, Kerth l’a appelée Freddy, ce dont il n’aurait pas dû se rappeler en temps “normal”.

Elle lui demande “Kathy, que fais-tu ici ?”, avant de se ressaisir et de revenir dans son rôle d’infirmière.

 

Elle lui a demandé de se déshabiller et a constaté les nombreuses traces de coups et a immédiatement appelé la grand-mère.

Barker relate ce qu’il a entendu :

“J’ai vu Kerth.

Il est blessé de haut en bas  (…)

Il a raconté à tout le monde votre histoire comme quoi il est tombé dans les escaliers.

Il est sympa avec ces trucs-là. Ne vous inquiétez pas pour cela (…)

C’est pire que ce que vous pensez (…) Ne vous inquiétez pas, il n’y aura pas de scandale.

Je vais m’assurer que cela restera dans la famille. Je ne vais pas rendre de rapport.

Je ne pense pas que vous compreniez le problème. Je dois en parler à Bob.

Le Baron n’aimera pas cela. Kerth est plus important que vous ne le pensez.

Il a une certaine lignée (…) Je sais tout à propos de vos lignées… vous me l’avez dit cent fois.

Mais la lignée de sa mère est bien plus importante.

C’est pour cela que le Comité a mis ses parents ensemble.

Est-ce que vous comprenez la signification astrologique de sa conception et de sa date de naissance ? (…)

Cela ne doit plus arriver (…) Bob sera en colère. Je vous préviens juste (…….)

Vous êtes une salope stupide, ne me menacez plus.

Dites à votre dément de mari que s’il refait mal à Kerth une nouvelle fois vous et lui êtes morts”.

Il a été gardé quelques jours à la maison, et sa mère a insisté pour qu’il voie moins son grand-père.

Quand il retourne à l’école, Bob vient le chercher pour l’emmener chez un membre du groupe dans le quartier, où se trouvait le Baron.

C’est ce jour-là que Bob lui a raconté ce qu’il était arrivé à Sam.

Car jusque-là, comme tout le monde, il croyait à la version de l’incendie volontaire par le gamin.

C’est ainsi que Kerth a compris qu’il ne pourrait jamais parler des satanistes.

Bob lui a aussi expliqué comment son père pouvait avoir un business aussi prospère.

Là, le Baron lui dit de faire « Kathy » avec lui, et Kerth doit lui faire sa fellation, en se sentant beaucoup plus forcé que d’habitude, humilié aussi, et il a pleuré pendant longtemps.

Puis le Baron lui montre des photos de lui quand il s’est déshabillé chez l’infirmière, et lui explique qu’elles ont été prises par un appareil photo caché dans la pièce.

Puis il lui dit qu’il aidera son père à s’acheter une plus grande maison.

Kerth savait qu’il était coincé.

En le ramenant à l’école, Bob lui a dit que le Baron avait enlevé à son grand-père le privilège d’être avec Kathy, et qu’il n’avait plus à être Kathy avec lui.

Mais le Baron, lui, allait avoir besoin de Kathy.

Entrée dans le cercle fermé

Le soir même, Bob emmène Kerth à une soirée chez le Baron.

Habillés en femme, les deux font leur entrée dans un sous-sol noir qui lui disait vaguement quelque chose, avec un autel et des gens autour, en robes noires et rouge pour l’une d’entre eux.

Le Baron a un peu parlé dans une langue ancienne pour invoquer le démon avant de sacrifier un animal.

Au cours du rituel, il a aussi désacralisé puis brûlé une bible, et tous ont chanté des versets de la bible à l’envers.

Barker raconte qu’à ce moment-là il a eu l’impression que quelqu’un contrôlait la manière dont il parlait, marchait, se tenait, qu’il n’était plus lui-même.

Après le rituel tout le monde a enlevé sa robe et s’est baladé à poil à part Bob, lui et la femme en rouge.

Il a ressenti qu’il ne faisait qu’un avec eux deux, lui parlait d’une voix de femme, aguichant les hommes nus.

Puis tout le monde est monté à l’étage où il y avait des chambres et une orgie a commencé.

Il faisait tout machinalement mais se sentait très mal.

Le lendemain, le Baron lui dit qu’il a été super durant l’orgie, que lui, Bob et la femme avaient agi exactement comme s’il les dirigeait.

Il a fait un film « très important » de tout cela : un homme dont ils se sont occupés à trois est, explique le Baron, un important dirigeant d’entreprise.

“Maintenant je le tiens. Vous avez été très bien.

Et tu es un jeune gars très talentueux, tu dois être récompensé.

Ta famille va avoir la belle grande maison qu’elle veut, et je connais l’endroit parfait”.

Barker relate une discussion entre le Baron, Bob et la femme en rouge.

Bob lui demande : “Ça va Kerth ?”

–  Je pensais que son nom était Kathy, dit la femme, attends une seconde.

Il n’est pas comme les autres. Il se rappelle des choses.

– Oh, Shotzi a ruiné trop d’enfants, répond le Baron.

Quand ses méthodes fonctionnent c’est génial, mais plusieurs de ses sujets sont morts ou devenus complètement fous.

Ses méthodes sont trop expérimentales, et je ne veux pas que celui-ci soit abîmé.

Bob utilise différentes méthodes, mais son résultat me plait.

Dès le lendemain, ses parents ont obtenu l’argent pour acheter une nouvelle maison.

Puis il n’a plus été obligé d’aller passer la nuit chez son grand-père, et c’est via l’école que Bob le trouvait grâce aux connexions avec les lucifériens.

Quand il avait besoin de lui, il suffisait de dire qu’il était malade et ses parents n’étaient pas informés.

Petit à petit, il n’était plus habillé en fille que pour aller « servir » des types, ce qui arrivait de plus en plus rarement.

En fait, les relations devenaient plus “normales”, et les lucifériens lui expliquaient surtout comment ils fonctionnaient.

Ils semblaient tout savoir sur sa famille, y compris les problèmes financiers de son père.

Dans ces cas-là, il s’arrangeait pour amener des affaires en échange de sa prostitution.

“Je ne faisais pas que des films de chantage.

Bob produisait aussi des films pédopornographiques qu’il vendait à de riches aristocrates lucifériens.

Avec de la fierté dans la voix, Bob expliquait que des riches aristocrates mettaient ses films aux orgies dans leurs villas en Europe.

Bob avait étudié quelque chose appelé le “sex magick”.

Il considérait que ses films étaient des travaux magicks dans lesquels les spectateurs pouvaient sentir la présence spirituelle de satan”, écrit Barker.

Il décrit l’un des films auxquels il a participé, avec un type habillé en Jésus, Bob, lui et une femme étaient en soldats Romains.

Ils ont attaché le jésus, l’ont déshabillé et frappé, et ont eu des actes sexuels avec lui.

Les films de chantage pouvaient servir simplement à pousser un type avec un penchant pédophile à entrer dans une société secrète luciférienne.

Quant au pédoporno, le Baron touchait la moitié des bénéfices réalisés par Bob.

Après cela il avait eu des pensées suicidaires.

Mais le Baron lui a toujours dit qu’ils tueraient sa mère si jamais il se suicidait.

Il a commencé à déprimer, à rater ses examens au collège, à avoir une crise d’identité.

Les bibliothèques secrètes

Barker raconte qu’il a été à plusieurs reprises dans des bibliothèques secrètes.

La plus étrange appartenait à deux membres Illuminatis connues comme “les deux sœurs”, deux pédophiles lesbiennes et incestueuses chez qui le Baron l’avait amené.

“Dans leur maison, elles avaient deux petites filles qu’elles emmenaient partout à travers le monde.

Ces fillettes n’étaient jamais autorisées à porter des vêtements, excepté des colliers d’esclaves.

Elles étaient les esclaves domestiques des deux sœurs.

Ces deux sœurs pensaient que dans le futur, tout le monde sera homosexuel et pédophile.

Elles pensaient aussi qu’à l’avenir, tous les êtres humains seront soit des aristocrates illuminatis, soit des esclaves”.

Les frangines appréciaient l’art et peignaient bien elles-mêmes, adorant particulièrement les scènes pédopornographiques en tous genres.

Elles voulaient rencontrer Kerth en personne, après avoir apprécié les films de Bob.

Elles avaient aussi un temple satanique dans leur sous-sol, qui ressemblait  à un temple égyptien, et une bibliothèque avec des livres satanistes, pédophiles, sur l’histoire secrète du monde…

Les deux esclaves n’allaient dehors qu’à l’intérieur d’une cage, et la maison était ultra sécurisée.

Le Baron avait organisé cette visite uniquement pour voir le niveau de sécurité des lieux.

La nuit suivante, il a envoyé une équipe qui ont endormi les sœurs au chloroforme pendant qu’elles dormaient, et le Baron leur a pris ce qu’elles avaient de plus précieux : leurs livres et les petites esclaves.

“C’était la punition du Comité.

Les deux sœurs étaient illuminatti, mais elles n’étaient pas ce que le Baron appelait “productives”.

Le Comité attend que ses membres produisent des revenus pour le système illuminati ou qu’ils servent activement le système d’une façon ou d’une autre.

Les deux sœurs ont passé tous les rituels d’initiation etc., mais elles n’ont produit aucun revenu pour le Comité ou n’ont fait aucun travail considéré utile pour le Comité.

Donc c’était leur punition pour avoir été fainéantes”, écrit Barker.

