Les réseaux pédocriminels n’existent pas | Round 57 | Réseau OKC

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Belgique | Robert Spatz, le gourou de la secte OKC, condamné à 5 ans de prison.
Robert Spatz, gourou de la secte OKC
Le gourou de la secte OKC est poursuivi pour plusieurs abus sexuels

Le podcast complet de cet article est téléchargeable ci-dessous (clic-droit puis “enregistrer la cible du lien sous”) ou à retrouver sur notre chaine Youtube.

Podcast – Réseau OKC (15′)

2018

L’avocat de Robert Spatz, fondateur de la communauté bouddhiste Ogyen Kunsang Choling (OKC), a contesté, mercredi devant la cour d’appel de Bruxelles, les accusations portées à l’encontre de son client pour des abus sexuels.

Dans ce dossier, l’OKC, quelques-uns de ses responsables et son chef spirituel Robert Spatz sont prévenus entre autres pour des délits financiers, des infractions à la législation du travail mais aussi pour des faits de prise en otage d’enfants.

Me Quentin Wauters a contesté les affirmations de femmes constituées partie civile au procès qui ont déclaré avoir été abusées sexuellement au sein de l’OKC par son client.

L’avocat a tout d’abord soutenu que certains faits étaient prescrits. Il a ensuite estimé que les récits des plaignantes ne tenaient pas la route, parlant de “frustrations d’adolescentes”, celles-ci étant mineures à l’époque des faits, entre la fin des années 1980 et le début des années 1990.

Concernant une autre femme, ancienne membre de l’OKC, qui a affirmé avoir subi des attouchements de Robert Spatz lors d’un rituel et avoir ainsi été victime d’attentat à la pudeur, l’avocat de la défense a également plaidé l’acquittement.

Dans ce cas , M. Spatz reconnaît avoir initié la plaignante à des rituels tantriques, acceptés dans le bouddhisme selon l’avocat.

Mais il conteste avoir voulu attenter à la pudeur de cette femme, affirmant qu’elle était adulte et consentante.

La communauté bouddhiste Ogyen Kunsang Choling (OKC), son chef spirituel Robert Spatz et certains de ses responsables sont prévenus devant la cour d’appel de Bruxelles pour des délits financiers, des infractions à la législation du travail ainsi que pour des faits de prise en otage d’enfants.

Robert Spatz est en outre prévenu pour abus sexuels.

Source : dhnet.be

 

Procès de la secte OKC: “Le gourou était un pervers narcissique pédophile”

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Le gourou Robert Spatz sera absent à l’audience qui débute ce matin. Des dizaines de jeunes Belges sont parties civiles.

Des dizaines d’entre eux n’ont connu que la secte, vivant pour elle et par elle, jusqu’à l’âge de la vingtaine.

Ils se sont réveillés.

Demain, ils seront plus d’une dizaine, voire plus d’une vingtaine, à se constituer partie civile devant la 89e chambre correctionnelle de Bruxelles.

Pour enfin prendre la parole au vu et su de tous, et expliquer ce qui a, pour eux, été un calvaire qui a duré des décennies.

Ce matin débute le procès de la secte bouddhiste OKC (Ogyen Kunzan Chôling).

Et le principal protagoniste, le gourou Robert Spatz, sera absent.

Retenu en Espagne, selon lui pour raison de santé, il ne sera pas non plus auditionné via vidéoconférence.

Robert Spatz, 71 ans, et dix personnes physiques et morales comparaissent pour une centaine d’infractions, entre escroquerie et des délits financiers.

Le gourou est quant à lui poursuivi pour plusieurs faits de mœurs. Il est soupçonné d’abus sexuels sur des enfants élevés au sein d’OKC.

La secte a pris son envol en 1972.

Elle se présentait comme un ensemble de centres bouddhistes tibétains dont Robert Spatz, appelé le Lama Kunzang Dorjé, a fondé le premier élément alors qu’il n’avait que 28 ans.

Rapidement, cet homme charismatique a réuni autour de lui plusieurs jeunes désorientés.

Des couples, également.

