Les mères tombent dans un véritable piège quand elles dénoncent des abus sexuels sur leurs enfants

Avec le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), lorsque les mères dénoncent des cas de pédophilie intra-familiale, elles tombent dans un véritable piège.

Selon la théorie pro-pédophile du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), dans les cas de séparation, 90 à 98% des dénonciations d’actes de pédophilie intra-familiale seraient de fausses allégations d’un parent (en général, la mère) avec mise sous emprise des enfants pour les couper de l’autre parent (en général, le père).

Pourtant, selon nombre de spécialistes, 95% à 98% des dénonciations d’actes de pédophilies intra-familiale sont des cas bien réels.

Perversité du SAP : toute dénonciation lors de la séparation serait un SAP, alors que seule la séparation permet la dénonciation

Pour le SAP, le simple fait que les dénonciations se fassent lors des séparations, cela signifie qu’il s’agit de conflits de couple et donc d’aliénation parentale (fausses allégations).

Ce concept est donc d’une très grande perversité, puisque les dénonciations d’abus sexuels sur enfants ne peuvent se faire qu’au moment de la séparation.

En effet, les spécialistes déconseillent fortement aux mères de dénoncer des abus sexuels paternels tant qu’elles vivent avec le parent agresseur. Ce serait dangereux pour la mère et pour les enfants. Un père dénoncé risque de devenir très violent et de faire des passages à l’acte contre de la mère et/ou des enfants.

Par exemple : pour un père agresseur, la disparition de la mère serait la solution d’avoir les enfants pour lui seul. Le père agresseur peut aussi s’en prendre aux enfants. Un cas fréquent : le père éloigne la mère quelques heures et fait venir un huissier pour valider l’abandon du domicile familial par la mère. Il peut ainsi garder les enfants pour lui seul et la mère ne pourra plus rien faire.

Et après la séparation, les mères sont obligées de dénoncer les faits. Si elles ne les dénoncent pas, un droit de visite (voire la garde) sera accordé au père pédophile. Les enfants se retrouveront alors seuls avec le père agresseur et les mères ne seront pas là pour les protéger.

Des mères détruites par des années de violence conjugale

La plupart des femmes qui dénoncent ce type d’actes ont elles-mêmes subi de la violence conjugale (psychologique et/ou physique). Tant que cette violence ne touche qu’elles-mêmes, elles arrivent à tenir le coup. Mais quand elles voient que leurs enfants commencent aussi à subir  de la violence, de la maltraitance, c’en est trop : elles se séparent et dénoncent (quand elles ont le courage de le faire et de confronter ce système pervers).

La plupart du temps, elles sont tellement usées, fatiguées et démolies par la violence conjugale qu’elles n’ont même plus le courage de dénoncer, de faire face aux services sociaux et à ce système destructeur.

Ainsi, quand elles arrivent auprès des services sociaux de la protection de l’enfance, elles sont perdues, déjà détruites par la violence conjugale. Et elles se trouvent face à un même système pervers qui va les détruire encore plus.

Leo Thiers-Vidal décrit avec une grande clarté cette mécanique qui détruit mères et enfants. Voir l’article sur l’association “Mères en lutte”: L’association “Mères en lutte” créée par Leo Thiers-Vidal

Le chemin de croix des mères qui osent dénoncer

De nombreuses études le prouvent, la plupart des actes de pédophilie intra-familiale (par des pères, grands-pères, oncles, etc.) ne sont jamais dénoncés [6]. Voir également l’article : 20% des enfants devraient faire l’objet d’un signalement d’abus sexuel

Alors comment ose-t-on affirmer que 90 à 98% des dénonciations des rares mères qui osent dénoncer sont de fausses allégations ? Surtout lorsque l’on sait que 1 enfant sur 5 est abusé sexuellement, en très grande majorité par des proches (chiffres du Conseil de l’Europe) et que 95 % des délinquants sexuels sont des hommes (statistiques des tribunaux).

Mais dénoncer des abus sexuels, notamment ceux des pères, est un tel chemin de croix que beaucoup de mères renoncent.

Un père abuseur est la situation la plus grave pour les enfants, puisque le père a des droits importants sur eux et qu’il pourra en abuser en toute quiétude si la mère ne dénonce par les faits.

Perversité du SAP : toute dénonciation se retourne contre la personne qui ose dénoncer

La loi oblige tout citoyen ayant connaissance d’un acte de pédophilie de le dénoncer. Par exemple, si une mère ne dénonce pas un acte de pédophilie intra-familiale, elle est condamnable.

Pourtant, lorsqu’une mère dénonce un acte de pédophilie intra-familiale aux services de protection de l’enfance, à cause du SAP, elle est aussitôt considérée comme folle et dangereuse. Et si elle insiste pour demander une protection pour son enfant (par exemple, des visites encadrées), elle risque que son enfant lui soit enlevé et donné au père présumé pédophile. Et même s’il n’obtient pas la garde, l’agresseur présumé obtiendra presque toujours un droit de visite et d’hébergement maximum.

Il faut savoir que les mères sont les principales cibles de cette théorie pro-pédophile du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), car ce sont elles qui, par leur proximité d’avec les enfants, découvrent en premier les signes d’abus sexuels. Pour cette raison, Richard Gardner, le pro-pédophile créateur de cette théorie, haïssait les mères.

Aujourd’hui, à cause de son chantre Van Gijseghem, tous les services de protection de l’enfance utilisent le SAP. Ainsi, pour eux, une  mère qui dénonce des abus sexuels sur son enfant est systématiquement coupable. Et le père présumé pédophile est une victime.