“Après avoir reçu cette punition, les deux sœurs ont bougé à New York et sont devenues recruteuses pour les illuminatis, et ont travaillé pour les Nations Unies”.

La Baron a gardé la moitié des livres, a envoyé le reste en Europe.

Il a aussi gardé les deux fillettes pour en faire ses servantes.

Elles avaient des vêtements et plus de colliers, pouvaient voyager de temps en temps, mais devaient  “servir” des types lors des orgies du Baron.

En grandissant, Kerth a vu qu’il intéressait d’autres lucifériens que le Baron, et pas pour le sexe pédophile.

Il explique que “le satanisme chez les riches est générationnel.

Dans un sens, le sexe pédophile chez les satanistes générationnels est plutôt pour le contrôle mental que pour autre chose.

Les abus sexuels entrainent une dissociation chez les enfants.

Une fois dissocié, l’enfant est plus réceptif au conditionnement.

De riches lucifériens ont des bibliothèques secrètes qui contiennent des connaissances inaccessibles à la majorité des gens”.

Quand il a eu 14 ans, le Baron lui a dit qu’il était trop vieux pour le sexe et qu’il avait d’autres plans pour lui.

Ça voulait dire qu’il n’enverrait plus de business à son père en échange de sa prostitution.

Mais il voulait qu’il étudie des livres.

Il lui a montré sa bibliothèque secrète, dans laquelle les livres donnaient, semblait-il, la vraie version des grands événements.

Celle qui était cachée au grand public.

Le pouvoir se conquiert, et se conserve, par la traitrise, le mensonge et la corruption.

C’était une partie de ce qu’il a appris via ces livres.

Barker dit qu’aucun des livres ne mentionnait d’auteur ou de maison d’édition, mais qu’ils avaient tous un logo de hibou sur la couverture ou la tranche.

Il y avait des livres sur la manière de corrompre des politiques, avec des exemples de la manière dont certains politiciens avaient été corrompus par des lucifériens.

Il y en avait aussi un qui expliquait comment transformer un enfant en prostitué, intitulé “L’entrainement de l’enfant animal humain (“human child animal”) pour l’objectif de la prostitution

et en partie écrit par un psychiatre nazi non cité, qui travaillait dans les camps de concentration et qui avait été ramené aux USA via le projet Paperclip [2].

En gros il disait qu’il fallait les dresser comme on dresse un chien à obéir.

Le livre expliquait ensuite comment obtenir un enfant pour en faire un prostitué, en l’enlevant ou en créant une personnalité alter.

Mais le livre disait qu’il y avait une meilleure technique : il faut trouver un enfant intelligent, calme et avec une faible estime de lui, si possible pas aimé par sa famille.

L’entraineur doit gagner la confiance de l’enfant et développer avec lui une relation secrète.

Le Baron l’a aussi amené dans une bibliothèque dans un autre État, tenue par des Marianistes hérétiques, les Nobles suiveurs de Marie.

Il voulait accéder à leur bibliothèque, qui lui était interdite, et en particulier à un livre.

Apparemment, les Marianistes [3], qui n’ont rien à voir avec le satanisme, ont accepté de voir Kerth suite au versement par le Baron d’une forte somme d’argent.

Le Baron l’a déposé, les Marianistes sont venus le chercher, et il s’est senti tout de suite bien et en sécurité avec eux.

La bibliothèque ressemblait à une église et vibrait comme un lieu sacré.

On lui a édicté les règles pour y accéder, et on lui a apporté le livre que le Baron voulait qu’il voie.

Il n’avait pas le droit de le toucher, on tournait les pages pour lui.

Selon eux, le livre était fait en peau humaine et la tranche était renforcée par des os humains.

C’était “Le Livre des Ombres de Susan l’Empoisonneuse“, il était écrit à la main en ancien anglais.

Il racontait la vie de cette femme, pendant la chasse aux sorcières, dans un village où la plupart des gens descendaient des druides, mais avaient été convertis au christianisme.

La famille de Susan a pu échapper aux chasseurs de sorcières après qu’elle ait décidé d’en appeler à satan.

Puis la famille a massacré une famille de riches chrétiens et pris leur place tout en continuant à adorer satan.

Susan a monté dans la société en se mariant avec un noble.

Elle a développé un couvent de sorcières et le livre donne des recettes de poison ou des formules pour invoquer les démons.

Il y est retourné plusieurs fois pour copier les formules exactement.

Mais les Marianistes lui ont proposé de les écrire à sa place, pendant qu’il discutait avec eux dans une chapelle à côté.

Kerth a réalisé rapidement qu’en réalité les marianistes ont accepté l’argent du Baron pour pouvoir avoir accès à lui, pas pour les espèces sonnantes et trébuchantes du sataniste.

A force, Barker a envisagé puis compris une autre philosophie, une autre “spiritualité”, concevant dieu comme une figure maternelle.

Les Marianistes lui ont aussi expliqué que si les lucifériens en avaient autant après lui, c’est parce qu’ils avaient étudié sa lignée et qu’il descendait du roi Salomon, et de beaucoup de francs-maçons et de lucifériens de haut rang.

Ils ont expliqué que les lucifériens ont agi dans les vies de ses parents sans qu’ils ne s’en rendent compte, utilisant des envoûtements pour qu’ils tombent amoureux.

Ils ont choisi Kerth parmi les enfants du couple parce que les autres ne correspondaient pas.

Ses parents ne voulaient plus d’enfants, mais les lucifériens se sont débrouillés pour qu’il naisse quand-même, et soit conçu à la période voulue.

Les Marianistes lui ont aussi montré un autre livre parlant de Susan l’empoisonneuse.

Écrit par un contemporain de Susan, le livre racontait qu’elle avait dû se faire baptiser pour échapper une nouvelle fois à la chasse aux sorcières.

Puis elle a rejeté le satanisme et a converti certaines femmes de son convent.

Kerth a décidé de ne pas en parler au Baron car il n’aimerait pas la fin de l’histoire.

La dernière fois qu’il y est allé, les Marianistes lui ont dit que depuis des années ils avaient décidé de ne plus accepter de nouveau membre, et que la bibliothèque allait bientôt être fermée.

Ils voulaient vendre les livres à des riches collectionneurs.

Le mariage de la Bête

Kerth allait avoir 16 ans quand il a revu Bob, parti depuis plus d’un an pour des missions à travers le monde pour le Baron.

Il l’invite à une soirée chez le Baron, une soirée normale pour rencontrer des gens importants et l’introduire, mais Kerth ne veut pas y aller.

Bob lui montre alors des photos de lui et de sa mère, prises à leur insu, en mode filature.

Il lui fait écouter des enregistrements de sa maison, pris par des micros cachés.

A la soirée quelques jours plus tard, tout le monde était chic, ambiance jazz, quand une femme crie à la vue d’une femme pendue à un arbre dans le jardin du Baron.

Puis tout le monde rigole, se disant qu’évidemment, c’est une mauvaise blague du baron, qui confirme.

Mais quelques minutes plus tard Bob lui demande de l’aider à décrocher la femme avant que les invités se rendent compte qu’il s’agissait d’un vrai suicide.

La femme avait une robe sale et des marques de coups sur le visage et sur les jambes.

Elle avait des marques de piqûres sur les bras, comme si elle se shootait à l’héroïne.

Bob la connaissait, elle s’appelait Daisy.

Il propose de l’enterrer dans un parc ou de faire disparaitre le corps.

Un autre propose de la pendre ailleurs.

Le Baron arrive à son tour, expliquant qu’elle lui avait encore demandé de l’argent il y a peu, et qu’il avait refusé : elle ne lui servait plus à rien depuis longtemps.

Décision est prise de déplacer le corps pour le pendre ailleurs.

Malgré l’autopsie, ça passera car un type du groupe a déjà corrompu le légiste qui réalise toutes les autopsies du district.

Ils décident de rédiger un mot de suicide aussi.

A cette soirée, le Baron lui a aussi dit qu’il allait être initié, et c’est Bob qui lui a précisé qu’il s’agit d’une initiation dans l’église internationale de satan.

Avec à la clé des relations sexuelles entre une femme qui représente l’église de satan et un bouc, qui symbolise satan lors de cette cérémonie de « mariage ».

Les lucifériens appellent cette cérémonie « le mariage de la bête ».

Pour y échapper, Kerth s’est mis le pied sous une tondeuse.

Il n’a plus pu marcher pendant des mois. Après cela, Bob le recontacte, et lui dit qu’il n’est plus aussi loyal qu’avant avec le Baron.

Il a parlé avec un jeune membre des Marianistes, James, avec qui Kerth avait déjà parlé à la bibliothèque, et qui lui a proposé un plan pour réduire le pouvoir du Baron.

Bob lui dit aussi que le Baron n‘est pas dupe de son « accident », et qu’il va devoir passer devant lui et deux représentants du Comité, capables de le tuer s’il n’est pas convaincant.

James lui a alors donné la seule copie existante du Livre des Ombres de Susan l’Empoisonneuse, pour le donner au Baron.

Pour éviter cette initiation, il leur fallait un plan.

Mais il ne pouvait pas fuir le Baron : il devait s’y confronter pour éviter les représailles sur sa famille.

Bob et Kerth se rendent donc chez le Baron, et sont amenés dans le sous-sol noir où il les attend dans une robe noire, entouré de deux autres types en robe.

Il lui demande ce qu’il a à dire pour se défendre et Kerth lui tend le livre de l’empoisonneuse.