Qui ont eu des enfants, nés au sein de la secte.

C’est ainsi qu’entre 1980 et 2000, une septantaine de mineurs vivent en quasi autarcie, notamment dans le centre de Castellane, dans le sud de la France, au Château de Soleils.

Pendant ce temps, les parents travaillent, sans être déclarés ni payés, dans des restaurants bruxellois.

Vers 1995, une jeune membre d’OKC brise le tabou.

Elle dit avoir été victime d’attouchements de la part de son gourou.

“Personne ne la croyait dans la communauté. C’était inconcevable.

C’était comme si un chrétien allait dire que le Pape l’avait violé !”, se remémore Ricardo M., membre de la secte depuis sa naissance jusqu’à la vingtaine.

Le 30 mai 1997, une impressionnante opération franco-belge est mise sur pied. 200 gendarmes belges mènent 17 perquisitions en région bruxelloise tandis que leurs homologues français investissent les locaux de Castellane.

Le dossier français aboutira à un non-lieu en 2001, prononcé par le tribunal de Digne.

L’enquête belge fut interminable. Certaines victimes ne furent auditionnées qu’une seule fois, en 1997, alors qu’elles n’étaient encore que des enfants.

C’est à l’approche du procès que leur implication s’accélère.

Me Dimitri de Beco, avocat des parties civiles, relève le rôle important de l’émission Devoirs d’enquête, diffusée le 16 décembre, sur La Une.

“Elle a fait réagir des nouvelles parties civiles. Ils se sont mis en contact entre eux.

Certains viennent de très loin: du Canada, du Portugal, de Nouvelle-Calédonie.

Ils veulent témoigner”, relève le pénaliste.

Le procès va durer trois semaines.

Il apparaît quasiment établi que le dépassement du délai raisonnable sera retenu.

18 années d’attente pour des faits présumés si graves, est-ce effectivement bien raisonnable ?

 

“Un pervers narcissique pédophile”

 

Robert Spatz

Ricardo M. raconte comment les enfants se sont opposés aux parents au sein de la secte.

Pendant une vingtaine d’années, il n’a connu que “ça” : la secte, les camarades, ses parents et son gourou.

Le “lama” Robert Spatz, “le gourou mystique des parents, celui que tout le monde adore, qui s’immisce dans les vies privées de chacun à tort et à travers.

Celui qui m’a donné mon nom”.

Pendant toute son enfance, personne ne l’appelait Ricardo M. mais utilisait un nom tibétain.

“Je me suis réapproprié mon prénom vers la vingtaine.”

Vers 1979, la mère de Ricardo, alors mineure, fuit une “famille dysfonctionnelle”.

Son père veut s’échapper de sa famille aisée et “vivre comme un hippie”.

Ils rencontrent Robert Spatz et se mettent en couple. Naîtra alors Ricardo, qui vivra à Castellane, aux Château de Soleils, en vase clos.

Dans cette communauté, Spatz est le personnage central.

“Il ressemblait à un bon père de famille et représentait la figure paternelle qui nous manquait tant.”

Des photos de lui sont affichées partout, même chez les membres.

En 1993, Spatz déplace 25 adolescents depuis le château de Soleils vers un monastère au Portugal.

Les jeunes y vivent livrés à eux-mêmes, mal encadrés par une“femme qui galérait”.

Alors, Spatz les a rejoint.

“La vie, c’était des orgies de boissons.”

Dans le plus grand secret, il aurait commis des abus sexuels.

“Cela se passait sous notre nez, personne ne voyait rien.

Il n’était plus un guide mais un pervers narcissique pédophile.”

Aujourd’hui, Ricardo constate le gap entre sa génération, qui a brisé la glace et ouvert son cœur, racontant leur vie incroyable, et celle des parents.

Pendant que beaucoup d’entre eux sont encore membres de la secte.

“Pendant presque toute ma vie, mes parents n’ont pas su ce qui m’est arrivé.

Le conflit générationnel est fort. Spatz a détruit le peu de liens familiaux que l’on avait”, souffle Ricardo.