Le Baron le prend avec joie, et demande à voir la blessure de Kerth.

En la voyant le Baron dit

« Oh mon pauvre, j’avais tellement d’espoirs pour toi.

Tu aurais fait un si bon sataniste.

Mais tu l’as rejeté à cause d’un stupide superstition.

Tu as tourné le dos à la grandeur et à la gloire ».

Puis il dit à Bob qu’il avait quand-même un problème parce que Kerth en savait trop pour rester en-dehors du système, « et s’il n’accepte pas l’initiation et ne fait pas le serment du secret, nous ne pouvons simplement pas le croire ».

Bob a alors proposé de faire appel à deux scientifiques du groupuscule qui travaillent sur MK-Ultra pour effacer sa mémoire.

Bob promet sur sa vie de faire cela.

Kerth n’a plus jamais revu le Baron.

Les deux scientifiques dont parlait Bob étaient dans le camps de Marianistes.

Durant son année d’absence, Bob avait aussi rejoint leur camp.

Depuis un moment, il avait compris qu’il s’était fait laver le cerveau et, bien que le Baron lui avait demandé de filmer les rituels sataniques partout dans le monde [4], il les avait rejoints grâce à un intermédiaire pour se faire déprogrammer.

Il restait encore du chemin à faire au niveau des sentiments, des notions de bien et de mal, mais Bob avait fait un long chemin, écrit Barker.

La résistance

Barker évoque les Marianistes, mais aussi une “résistance” plus générale à la « Society of Lucifer », dont le symbole serait le signe astrologique de la planète Jupiter.

Il explique qu’ils ont considéré que le mieux, pour la sécurité de tous, était de pas parler du Comité et du reste.

Kerth a entamé une thérapie, auprès du couple de scientifiques.

“Ils étaient membres d’une société secrète qu’ils appelaient les illuminatis.

Ils les avaient rejoints quand ils étaient jeunes et idéalistes.

Ils avaient cru que les illuminatis allaient créer une utopie, un gouvernement mondial.

Ils avaient une conception idéaliste de ce à quoi ressemblerait ce gouvernement mondial.

Ils imaginaient une version moderne de La République de Platon”.

Ils avaient été recrutés après la deuxième guerre dans un des nombreux projets de recherche liés à MK ultra, en pensant que cela permettrait d’aider les gens en reprogrammant ceux qui avaient des problèmes mentaux ou étaient des criminels pour les rendre meilleurs.

Au bout de quelques années ils ont compris comment le système fonctionnait en réalité.

Que certains leaders pratiquaient des formes extrêmes de satanisme.

Qu’il y avait des viols de mineurs, du cannibalisme, des sacrifices, commis par des illuminatis.

Barker écrit que “Les sociétés secrètes lucifériennes qui étaient contrôlées par les illuminatis et qui les servaient étaient juste des organisations criminelles”.

Selon Barker, les illuminatis dirigent le Comité, avec le Baron à sa tête, qui lui-même a des tas de sous-fifres.

La Société de Lucifer est un terme générique, en quelque sorte.

« Le but réel des sociétés secrètes est de s’assurer que les riches aristocrates restent riches et au pouvoir », écrit-il, et elles existent depuis des siècles.

A l’intérieur des illuminatis, il y en a certains qui aimeraient réformer.

Sans détruire, sans effacer, mais toujours pour prendre le pouvoir mondialement.

Le groupe de résistance derrière le symbole de Jupiter était dans cette optique.

« Ils voulaient en finir avec les abus MK Ultra, la prostitution des enfants et les rituels sataniques violents pratiqués par certains groupes.

Les leaders de la réforme comme le couple de scientifiques voulaient normaliser les pratiques rituelles lucifériennes », explique Barker.

Puis il rappelle que les leaders illuminatis sont des « satanistes hardcore », et que ces histoires d’utopie ne sont que des conneries.

« La vérité est que les vrais leaders des illuminatis sont des satanistes hardcore.

Leur but est de détruire le monde naturel via la géo ingénierie et de détruire la race humaine, pour la remplacer par de genres de créatures intelligentes déshumanisées.

Mais la plupart des membres de ce groupe de résistance Jupiter ne le comprennent simplement pas.

Ils pensent que les illumanits peuvent être réformés de manière à faire vivre leur propagande de recrutement idéaliste », ajoute Kerth Barker.

Il considère que le groupe est peu nombreux et se consacre d’après lui à cinq activités :

– Les thérapies

– La diffusion d’informations

– Les activités organisationnelles

– Organiser le passage des évadés

– Renforcer le secret

Au sujet de la notion de “Nouvel ordre mondial”, Barker explique qu’il y a aussi plein de gens qui ne font pas partie officiellement des illuminatis, mais qui travaillent pour eux et qui connaissent leurs objectifs.

“La phrase ’Nouvel Ordre Mondial’ se réfère au but des illuminatis, et beaucoup des membres de l’élite globale qui sert le nouvel ordre mondial sont aussi idéalistes et naïfs.

Et ces idéalistes globalistes ignorent la gravité des abus, du contrôle mental et de la violence utilisés dans certaines sociétés secrètes lucifériennes”.

Selon Barker, Bob et les autres essayaient de les avertir de ce qu’il se passe vraiment.

Barker raconte les réunions de ce groupe pour s’organiser dans cette “résistance”, les décrivant comme désorganisées.

Certains membres retournaient travailler pour les illuminatifs, comme Bob qui est retourné travailler pour le Baron.

Il a continué à faire des films pédopornos ou à filmer des rituels, tout en montrant certains à des personnes non autorisées pour qu’elles comprennent ce qu’il se passe.

Durant ce temps, Barker a appris comment réaliser les thérapies telles que celle qu’il avait suivie.

Il explique aussi que les thérapies organisées par ce groupe ne s’adressaient pas à des victimes trop instables, avec des alters, qui ont subi les traumas les plus graves liés à MK Ultra.

Mais lui voulait aider ces personnes.

Il a aussi voulu aider des gens qui tentaient de se remettre “d’une addiction à boire du sang plein d’adrénaline [5].

Barker dit que beaucoup des films tournés par Bob, dans ces années 70, début 80, ne montraient pas de sexe, et rien d’intéressant, comme des vieux à poil en train de faire des rituels chiants, et d’autres étaient même grotesques.

Mais certains étaient très violents.

Barker dit qu’un film montre un jeune travailleur Mexicain immigré violé et torturé à mort par un groupe de satanistes en Californie, dans le sous-sol d’une habitation.

La victime était attachée aux pieds d’une table en bois.

Il y avait des adultes tous nus dont certains portaient des chapeaux avec des cornes, et des enfants qui assistaient à la scène.

Barker décrit toute la séquence : le film commence avec un des hommes de l’assistance qui viole la victime, alors qu’elle est solidement attachée à une table.

Le jeune mexicain commence par s’énerver, par tenter d’éviter le pire qu’il pressent, pour finalement supplier ses bourreaux de le laisser.

Puis une femme lui dit qu’elle va lui mettre une bouteille dans l’anus et la casser avec un marteau et elle commence à le violer à son tour, casse la bouteille, le frappe avec une cravache.

Elle lui montre un débris de verre et la cravache et le force à choisir un des deux.

Il choisit la cravache et elle lui demande de lui dire bien fort ce qu’il veut qu’elle fasse avec.

« Frappe-moi » répète la victime en espagnol, bien fort comme la femme l’avait exigé.

Ensuite, la femme prend un fouet en fil barbelé et lui dit que comme il a demandé à être frappé, il va l’être vraiment.

Avec une autre femme, elle commence à la fouetter pendant que d’autres se masturbent et d’autres encore fumaient des joints, buvaient dans un autre coin de la pièce.

Le jeune homme hurlait à l’agonie, et puis il est mort.

Ensuite, ils lui ont coupé la gorge et ont récupéré son sang dans un grand conteneur.

Chacun y a trempé sa coupe pour boire le sang, avant de se livrer à une orgie en écoutant une messe satanique d’Anton LaVey, fondateur de l’église de Satan et auteur d’une “bible satanique” en 1969.

D’après Bob, il s’agissait de gens de bonne famille, dans la politique et le commerce.

Ils lui ont dit qu’ils espéraient que le Comité apprécierait le film.

D’après Barker, ce n’était pas le pire film qu’il ait vu, et le plus souvent les sadiques étaient des gens bien sous tous rapport, faisant partie du gratin de la société.

Puis Barker revient sur ce jeune type, James, rencontré chez les Marianistes, celui qui avait aidé Bob à changer.

Lui voulait vraiment mettre à terre les réseaux de prostitution pédophiles qui pourrissent le monde.

Il savait que les illuminatis ne pouvaient pas être réformés, ne croyait pas au Nouvel ordre mondial, et voulait tenter de briser la ploutocratie et de construire la démocratie.

Au début des années 80, Barker écrit que le Baron a découvert l’existence du réseau de résistance Jupiter, et l’a détruit.

Il explique que ce qui avait le plus énervé le Baron était que Bob avait montré ses films à trop de monde car en faisant cela, il sabotait le plan des illuminatis.

Selon Barker, cela a certainement contribué à ralentir le processus du Nouvel ordre mondial.

Pour se venger, le Comité a envoyé des professionnels pour forcer le couple de scientifiques à se suicider, autrement ils tuaient leurs enfants.

Barker raconte que pour la première fois de leur vie, ils auraient prié dieu avant de mourir.

Une autre équipe s’est occupée de la sœur de Bob, de son mari et de ses enfants.

D’autres membres de cette résistance ont été capturés, torturés et tués et quelques-uns seraient parvenus à s’échapper, parfois avec l’aide de James.

Barker écrit que James lui a expliqué que les Marianistes de la bibliothèque pensaient qu’il était une réincarnation de Susan l’empoisonneuse, passée du satanisme au christianisme.

Après cela, Barker dit qu’il est resté tranquille de nombreuses années, ne voulant rien faire pour énerver ce « Comité ».

Il s’est converti et a rejoint une église chrétienne.

Puis il a commencé à parler dans l’émission de radio d’un ami d’enfance, Thought Crime Radio, d’abord d’OVNIS et de transhumanisme, puis de satanisme.

Il a aussi écrit plusieurs livres sur le contrôle mental et la manière de s’en sortir, des sortes de guides pratiques.

Il a aussi écrit sur les délires rituels et les objectifs des satanistes.

Le livre se termine avec une dernière information.

Barker explique qu’il a appris par une connaissance du milieu, bien des années après toutes ces histoires, que son bourreau Shotzy avait connu une fin tragique.

Son groupe était devenu accro au sang “adrénalisé” (adrenalized), surtout celui des enfants qu’ils enlevaient et torturaient pour boire leur sang.

Un jour, ses copains étaient assoiffés et l’ont zigouillée pour boire un coup, explique Barker.

Le tout a été filmé.

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Voilà en gros ce que Kerth Barker écrit dans ce livre.

J’avoue que c’est la première fois que j’ai connaissance d’un tel récit.

Il donne une vision que j’ose qualifier de “soft” des pratiques de la majorité des satanistes, qui m’interroge.

Parmi les affaires que je connais, certaines ont révélé des pratiques relevant de diverses formes de ce que j’appelle satanisme, comme un terme générique.

Il y a des pratiques à tendance vaudoues, sans meurtres ou sacrifices, d’autres plus marquées.

Il y a toujours une initiation progressive des victimes à des pratiques qui vont crescendo.

En ce qui concerne une éventuelle “lutte” interne dans ces groupes de dingues, il semblerait qu’une rivalité entre “satanistes” vieille école et les lucifériens soit en cours.

Mais d’après ce que j’en sais les deux se valent, dans les pratiques comme dans les résultats, qui sont loin d’aller dans l’intérêt commun.

Le témoignage de Barker est intéressant, il y a un aspect “insider” assez rare, qui permet d’expliquer le fonctionnement d’un groupe précis, à un moment précis.

Car les faits racontés par Barker remontent à 30, 40, 50 ans, et il semble évident que ces structures ont évolué, de même que leurs méthodes.

Je crains aussi que le phénomène se soit amplifié, car les témoignages se multiplient bien qu’ils soient systématiquement ignorés, voir étouffés.

(Toutes les peintures qui illustrent cet article ont été réalisées par Kim Noble, une artiste anglaise, victime de nombreuses personnalités alter, et ancienne victime de ces réseaux de tarés).

Cannibales, buveurs de sang humain et adeptes sataniques de haut niveau

Dans le livre “Cannibalism, blood drinking & high-adept satanism“, Barker tente une explication de ce qu’est le satanisme.

Il a été forcé par des satanistes à la prostitution quand il était enfant et adolescent, pour faire des films pédopornographiques, mais aussi pour corrompre divers personnages utiles au réseau.

Ensuite, les satanistes qu’il fréquentait voulaient l’initier, mais il a pris ses distances et fini par fuir.

Dans ce livre, Barker décrit de l’intérieur le fonctionnement des satanistes qu’il a connus, leurs méthodes et leurs objectifs.

Ce qu’il dit dans ce domaine correspond à ce que j’ai pu comprendre jusqu’à présent.

Mais, il y a une ou deux thématiques que Barker aborde et qu’il m’est impossible de suivre, comme les extra-terrestres ou les démons.

Le résumé qui suit insiste sur les aspects les plus factuels du livre.

Une définition du satanisme

Il considère qu’il y a différentes formes de satanisme, mais que leur motivation est toujours la même : imposer un pouvoir mondial.

Il considère, bien qu’il y ait quelques petites différences purement esthétiques, que satanistes et lucifériens, c’est la même chose.

Il explique ainsi différentes formes de satanisme :

  • Des athées qui rejettent le christianisme en structurant ce rejet par des rituels,
  • De vrais païens qui veulent retourner à des religions pré-chrétiennes,
  • Ceux qui s’identifient aux mystères de l’Egypte, de la Grèce et de la Rome ancienne,
  • Des lucifériens qui sont des francs-maçons de haut niveau, et se réclament davantage de la FM que du satanisme.
  • Les gnostiques qui voient lucifer comme l’apporteur de lumière
  • Les satanistes  “socialistes”, comme la Fabian Society, qui veulent imposer un socialisme mondial décrit par H.G. Wells dans “New World Order”,
  • Des “scientifiques rationalistes” qui voient le satanisme comme un moyen de rejeter les superstitions et les autres religions. Ils sont souvent proches des “athées”. Pour Barker, le mouvement transhumaniste, qui rêve de remplacer l’homme par des robots, plonge ses racines dans les délires satanistes. “Julian Huxley, qui a été le premier fondateur du Mouvement transhumaniste, était un membre de la société secrète luciérienne“, écrit Barker.
  • Ceux qui sont à 100% versés dans l’occulte, “comme ceux qui croient en la théosophie, à l’ordre de la Golden Dawn“. En effet, on m’a déjà beaucoup parlé de ces groupes, en me disant d’y faire très attention car ils sont en force. Ces mouvements utilisent des sociétés, des ONG écrans, et tentent de peser au maximum sur les orientations des institutions internationales, l’ONU en premier lieu.
  • D’autres veulent regrouper toutes les religions du monde en une seule. “Cela semble être l’objectif du Lucis Trust, qui était à l’origine appelé Lucifer Publications, et qui est maintenant associé aux Nations Unies“. Ces groupes aussi, en effet, sont présents dans des instances de l’ONU.
  • Il y a ceux qui vont dans le satanisme pour obtenir des pouvoirs “magicks” (c’est ainsi que Alistair Crowley écrivait le mot “magique”) pour manipuler les autres. Les adeptes de Crowley étaient dans cette veine.

“La plupart des satanistes ne pratiquent pas le cannibalisme, ne boivent pas de sang et ne pratiquent pas le sexe déviant, mais la minorité qui s’adonne à ces pratiques est très significative et influente sur le mouvement international.

Les satanistes les plus puissants financièrement dans le monde sont de riches aristocrates qui contrôlent de vastes ressources.

Ils maintiennent leur pouvoir à l’aide de criminels accomplis.

Et les plus dangereux de ces criminels sont des satanistes qui pratiquent le cannibalisme et boivent du sang”,

écrit Barker, qui ajoute qu’au-dessus encore de ces ploutocrates (une élite d’amis qui tient le pouvoir) et leurs bras droits, il y a les “Hauts Adeptes Satanistes”, des occultistes qui manipulent les gens grâce à des pouvoir qu’ils auraient, et qui prendraient ainsi possession du monde.

 

Les mystères du Sphinx- éducation sexuelle

Dans son autobiographie, Barker a raconté un épisode où le chef du groupe satanique, le Baron, l’a amené chez deux frangines illuminatis, lesbiennes et pédophiles.

Elles avaient une impressionnante bibliothèque, et pensaient qu’il leur fallait découvrir les mystères du Sphinx pour accéder au pouvoir mondial.

Leurs parents, écrit Barker, étaient frère et sœur, mariés et satanistes.

Apparemment, ils croyaient fermement aux délires d’un disciple sataniste de Freud :

“Ce psychiatre satanique a projeté que dans le futur tout le monde aurait une promiscuité sexuelle, parce que la répression sexuelle était la base pour toutes les névroses.

Par conséquent, le gouvernement exigera une promiscuité sexuelle de tous ses citoyens afin de guérir la société de la névrose.

En outre, cet auteur satanique a fait l’hypothèse que dans le futur tout le monde sera tenu par la loi d’être homosexuel.

Ce serait une méthode de prévention de la surpopulation.

Il a prédit que pour accepter cette orientation sexuelle contre nature, les gens devraient être continuellement socialisés dès la naissance et tout au long de leur enfance.

Alors l’éducation pédophile des enfants deviendrait alors la norme”, écrit Barker.

Voilà qui est intéressant, parce qu’en filigrane, l’objectif de l’ “éducation sexuelle” made in ONU/Kinsey est bien celui-là.

Puis les parents, devenus homos, se sont séparés, prenant chacun une des filles avec eux, et coupant le contact.

Chacun des parents, cependant, leur a fait expérimenter dès l’enfance les relations pédophiles homosexuelles.

Puis une fois adultes elles se sont rencontrées et se sont mises ensemble.

A ce moment, leurs parents les ont initiées dans le satanisme.

Ensuite, selon Barker, elles auraient été recrutées par les illuminatis.

Bref, lors de cette visite chez les deux sœurs, il était temps de passer à table.

Barker explique que sur la table, le plat était constitué de diverses viandes : porc, poulet, dinde, bœuf, mouton et viande humaine, le tout avec des épices, et un mélange de ketchup et de sang humain.

Les deux sœurs ont alors expliqué d’où venait cette viande de “bétail humain”.

“Elles expliquent qu’une fois par an, elles “récoltent” une famille de travailleurs migrants.