Qui a hâte de raconter son histoire devant le tribunal.

Source : http://www.dhnet.be

 

Actualisation du 3 mars 2021

Pour nous aussi “c’est trop peu”, mais nous sommes occupés sur cette affaire depuis 2016, nous avons un recul que la majorité des personnes rentrant en contact avec cette affaire n’ont pas, hors sans comprendre les dessous de cette affaire, le temps (20 ans) qu’il a fallu pour arriver au premier procès en 2016 (4 ans avec sursis dont la secte et Spatz ont fait appel 2018) sans comprendre l’affaire judiciaire et humaine derrière tout cela.

C’est en effet incompréhensible, et c’est normal, quasi tout le monde est en lecture de cette affaire en mode 2021, comme si ça venait d’arriver, mais il faut remonter en arrière pour comprendre ce bazar, et une des clefs de compréhension c’est le temps de justice :

En fait le plus dingue de cette histoire c’est comment le principal accusé, armé des meilleurs avocats de la capitale, a depuis 1997 tantôt bénéficié du temps qu’a pris la justice pour mener son enquête, tantôt il a provoqué ses délais et en fin de partie il bénéficie d’une peine plus légère, parce que ses “droits à un jugement dans un délai raisonnable” n’ont pas été respecté…

Sans parler des vices de procédures qui ont encore amaigri l’affaire au fur et à mesure des +20 ans qui sont passé entre les perquisitions, l’instruction de l’affaire, le premier jugement fin 2016 et le deuxième jugement d’appel du 2 décembre 2020.

La OKC existe toujours, même si moribonde, même si son cœur s’est déplacé en Espagne, il reste une bande d’irréductible fanatique, vivant directement auprès de Spatz en Espagne.

Dans la OKC, l’acquittement se confond avec “arrêt des poursuites”, ce qui est absurde, surtout si la reconnaissance de l’emprise de fait l’emporte et bénéficie toute la direction et les responsabilités sont mutée sur son fondateur, Robert Spatz.

Indirectement (ir)Responsable ne veut pas dire Innocent.

Et oui, c’est valide pour les parents aussi.

C’est une affaire compliquée, ancienne, un labyrinthe de témoins dans pas moins de 80 cartons en papier, adeptes, parties civiles et accusés, une affaire que la Belgique n’était pas équipée pour traiter, alors qu’à la même époque l’affaire Dutroux éclatait…

Bref…

Tellement de choses à dire, qui ne justifie pas, mais qui peut-être donne un autre regard sur cette Justice qu’il faut préserver, améliorer, renforcer, des lois qu’il faut changer (la prescription) des peines qu’il faut durcir, des moyens à la Justice qu’il faut concrétiser pour doter nos sociétés démocratiques d’une véritable justice accessible et aux services des populations.

 

Bruxelles, au procès de la secte OKC, une partie civile affirme avoir été abusée sexuellement

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L’une des quelque vingt-cinq personnes constituées partie civile au procès de la communauté bouddhiste Ogyen Kunsang Choling (OKC) a témoigné, lundi, devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, d’abus sexuels qu’elle a subis.

Elle a raconté avoir eu des relations sexuelles forcées avec le fils de celui qui est considéré comme un gourou, Robert S.

Cet homme et son fils, comme une dizaine d’autres personnes physiques et morales, sont prévenus devant le tribunal principalement pour des escroqueries commises dans le cadre des activités de l’OKC, considérée comme une secte.

Robert S. m’a forcée à avoir des relations sexuelles avec son fils, Perceval S.

J’étais devenue comme la femme de Perceval et sa femme de ménage aussi, au sein de la communauté.

J’avais 14 ans“, a relaté l’une des personnes constituées partie civile au procès.

Parfois Perceval était complètement saoul et il arrivait bourré dans ma chambre. C’était l’horreur“, a-t-elle raconté.

Robert S. me disait que son fils était l’incarnation d’un grand maître bouddhiste. J’ai subi une véritable torture psychologique.

Quelques anciens membres de l’OKC se sont fait connaître depuis le début de l’enquête sur cette communauté, en 1997, et se sont constitués partie civile contre l’OKC.