Pendant l’été, les routes du Midwest étaient fréquentées par des voitures et des camions avec des familles de pauvres travailleurs, parfois sans papiers”, écrit Barker.

Les deux frangines envoyaient les sbires, des femmes en apparence très bien, très chrétiennes, avec des croix autour du cou et des bibles dans les mains, qui venaient frapper à la porte de ces familles, pauvres mais en bonne santé, et leur amenaient à manger.

Évidemment, la nourriture était bourrée de drogues.

Quand toute la famille s’était endormie, tout le monde était ramené en van.

Après une journée, on leur donnait énormément d’eau, puis quand toutes les drogues étaient parties, on les tuait.

Mais le but était de les découper alors qu’ils étaient encore vivants, devant le reste de la famille.

Une famille leur suffit pour un an car elles consomment de “la viande de bétail humain” avec modération, mais, d’après ce que décrit Barker, avec une grande délectation.

Une partie du sang était récupérée à des fins culinaires.

A ce sujet, la description de Barker n’est pas sans rappeler la soirée “Devil’s Heaven” de Lady Gaga et Marina Abramovic, dont nous sommes censés considérer qu’il ne s’agit que d’une “performance artistique” à l’occasion d’une banale soirée VIP.

Je ne dis pas que les invités ont mangé de la viande humaine et bu du sang à cette soirée, mais la symbolique n’est certes pas innocente.

Les deux sœurs expliquent aussi à Barker que le Sphinx est le symbole parfait du “cannibalisme aristocratique” des lucifériens : en effet, il a un corps de lion qui mange les humains, et une tête d’humain.

Barker dit que partout où on voit de grands Sphinx, c’est qu’il y a des satanistes [6].

L’objectif de cette visite, pour le Baron, était de repérer l’emplacement de leur bibliothèque, bien cachée dans les sous-sols.

Mais ils craignaient qu’elles ne les y enferment, comme elles avaient l’habitude de le faire.

Apparemment, quand le Baron a mentionné la “Dark Mother”, la mère noire qui serait leur supérieure, cela leur a fait suffisamment peur pour éviter de se faire enfermer.

Elles avaient de nombreux livres sur le cannibalisme, le satanisme, la pédophilie, le sexe… et pas mal de films et de photos pédopornographiques à vomir, dont l’une le montrait allongé sur un autel.

Certaines photos valaient plusieurs milliers de dollars, explique Barker.

Par exemple, une photo en noir et blanc montrant une fillette nue, qui est devenue la femme d’un sénateur, qui « valait une petite fortune ».

Le Baron a expliqué à Kerth que les deux frangines étaient en délicatesse avec la dark mother, leur supérieure illuminati, car elles ne rapportaient pas assez d’argent, ne rendaient pas assez service au groupe.

Du coup, elle a envoyé le Baron et ses hommes leur piquer leurs livres, leurs biens et leurs esclaves [7].

L’ONU, instrument de lobbying international

Pour se racheter, la dark mother leur a demandé de rejoindre un think-tank qui travaillait pour l’ONU.

“On m’a dit que beaucoup des élites des Nations Unies sont des cannibales pratiquants qui gardent des esclaves – cela correspondait bien aux deux sœurs”, écrit Barker.

“Ce think-tank était un groupe d’intellectuels qui font des plans pour la prise de pouvoir mondiale par l’ONU.

Ils faisaient aussi des plans pour créer une nouvelle civilisation pour la race humaine une fois cette prise de pouvoir effective”.

Barker explique que tous les gens de l’ONU et des think tank autour ne sont pas des pédophiles, cannibales et lucifériens, mais selon lui, tous sont des tarés.

“Si vous ne me croyez pas, lisez l’Agenda 21 de l’ONU.

Si l’Agenda 21 fonctionne, cela prendrait tout le pouvoir des gouvernements nationaux et locaux afin que les ploutocrates qui tiennent l’ONU aient le contrôle total des ressources partout dans le monde”, précise Barker [8].

Ce texte est effectivement incroyable : il vise à organiser toute la société, à la contrôler et à tout planifier, y compris sur le plan démocratique, et cela au nom du développement durable.

Ne lisez pas à ce sujet les articles des médias commerciaux : ils ont juste retapé les communiqués de presse et sont loin de la réalité de ces textes.

Mais, laissons poursuivre Barker :

“Toute la nourriture, toute l’eau, les animaux et les humains seront contrôlés par les élites globalistes.

Tout le monde sera contraint de vivre dans des zones de peuplement.

Tout le monde sera tracé et contrôlé”, des réserves en fait.

Le pire, c’est que c’est écrit noir sur blanc dans les textes officiels, mais nos élites font comme si cela n’y était pas, et comme si l’Agenda 21 était formidable pour l’humanité.

On comprend mieux comment des horreurs pareilles sortent en permanence des cranes d’œuf de l’ONU, quand on sait qui sont ces gens et ce qu’ils défendent.

L’objectif est de mettre tout ce machin en place d’ici à 2050. Donc demain.

La plupart des gens ne comprennent pas que le bâtiment des Nations Unies en entier est un temple satanique“, écrit Barker.

Il y a même, dans une petite pièce, appelée la “meditation room”, un autel satanique (mais on ne la vend pas comme cela sur le site de l’ONU [9], on dit qu’il s’agit d’une salle ouverte à toutes les religions).

La peinture abstraite au fond montre une faucille, qui représenterait le sacrifice humain et la planète Saturne.

10 sièges qui représenteraient les 10 rois satanistes quand l’ONU aura pris le pouvoir font face à l’autel.

Sur le cannibalisme

Au sujet du cannibalisme, Barker explique ce que lui a raconté le Baron.

Les satanistes cannibales des villes de la côte Est sont nombreux et bien organisés.

Des entreprises cachées derrière des sociétés écrans vendraient de la viande humaine de qualité à des prix élevés, grâce au flot incessant de travailleurs clandestins et leurs enfants.

Les otages sont ensuite gardés et engraissés dans des maisons secrètes, puis des ruches cannibales les choisissent sur photo et avec quelques infos en plus.

Parfois, certains sont torturés pour que leur sang se remplisse d’adrénaline, ce qui est très recherché semble-t-il [10].

Ce genre de pratique serait commune aussi bien aux chrétiens qu’aux juifs.

La “viande humaine” serait ensuite préparée et conditionnée comme la viande animale.

Bob, qui était en quelque sorte l’ “éducateur” de Barker dans le satanisme, lui aurait encore précisé que des politiciens, aussi bien démocrates que républicains, mettaient de la viande humaine dans les plats servis à leurs diners de levées de fonds.

Les lucifériens le savent, pas les autres. Bon appétit.

Barker explique que le Baron n’appréciait par la forme de cannibalisme pratiquée par les deux sœurs.

Il préférait le “cannibalisme philosophique” pratiqué par les élites satanistes.

Barker évoque aussi des films amateurs qu’il a vus, faits par des illuminatis de “haut rang” qui s’adonnaient au cannibalisme.

La qualité des films était très bonne, selon Barker.

Certains de ces films avait été tourné dans la villa d’un des membres du “Comité” [11], c’est-à-dire le haut de la hiérarchie sataniste, un autre chez un très riche patron d’entreprise US.

Les films étaient tournés dans les années 70 par Bob, qui avait été missionné pour filmer les pratiques sataniques à travers le monde.

Bien qu’habitué à filmer de la pédopornographie, il a été choqué par certains rituels de sacrifices et de cannibalisme.

Il a fait des copies qu’il a montrées à des lucifériens qui ne pratiquaient pas cela et qui ont aussi été choqués, raconte Barker.

L’un des films, en noir et blanc, montrait deux vieilles dames souriantes dans une grande et belle cuisine, en train d’égorger un bébé de quelques mois, de récupérer le sang et les organes tout en expliquant gentiment ce qu’elles faisaient, comme dans une émission culinaire classique.

Puis elles recommencent avec une petite fille Noire.

Elles gardent la nappe pleine de sang en souvenir, avant de passer à l’étape de la préparation.

Enfin, le film montre le repas, avec tous les convives en tenues de soirée, se délectant des plats.

Deux des convives, un jeune couple, ont été installés dans l’axe de la caméra, en bout de table.

L’homme demande pourquoi ils sont filmés, et on lui répond qu’il est son nouvel employé et ami, et qu’il voulait filmer cet événement spécial pour célébrer leur amitié.

On leur explique qu’ils vont avoir un plat spécial, avec un porc spécial, très rare et délicieux.

Au cours du repas, les invités plaisantent au sujet de la viande, sans que le couple n’y comprenne rien.

On explique à Doug, qu’on comptait vraisemblablement le faire monter dans la hiérarchie de la boite, qu’il devait oublier la morale, considérer le public comme du bétail.

“Je ne veux pas que tu sois un leader d’hommes”, lui dit son hôte,

“je veux que tu sois un gardien de bétail.

Tu es un aristocrate maintenant, tu es un des nôtres.

Tu dois penser différemment à leur sujet”.

Tout à la fin, on leur montre deux plats sous cloche. En enlevant la cloche, ce sont les têtes des deux bébés qu’ils voient.

La femme tombe dans les pommes.

Le gars demande si ce sont des têtes de poupées, tout le monde rit gaiement, puis il comprend ce qu’il vient de manger et s’évanouit à son tour.

Puis ils se relèvent et rejoignent le délire…

En fait, selon Barker, les deux avaient déjà rejoint le satanisme, c’était seulement la première fois qu’ils mangeaient des êtres humains.

Ce leader illuminati avait pour délire numéro 1, qu’il voyait comme l’acte démoniaque suprême, de faire manger par une mère son propre nouveau-né [12].

Cette scène-là également a été filmée, dans la même pièce et avec le même angle que le film précédent, mais les convives semblaient “plus sombres” à Kerth.

Le scénario a été le même, jusqu’au plat avec la tête de l’enfant qu’ils ont montré à la mère.

Mais elle a été tuée ensuite.

Un troisième film décrit par Barker est simplement insoutenable.

Je résume : une femme attachée à une table est en même temps violée et mangée par des dingues procédant de manière chirurgicale.

Parfois, ils brûlaient ses blessures pour éviter qu’elle ne meure trop vite, raconte Barker, qui décrit une scène d’un sadisme absolu que j’aurais du mal à retranscrire ici.

Ce film a été tourné par Bob, qui le lui a montré ainsi que quelques autres, en revenant de sa tournée européenne.

Bob lui a expliqué que cette femme avait été retenue et torturée pendant des semaines avant cette mise à mort filmée.

Selon Bob, ces films ne servaient pas qu’au sadisme sexuel, il s’agissait aussi d’un entraînement du chef illuminati sur ses employés, pour les désensibiliser.

Il les forçait ainsi à être sans foi ni loi dans leur pratique professionnelle au quotidien, à traiter les gens comme des objets.

Suite à cette tournée de films, Bob a été passablement écœuré et il a en partie voulu quitter ce système, raconte Barker.

Pendant une dizaine d’années, Bob a fait des copies de films qu’il devait tourner.

Son but était de les montrer à des satanistes moins criminels pour les choquer et les retourner, afin de changer le système luciférien de l’intérieur.

Finalement, son manège a été repéré et Bob a été liquidé par le réseau.

Selon Barker, il est impossible de changer quoi que ce soit au système depuis l’intérieur, car le haut de la hiérarchie ne laissera jamais tomber ni son pouvoir, ni ses plans.

L’initiation

Quand le Baron voulait initier quelqu’un, il organisait une cérémonie, dans la nuit du 7 au 8 septembre.

Il n’y a qu’une date par an, d’après Barker.

La cérémonie consistait à des rituels de sacrifice et des orgies sexuelles, dont le clou du spectacle était la copulation d’une femme et d’un bouc auquel on avait mis une couronne et une cape.

Apparemment, le bouc représente satan et est carrément vénéré pendant la cérémonie, avant d’être sacrifié et cuisiné.

Après, ils boivent le sang et passent à l’orgie, et après l’orgie ils mangent la viande.

Cette cérémonie était appelée « le mariage de la Bête ».

Au cours de cette cérémonie, qui a lieu à 13 ans pour les garçons, leurs diverses personnalités sont réunies.

Barker écrit qu’on lui a expliqué que cette idée de fractionner la personnalité des enfants était venue en Europe, quand pendant le Moyen-Age les satanistes ont dû dissimuler leurs croyances.

Les enfants étant trop jeunes pour la duplicité, on les traumatisait pour fractionner leur personnalité, avec un côté de bons chrétiens qui passait bien en société, et un côté sataniste, caché.

Lors de la cérémonie des 13 ans, le garçon devait avoir sa première éjaculation et sacrifier un animal.

A la fin, la personnalité chrétienne était tuée et le garçon savait qu’il était 100% sataniste.

Pédopornographie

D’après Barker, le Baron tirait pas mal d’argent de la vente de pédopornographie, dont la clientèle était constituée par ceux que Barker appelle les “aristocrates lucifériens”.

Depuis ses 7 ou 8 ans ans, Kerth avait été forcé par le Baron de tourner dans de nombreux films pédopornos, souvent filmés par Bob, et qui étaient distribués partout dans le monde.

Mais, certains des films dans lesquels il avait été obligé de “jouer” avaient un autre objectif: faire chanter des politiques, des patrons ou hauts cadres d’entreprise

Cela était très utile au Baron pour ses divers business.

Le type était invité à une soirée, il était saoul et défoncé, et on lui propose des prostituées, puis il se retrouve dans une chambre avec un ou une mineur(e).

Un jour, le Baron a fait un film lors d’une pseudo cérémonie de mariage entre Kerth et un autre ado de 13 ans, Martin, organisée essentiellement pour l’aspect “piquant” du scénario.

On a demandé aux gamins de se violer mutuellement et de tuer leur personnalité chrétienne.

On leur a aussi dit qu’une fois adultes ils seraient un couple, et qu’ils devraient promouvoir les droits des homosexuels, car il y avait trop d’enfants dans le monde, et que promouvoir l’homosexualité était un moyen de contrôler la croissance de la population.

Barker explique que Martin était littéralement programmé par ses parents pour devenir gay, même s’il ne l’était pas à l’origine, et il pense que Martin était pris dans un projet expérimental de contrôle de la population.

Ils se sont revus à 17 ans, et Martin s’est suicidé peu après.

Parmi les films que Bob lui a montrés, Barker cite celui dans lequel il a vu une fillette égorgée et saignée lors d’un rituel.

Ensuite, tout le monde boit son sang en festoyant.

Barker écrit que la petite fille était souriante au tout début, elle ne se doutait pas de ce qu’il allait se passer.

Ces films auraient deux objectifs : le côté soi-disant « magick », comme l’écrivait Alistair Crowley, et la manipulation psychologique du groupe.

Les amateurs de sang

Ce qu’explique Barker à ce sujet peut paraître invraisemblable.

Mais j’ai déjà entendu cela.

J’ai pu parler avec un homme qui avait intégré plusieurs loges, liées au satanisme et ses dérivés, généralement intégrées à la franc-maçonnerie de plus ou moins près.

A l’époque, je débarquais complètement en ce qui concerne ce type de croyances.

Pour moi tout cela n’était qu’un sombre délire et je n’avais pas le temps de m’en occuper.

Mais il m’avait expliqué le fonctionnement de ces loges, leurs rites d’initiation, avec les sacrifices et cette manie de boire du sang.

En le regardant, je me demandais s’il se fichait de moi, sur le moment.

Tout cela pour dire que ces pratiques sont connues, sauf par le grand public.

Barker explique bien pourquoi le fait de boire du sang est si important pour tous ces dingues.

Il dit que c’est un phénomène lié à l’absence de pouvoir :

“Les gens qu’on a amenés à se sentir impuissants dans leurs vies peuvent être attirés par le fait de boire du sang, comme une manière de retrouver un sentiment de pouvoir”.

Il explique que ceux qui font cela ont été abusés depuis leur naissance.

Ils recherchent donc de la force supplémentaire, d’où la recherche de sang “adrénalisé”.

Il écrit que quand il était jeune, certains ont tenté de se rebeller de l’intérieur, effrayés par la vague de dépendance au sang bourré d’adrénaline dans le milieu illuminati.

Selon lui, il s‘agit d’une dépendance similaire à celle liée aux drogues dures.

Il en a eu en thérapie et il dit que

“Par exemple, il devient assez vite parfaitement clair pour vous que votre client vous regarde de la manière dont un loup regarderait un agneau qu’il voudrait tuer et manger”.

Ambiance.

Il y en a qui boivent du sang parce que ça leur parait hype, dans le vent, et cela reste occasionnel.

Il y en a qui le font dans un cadre occulte, cette consommation peut rester modérée et, selon Barker, ils ne tuent pas pour obtenir ce sang, préférant utiliser leur ou du sang provenant de “diverses sources médicales”.

Et de citer en exemple la nouvelle mode du prélèvement de sang dans le cordon ombilical des bébés.

En buvant leur sang, en mangeant ceux qu’ils appellent le “bétail humain”, ils se sentent supérieurs.

Toutefois selon Barker, la plupart des aristocrates satanistes ne s’adonnent pas à ces pratiques, tout en tolérant que d’autres le fassent.

Certains, en revanche, y vont franchement, au point de se faire des transfusions régulièrement, avec du sang de jeunes en bonne santé ayant un groupe sanguin compatible.

Ceux qui pratiquent ces rituels de sacrifices d’enfants croient qu’ils absorbent ainsi la force vitale des enfants (et la sodomie est utilisée comme un canal, m’a-t-on dit) et gagnent en jeunesse.

Au fil du temps, un certain nombre de ces adeptes du sang deviennent accros, et en prennent des quantités de plus en plus importantes.

Ils ont des crises de manque, et cherchent à se procurer le produit miracle.

Barker, qui a eu l’occasion d’en soigner quelques-uns quand il a été thérapeute, a inventorié essentiellement trois types de satanistes accros au sang :

  • Ceux qui persuadent les gens de leur laisser boire leur sang. Le problème c’est qu’ils commencent par demander une petite quantité, puis ça ne s’arrête plus car ils ont un comportement addictif.
  • Ceux qui enlèvent des victimes, les gardent vivants et leur prennent leur sang par la force. Ce sont eux qui torturent leurs victimes avant de prendre leur sang.
  • Ceux qui tuent dans le but de récolter le sang des victimes. Certains sont des professionnels qui fournissent du sang aux autres.

Barker rappelle les histoires de Dracula, Elizabeth Bathory, mais aussi d’Anton LaVey, fondateur de l’église de Satan, qui a proposé de la viande humaine (donnée par un médecin qui assistait à ses discours) à ses adeptes.