Mais depuis l’ouverture du procès, le 4 janvier dernier, plusieurs dizaines d’autres anciens membres ont aussi rejoint le banc de la partie civile.

Parmi ces plaignants figurent certaines personnes qui ont grandi au sein de la communauté et que l’on a appelés les “enfants oubliés de l’OKC“.

Confiés par leurs parents à des enseignants et à des éducateurs de cette suspectée secte, ils ont vécu dans des monastères isolés, en France et au Portugal entre autres.

Ils sont nombreux à venir confier aujourd’hui au juge qu’ils ont été maltraités et abusés sexuellement dans ces endroits.

Une dizaine de membres et d’ASBL de l’OKC sont prévenus devant le tribunal notamment pour avoir escroqué de nombreuses personnes, mais aussi pour prise d’otages, organisation criminelle, faux, parmi une centaine de préventions.

Le fondateur de cette communauté bouddhiste en Belgique, Robert S., qui fait défaut, est également prévenu de viol.

De nombreux autres faits de moeurs et de mauvais traitements à l’égard de mineurs, dont certains ont été rapportés pour la première fois ces derniers jours au cours du procès, ne font toutefois pas partie des préventions visées.

Mais cette question fera l’objet de débats aux cours des prochaines audiences.

Le procès se poursuivra mardi avec l’audition des personnes constituées partie civile.

Source : https://www.rtbf.be

 

Robert Spatz m’a demandé de rompre avec mon compagnon” (partie civile)

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Une dame a témoigné, lundi, devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, de l’emprise qu’avait Robert Spatz, fondateur de la communauté bouddhiste Ogyen Kunsang Choling (OKC), sur elle.

Celle-ci, ancienne membre de l’OKC, s’est constituée partie civile dans le procès de cette communauté, considérée comme une secte, et de plusieurs de ses dirigeants, dont Robert Spatz.

Une dizaine de personnes physiques et morales liées à l’OKC sont prévenues pour escroqueries, extorsions, faux, etc.

Robert Spatz, lui, doit également répondre de faits de viol.

“Un jour, Robert Spatz m’a demandé de rompre avec mon compagnon qui lui aussi faisait partie de l’OKC”, a relaté une dame constituée partie civile.

“Il intervenait dans ma vie privée. Mais j’ai obéi et j’ai rompu avec mon compagnon.

Plus tard, j’ai fréquenté un autre homme et Robert Spatz m’a à nouveau demandé de ne plus le voir”, a-t-elle dit.

“En fait, il s’arrangeait pour que je rompe avec toutes mes relations.

Il avait une emprise très forte sur ma personne”, a-t-elle ajouté.

Depuis l’ouverture de ce procès, plusieurs dizaines d’anciens membres de l’OKC ont rejoint les bancs de la partie civile.

Parmi ces plaignants figurent certaines personnes qui ont grandi au sein de la communauté OKC et qu’on a appelées les “enfants oubliés de l’OKC”.

Confiés par leurs parents à des enseignants de ce groupe confessionnel, ces enfants ont grandi dans des monastères isolés, en France et au Portugal.

Ils sont nombreux à venir raconter aujourd’hui au juge qu’ils ont été maltraités et abusés sexuellement dans ces endroits.

Néanmoins, les prévenus, des membres et des ASBL de l’OKC, doivent répondre d’autres types de préventions, notamment de nombreuses escroqueries.

Source: http://www.lavenir.net

 

Secte OKC | Nouvelle enquête en France et suspicions en Espagne.

Après 18 ans d’enquête et 8 mois de procès, le tribunal correctionnel de Bruxelles a rendu jeudi son jugement dans l’affaire de la communauté bouddhiste OKC (Ogyen Kunzang Chöling) fondée en Belgique.

OKCinfo
OKCinfo

 

Le gourou Robert Spatz (72 ans) est reconnu coupable pour la majeure partie des préventions : faits de mœurs, prise d’otages d’enfants avec la circonstance aggravante de torture, endoctrinement, faux et usage de faux, blanchiment et infractions aux lois sociales.