Ceux qui mangent de la viande “adrénalisée”, qu’elle soit humaine ou animale, seraient plus agressifs, et boire du sang humain ferait le même effet, comme une sensation de puissance.

Selon Barker, parmi les 1% les plus riches des USA, tous ne sont pas lucifériens, mais les lucifériens luttent pour l’intérêt de ce 1%.

Dans les lucifériens, tous ne croient pas fondamentalement au satanisme, mais y vont par intérêt, d’autres sont des dilettantes, d’autres sont des convaincus.

Parmi ceux-là, seulement une petite minorité, d’après Barker, boit du sang [13].

Mais malgré tout, cela fait quand-même pas mal d’accros au sang frais, de préférence celui des enfants, et avec de l’adrénaline, c’est-à-dire quand les victimes sont tuées après avoir été torturées.

Et c’est un très gros problème “, souligne sobrement Barker.

Le problème vient essentiellement du fait que les illuminatis cherchent à rester discrets jusqu’à leur prise de pouvoir complète, et que les débordements des accros à la recherche de victimes font un peu tâche.

Cela met la puce à l’oreille aux braves gens, qui pourraient bien finir par se poser des questions.

“Je sais que des illuminatis de haut rang étaient préoccupés du fait que le phénomène de la consommation de sang était hors de contrôle.

Beaucoup de gens, et beaucoup d’enfants, ont été enlevés pour cela.

Et il y a tellement de gens qui disparaissent que ça met le public en alerte”, écrit Barker.

Du coup, un programme de désintoxication a été mis en place par les lucifériens, pour leurs adeptes devenus toxicos au sang.

On m’a aussi fait comprendre, à plusieurs reprises, que les “besoins” en sang des satanistes augmentent, et que pour s’en procurer ils doivent massacrer à tour de bras.

La vague de migration impressionnante depuis 3 ans fait qu’ils ont désormais sous la main un flot de matière première incessant, mais les disparitions d’adultes comme d’enfants atteignent chaque année des chiffres impressionnants.

MK Ultra

On a déjà parlé de ce programme de la CIA, dont le but était de parvenir au contrôle mental total des individus et des populations.

Selon Barker, “Le programme de contrôle mental MK Ultra, organisé par la CIA, était réellement une expérience illuminati.

Le but réel de MK Ultra était de prendre le satanisme traditionnel et de le transformer en une méthode scientifique.

C’est le contrôle mental basé sur le trauma”.

“Le but ultime des grands adeptes du satanisme est la destruction complète de la race humaine et de l’écosystème naturel de la Terre”, avertit Barker.

Puis, j’ai beaucoup de mal à le suivre.

Il dit qu’ils se fichent de tout détruire car ils s’identifient “aux aliens des autres mondes qui sont sous la règle de satan”.

L’objectif serait de remplacer l’humanité par une nouvelle espèce d’aliens.

Le plan, explique Barker, serait de créer une menace importante puis d’orienter les gens vers des endroits dont on leur dira qu’ils sont sûrs, pour ensuite les exterminer à leur arrivée.

Cela leur évitera d’avoir à faire le tour des campagnes.

Il explique que la Federal Emergency Management Agency (agence fédérale de gestion d’urgence), la FEMA, fait comme chez nous, où la moitié des enfants migrants isolés disparaissent dans les 48h après avoir été fichés.

En Europe, on parle de 10.000 enfants dont on a totalement perdu la trace, tout de même.

En Europe, on construit aussi des camps.

Barker explique que la FEMA a aussi construit des camps, dans lesquels elle met des enfants migrants donton  ignore le devenir.

Entre octobre 2013 et juin 2014, selon Obama, plus de 47.000 mineurs non accompagnés ont franchi la frontière (le double de l’année précédente), si bien que 1,4 milliard de dollars a été débloqué pour les parquer en attendant de trouver leurs parents.

Selon Barker, le gouvernement US va carrément jusque dans leurs pays pour inciter ces mineurs à partir vers les Etats-Unis.

Ceci dit, officiellement, la FEMA n’a pas de camps et il ne s’agit que d’une théorie conspirationniste.

Barker évoque aussi un programme de dépopulation qui serait en cours, et qui finalement est contenu en filigrane dans l’Agenda 21 dont on a parlé plus haut et que j’incite tout le monde à lire.

L’objectif est de réduire la population dans des proportions qui la rendent contrôlable et qui évitent toute population superflue, c’est-à-dire inutile à ces “élites”.

Parallèlement à cette dépopulation, Barker explique que les gouvernements sont aujourd’hui en train de travailler à la destruction totale de la classe moyenne.

Force est de constater que même si l‘OCDE et le FMI ont critiqué récemment ces politiques de l’offre (ou d’austérité) qu’ils ont eux-mêmes imposées au monde entier, la politique économique que poursuit micron, de même que Theresa May, Rajoy, Michel, Merkel et d’autres, c’est bien d’enrichir les riches, surtout s’ils spéculent, et d’appauvrir la classe moyenne.

Quant aux plus précaires, je n’en parle même pas : ces gens et ces familles sont en mode survie dès le 5 du mois.

Tout cela, grâce au “Mensonge Honorable”, explique Barker.

En gros, vous connaissez tous le “mensonge honorable”: c’est quand micron vous dit qu’il veut redresser le pays, qu’il pense à la souffrance des pauvres, quand on vous dit que l’Europe c’est pour la paix…

Et pendant qu’on vous berce d’énormités, on ne dit pas ce qu’on fait vraiment, quels choix politiques on fait réellement, quels intérêts on défend.

Il y a un côté hypnotique à tout cela, à toutes ces bonnes paroles creuses, mais qui ont le pouvoir d’endormir quand elles sont répétées à longueur de temps de cerveau disponible.

Transhumanisme et mutilations chirurgicales

Ce sujet est assez étonnant, en fait.

Mais à lire la “déclaration des droits sexuels” de l’IPPF (Internationa Planned Parenthood Federation), par exemple, on comprend qu’un objectif mondial est de faciliter l’accès de tout le monde mais en particulier des enfants à la chirurgie esthétique [14].

En effet, l’IPPF, le planning familial international, nous explique p. 20 dans l’article 1

“Le droit à l’égalité, à l’égale protection devant la loi et à n’être soumis à aucune discrimination sur la base de son sexe, sa sexualité ou son genre”,

que “toute personne doit pouvoir bénéficier de la capacité légale et des mêmes opportunités d’exercer ladite capacité, et de droits égaux à signer des contrats et gérer des biens et doit être traitée avec égalité dans toutes les étapes de la procédure devant un tribunal, ce en tenant pleinement compte des capacités évolutives de l’enfant”.

Je ne vais pas épiloguer ici, je vous renvoie vers ces articles et , et vers le livre d’Ariane Bilheran.

Barker explique que les satanistes fanatiques « considèrent les êtres humains comme de la matière première », et selon ils cherchent à “utiliser la mutilation chirurgicale comme une forme de contrôle social“.

Barker explique avoir vu plusieurs films dans lesquels des satanistes opèrent des mutilations chirurgicales sur des victimes, prenant parfois le temps de les torturer durant plusieurs semaines.

Des gens sont découpés morceau par morceau alors qu’ils sont encore en vie, parfois même sans aucune anesthésie.

L’idée, explique Barker, est que quelqu’un qui a été mutilé physiquement éprouve à vie un sentiment d’impuissance.

Ce type de mutilation pourrait se faire à une échelle industrielle, précise Barker, qui dit avoir vu des photos d’une machine capable d’enlever un bras à quelqu’un de manière complètement automatisée.

Quant au transhumanisme, il s’agit d’une école de pensée et de pratiques, dont le but est de perfectionner l’humain grâce à l’intelligence artificielle et à la robotique.

Comme l’explique un site qui s’inscrit dans ce mouvement :

“Les transhumanistes cherchent à développer les possibilités techniques afin que les gens vivent plus longtemps et en santé tout en augmentant leurs capacités intellectuelles, physiques et émotionnelles”.

On n’est pas loin des théories eugénistes, soit dit en passant.

Barker dit que la notion de transhumanisme est une sorte d’introduction à celle de “surhumanisme” (subhumanism), et il affirme que les illuminatis sont très favorables à ce mouvement, qui va dans leur intérêt.

De fait, s’ils n’en sont peut-être pas à l’origine, ils y sont forcément partie prenante.

Le premier à avoir parlé de transhumanisme est le biologiste anglais Sir Julian Huxley [15], et c’était en 1957, explique Barcker.

“Il a été à la tête de la British Eugenics Society et de l’UNESCO.

Selon Huxley, “l’objectif de l’UNESCO… est d’aider à l’émergence d’une unique culture mondiale”.

Sans aucun doute, Huxley était un membre des illuminatis”, précise l’auteur.

Barker explique que les Illuminatis ont été créés par Adam Weisaupt en 1776 (ce qui n’est plus une théorie du complot), puis le truc a été mis en sommeil avant d’être remis en route par les Rothschild.

Leur premier objectif, toujours selon Barker, était d’infiltrer la franc-maçonnerie.

Au fil du temps, c’est aussi ce que l’on m’a expliqué.

Dans la franc-maçonnerie, il y a des loges parallèles, des loges dans des loges, et au final il est impossible même pour les “adeptes” de savoir qui fait quoi et dans quelle loge, dès lors qu’il y a une tentative de dissimulation.

Certaines de ces loges ont des pratiques occultes, ou tentent de le faire, et certaines partent complètement en vrille, avec des orgies, des rituels sexuels, des prises de drogues et parfois des meurtres.

Il y a aussi des ponts entre des loges franc-maçonnes et des groupes qui s’affichent satanistes, comme l’OTO [16], et à d’autres qui ne l’affichent pas mais sont bien dedans.

Crowley lui-même avait été propulsé dans l’OTO grâce à son appartenance à la franc-maçonnerie.

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Le livre de Barker est assez touffu, tout ne figure pas dans ce résumé.

Mais il nous met sur la piste…

Je me rappelle de que me disait cet ancien RG, qui avait été dans certaines de ces sectes, certains de ces groupuscules plus ou moins proches de la franc-maçonnerie, et qui connaissait très bien leurs dérives: “il faut suivre la piste du sang“.

Avec ce livre, chacun peut maintenant comprendre ce qu’il disait par-là.

Le phénomène n’est pas marginal: j’ai pu récolter assez de témoignages pour savoir que ces tarés, même s’ils ne boivent pas tous du sang humain à chaque cérémonie, sont obsédés par les lignées, par l’ADN, mais aussi par le sexe y compris avec les enfants, par les tortures, le meurtre, et ne fonctionnent que par le mensonge et la duplicité.

[1] On parle de 1.600 scientifiques allemands transférés aux USA (dont certains avaient été renvoyés à Nuremberg), mais il y en a eu des centaines à avoir été transférés en Amérique latine, par exemple, où ils ont activement soutenu les dictateurs locaux et les trafics divers et variés.

[2] Barker explique que ce passage du livre était une citation d’un document classifié de la CIA.

Le psychiatre racontait comment, pendant la 2e guerre, il travaillait dans un camp.

Le commandant voulait faire d’une petite gitane de 12 ans sa prostituée personnelle, et le psy a eu l’idée d’utiliser des techniques d’entrainement des animaux pour entrainer la fillette pour avoir des “relations” sexuelles avec des vieux types.

Il dit qu’il ne faut pas penser à l’enfant en tant qu’un être humain.

[3] Les Marianistes sont décrits dans le livre de Barker comme un très ancien culte matriarcal dirigé par des femmes, autrefois puissant et doté de nombreuses bibliothèques cachées en Europe, dont il n’en resterait qu’une.

Ils auraient une vision particulière du christianisme qui n’a rien à voir avec l’église catholique.

Pour eux, Marie avait le même rôle de messie que Jésus.

Ils priaient Jésus dans les églises normales et Marie en secret.

Leur société secrète a été créée pour sauver les livres que les autorités voulaient brûler.

[4] A cette occasion, il a remarqué que les rituels n’étaient pas les mêmes d’un groupe à l’autre, bien que tous étaient sous le contrôle du “Comité”.

Il aurait vu aussi que l’ampleur du phénomène était bien plus important que les gens ne peuvent le penser, car il est très ancien.

Il a aussi vu des aristocrates en Europe s’adonner avec joie au cannibalisme.

[5] Quand des victimes ont peur, elles produisent de l’adrénaline dont leur sang se charge.

C’est pour cela que certains tarés cherchent à torturer et effrayer au maximum leurs victimes avant de boire leur sang, car celui-ci aurait diverses vertus.

Un ancien RG que j’ai rencontré m’avait expliqué que la pratique était courante dans certains cercles, certaines loges Franc-maçonnes qui ont viré sataniques.

Il m’a dit que l’abus de sang entraîne des dommages au cerveau notamment, ou des maladies comme la porphyrie, quand c’est pratiqué depuis plusieurs générations.

[6] On en voit d’énormes dans des temps martinistes ou rosicruciens, par exemple, notamment à Paris.

[7] Les deux sœurs détenaient deux fillettes qui étaient leurs esclaves, devaient rester nues et étaient violées et maltraitées à longueur de temps, selon Barker.

Le Baron les aurait récupérées, ce qui finalement était une situation moins grave que chez les deux autres.

Elles avaient aussi des domestiques, qui étaient des cousins du côté pauvre de la famille, totalement soumis.

[8] En effet, comme 90% des injonctions au moins, l’Agenda 21, c’est le monde d’Orwell : il vise à instaurer une politique globale, touchant aussi bien les plans économique, social, politique, international, sous couvert de protection de l’environnement.

Parmi les actions phares de ce truc :

  • Inventaire et contrôle de toutes les terres, de toutes les espèces animales et végétales, humains compris. Par exemple « Il faudrait identifier les groupes de population vulnérables (travailleurs ruraux sans terre, minorités ethniques, réfugiés, migrants, personnes déplacées, femmes chefs de ménage) dont les changements dans la structure démographique risquent d’avoir des incidences spécifiques sur le développement durable ». On pourrait résumer le délire à quelque chose comme : « les pauvres, ça pollue ».
  • Restructuration des régions et des Etats nations (flamby a obéi avec sa réforme des régions).
  • Cantonnement des populations, dans des modèles viables « d’établissements humains » bien gérés grâce notamment à la planification de la démographie.
  •  Vaccinations de masse au nom de la « santé » : « utiliser aussi largement que possible des vaccins pour prévenir des maladies » etc. Mise en place de « plans de santé » au niveau local.
  • Favoriser la GPA (cela n’a rien à voir avec l’environnement mais l’ONU ne recule devant rien ) : « Il convient d’instituer et de renforcer, le cas échéant, des programmes et des services génésiques visant à réduire la mortalité maternelle et infantile toutes causes confondues et permettre aux femmes et aux hommes de réaliser leurs aspirations personnelles quant à la taille de leur famille, dans le respect de leur liberté et de leur dignité et de leurs valeurs personnelles » ou encore « Les gouvernements devraient s’attacher activement à mettre en œuvre d’urgence, en tenant compte de la situation et des systèmes juridiques existant dans chaque pays, des mesures visant à garantir aux femmes et aux hommes le même droit de décider librement et de façon responsable du nombre de de leurs enfants et de l’espacement de leurs naissances ». Comme les hommes ne peuvent pas encore avoir d’enfants, il s’agit clairement de légaliser les mères porteuses.
  • Les accords de libre-échange TAFTA et compagnie (un suicide économique. L’Agenda 21 vise notamment à “Promouvoir un développement durable par le commerce ” !)

Aujourd’hui, l’Agenda 21 est entré dans les priorités des Etats, des collectivités, des régions, de l’Europe.

Je ne peux que vous conseiller de lire ce texte édifiant.

[9] La “meditation room” a été créée par le secrétaire général de l’ONU de 1953 à 1961 devenu mystique, le Suédois Dag Hammarskjöld, assassiné dans un accident d’avion en 1961.

D’aucuns considèrent qu’on l’a “sacrifié” après avoir utilisé ses compétences en occultisme.

[10] On m’a déjà expliqué, par quelqu’un qui a été dans ce genre de groupe, que les victimes terrifiées produisent de l’adrénaline, et que les amateurs de sang le recherchent car cela leur donnerait encore plus de force et de pouvoir.

En tout cas, eux y croient.

[11] Selon Barker, “le Comité est le groupe qui pilote les sociétés secrètes lucifériennes à travers le monde pour le compte des illuminatis“.

Toutefois, tous les groupes satanistes du monde ne feraient pas complètement allégeance à ce comité.

Pour Barker, de par son influence majeure sur les multinationales et les gouvernements, le “Comité” serait une sorte de « gouvernement mondial secret ».

[12] Je ne vais pas entrer dans le détail, mais en gros il a trouvé une jeune femme enceinte, seule, sans abri et au chômage, qu’ils ont été chercher à l’hôpital.

Un type du réseau s’est fait passer pour le représentant d’une association charitable aidant les femmes dans le besoin, lui a proposé un hébergement juste à côté d’un leader illuminati et un médecin du réseau a suivi la grossesse.

Après qu’elle se soit remise de la naissance, ils l’ont invitée à diner.

[13] A cela, je dirais quand-même qu’il n’y a manifestement pas que chez les élites satanistes fans de sang que l’on boit du sang : des enfants victimes ont décrit ce genre de choses dans des rituels commis je dirais dans la classe moyenne et le haut de la classe moyenne.

[14] La Colombie, sbire des Etats-Unis depuis des dizaines d’années, vient tout juste d’autoriser les mineurs à décider ou non de subir une opération de chirurgie esthétique à partir de 14 ans.

Aux Pays-Bas, on permet déjà depuis quelques années à des enfants de prendre des hormones pour changer de sexe, même avant 12 ans.

Je précise que le problème selon moi n’est pas le changement de sexe en soi, mais l’âge auquel ces enfants prennent des décisions qui vont les impacter définitivement.

[15] Huxley est le frère de l’’écrivain Aldous Huxley.

Il a été un collègue de Charles Darwin, dont il a fermement défendu les idées.

En 1946, il est nommé comme tout premier directeur général de l’UNESCO, dont il a contribué à la mise en place.

[16] L’Ordo Templi Orientis. Par exemple, on m’a expliqué que le cardinal Rampolla, secrétaire du pape Léon XIII, a été membre de l’OTO, tout comme de la franc-maçonnerie.

L’OTO ne supporte pas d’être assimilé à des pratiques satanistes, et n’hésite pas à entamer des procédures contre ceux qui osent le dire.

 

Actualisation 2021

Kerth Barker est mort d’un cancer dans des circonstances étranges peu après ses soixante ans.

http://thoughtcrimeradio.net/2021/01/kerth-is-gone/

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