Une condamnation pleine et entière qui a donné lieu rappelons-le à une peine de 4 ans de prison avec sursis, assortie d’une période d’épreuve de 5 ans.

Elle s’accompagne d’une saisie d’un million d’euros sur ses biens, 4 millions en cas de récidive.

«  La reconnaissance du tribunal est importante pour nous, mais j’ai du mal à comprendre comment des abus sur mineures peuvent être si faiblement punis  », a commenté une des victimes lors du prononcé.

Plusieurs d’entre elles suspectent Robert Spatz de continuer à mener des activités similaires en Espagne.

A leur connaissance, aucun mineur n’est aujourd’hui sous son influence.

Ils s’inquiètent cependant de l’incidence de son endoctrinement sur les jeunes femmes qui vivent dans sa maison personnelle et sur les adeptes qui fréquentent son centre communautaire implanté non loin de son domicile.

Une partie civile née dans la communauté avance avoir été récemment contactée par la police française en recherche de témoignages, dans le cadre d’une enquête rouverte en 2015.

Elle cible des éducateurs pour des faits de maltraitance et des attouchements sur mineures au château de Soleils à Castellane.

Pour rappel, faute de preuves et en défaut de plaignants, les poursuites antérieures en France liées à la nécessité d’assistance éducative, aux privations de soins sur mineurs ou à l’exploitation par le travail s’étaient soldées par des non-lieux (1999- 2001).

Appel en suspens à Bruxelles

Les parties civiles espéraient une peine de prison ferme à effet immédiat.

Me Quentin Wauters visait l’acquittement de son client :

«  C’est un peu un jugement à la Pyrrhus, pour satisfaire les parties civiles et éviter que le procureur ou Robert Spatz ne fasse appel.  »

Absent au procès, Robert Spatz a 30 jours pour s’élever contre ce jugement que d’aucuns jugent favorable en dépit de la peine de prison prononcée.

Si l’engorgement de la Cour d’appel peut faire gagner plusieurs années, c’est aussi risquer une condamnation plus lourde.

Un pari à prendre.

Les victimes élevées par OKC recevront 2.500 euros par année de détention et les filles ayant dénoncé des abus sexuels dans les temps de l’instruction 12.000 euros.

Unicité d’intention reconnue dans les rituels tantriques pratiqués, conditions d’éducation considérées comme relevant de la torture, travail dans les restaurants comparé à une forme d’esclavage, la justice belge ne s’est pas montrée avare.

«  Je défendais une génération entière qui s’est fait voler son enfance et son adolescence et elle se voit enfin aujourd’hui reconnue comme victime  », se réjouit Me Dimitri de Beco.

«  J’espère que cela ouvrira les yeux de ceux qui mettaient encore en doute les accusations  ».

Aux adeptes qui ne voulaient voir que gage de confiance dans la caution spirituelle de maîtres tibétains et du Dalaï-lama et volonté d’accabler leur communauté entière via «  l’épouvantail de la justice  », le juge a envoyé un message compatissant.

Les parents et les prête-noms dans les associations connexes ont reçu des dédommagements de principe.

Les préventions d’association de malfaiteurs et d’organisation criminelle ont été abandonnées.

Parmi les administrateurs poursuivis, seuls la femme de Robert Spatz et son fils appelé à lui succéder ont hérité d’une simple déclaration de culpabilité pour faux et usage de faux, considérant entre autres l’aisance de vie découlant de leurs rétributions.

La responsabilité de l’ASBL OKC a uniquement été engagée dans la prévention de prise d’otages afin qu’elle participe au dédommagement des victimes.

Robert Spatz est seul face à la justice.

Source : Okcinfo.news

 

Un autre témoignage :

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Nous vous signalons le site Internet “OKC INFO” créé par des anciennes victimes de l’OKC qui recueille de nombreux témoignages et tient à jour les actualités sur cette affaire ainsi qu’il fil judiciaire.

Il faut signaler que de nombreux référents du bouddhisme ont soutenu l’OKC durant des années.

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