Toute personne (mère, père, membre de la famille, enseignant, éducateur de la petite enfance, etc.) dénonçant de la maltraitance sur des enfants, et surtout des actes pédophiles, sera confrontée au même système pro-pédophile qui va étouffer systématiquement les dénonciations ou pratiquer l’intimidation pour qu’elles soient abandonnées.

Destruction des mères qui dénoncent et tapis rouge pour les pères abuseurs présumés

Les mères subissent de plein fouet ce système d’intimidation puisque si elles osent dénoncer le père [5] de leur enfant pour maltraitance, dont des actes pédophiles, elles risquent de perdre leur enfant et de le voir donné au père agresseur, ou encore placé dans une famille d’accueil ou une institution. Dans plusieurs pays comme les USA, la France, etc. les mères finissent aussi en prison si elles refusent de présenter l’enfant au père agresseur.

D’ailleurs, dès les premiers mots de la dénonciation et tout au long de la procédure, jour après jour, intervenant après intervenant, les mères entendront toujours la même phrase : “Attention, ça va se retourner contre vous !”

Pour le père pédophile présumé, grâce au SAP, la situation est toute autre : tout le système de protection de l’enfance lui déroule un magnifique tapis rouge. L’agresseur présumé est la victime qu’il faut aider à tout prix quitte à menacer la mère, mentir,  transgresser le cadre, passer par des vices de procédure, refuser ou détruire les preuves, violer le secret médical, etc.

Ce phénomène est bien connu. Il se nomme effet Rosenthal ou Pygmalion (aussi prophétie auto-réalisatrice). Voici un article qui explique tout cela : L’effet Rosenthal ou Pygmalion du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP)

Au bout du compte, avec ces manœuvres de tout un système totalement pervers (assistants sociaux, experts, avocats, juges, etc.), le père agresseur obtiendra très facilement la garde de l’enfant qui sera alors brutalement enlevé à sa mère qui veut le protéger. En plus de cela, la mère devra payer une pension à l’agresseur de son enfant. Si le père agresseur n’obtient pas la garde de l’enfant, il obtiendra d’office un droit de visite et d’hébergement maximum, malgré les demandes répétées de la mère pour obtenir des visites encadrées.

L’omerta : personne ne doit parler

Tous les professionnels sont au courant de ce système, mais personne n’en parle ouvertement. Il s’agit d’une véritable omerta basée sur des conflits d’intérêts et la peur des représailles [7].

Ainsi, aujourd’hui, la plupart des dénonciations de pédophilie intra-familiale sont-elles simplement étouffées ou abandonnées. On ne donne pas suite.

Le système du Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est bien verrouillé et d’une immense perversité : quoi que dise une personne qui dénonce des abus sexuels sur enfants, cela va se retourner contre elle. Par exemple : si une mère veut protéger son enfant du père abuseur sexuel, c’est un SAP (elle veut enlever l’enfant au père.) et pour cela, son enfant lui sera enlevé et donné au père agresseur.

Ainsi, dans les cas de pédophilie intra-familiale, les  mères ne peuvent rien dire, rien faire, tout se retournera contre elles. Leur seule solution est de se taire. C’est le propre des systèmes mafieux.

Quelques mécanismes de ce système pervers (ou mafieux)

Ce système pro-pédophile pervers qui sert à protéger des pervers sexuels est envahi de mécanismes pervers. En voici quelques-uns :

  1. a) Double contrainte ou double lien (ou encore : double bind): à la fois un ordre explicite avec grave sanction et une interdiction symétrique implicite avec grave sanction.

Exemple dans le cas présent : ordre explicite de dénoncer la pédophilie intra-familiale (sinon emprisonnement, perte de l’enfant et abus de l’enfant par le père) et interdiction symétrique implicite de la dénoncer (sinon emprisonnement, perte de l’enfant et abus de l’enfant par le père). Voir à ce propos l’article : La prétendue chasse aux pédophiles

  1. b) Retournements de situation: attribuer ses propres actes/mécanismes à autrui.

Par exemple : l’emprise typique du pervers sexuel sur l’enfant est renvoyée par lui à la mère qui tente de l’empêcher de mettre son emprise sur l’enfant (l’agresseur obtient ainsi la garde de l’enfant), etc.

  1. c) Omerta(personne ne parle).
  2. d)Transgressions de cadre, intimidations, menaces, représailles violentes. Voir l’article :Les professionnels pro-SAP sont en permanence dans l’illégalité et des pratiques abusives
  3. e)Dévalorisation et pathologisation: la personne qui dénonce est folle et/ou malade, etc.  Voir l’article : La psychiatrisation des signalements d’abus sexuels sur enfants

Perversion, pédophilie et Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP)

Mécanique perverse du SAP : diagnostic sur une tierce personne

Dans ce prétendu « syndrome », une personne est stigmatisée : celle qui dénonce un parent dans la famille. La plupart du temps, ce sont les mères.

Statistiquement, en cas de séparation, dans 90 à 98% des cas, ce serait donc la mère qui « aliènerait » l’enfant (le rendrait « autre) en le manipulant [8]. L’enfant servirait alors à diaboliser le père (dire du mal de son père, dire qu’il en a peur, etc.) et le père serait une victime de la mère (un père maltraité).

Selon cette théorie, la personne aliénée (devenue « un autre ») n’est donc jamais la personne porteuse du prétendu syndrome. Le syndrome ne peut donc être diagnostiqué que sur une tierce personne et non sur la personne stigmatisée.

Pour les cas de pédophilie, si l’on suit cette théorie, l’aliénation parentale devrait donc être validée par l’expertise de l’enfant. Et avec le SAP, si l’enfant dit du mal ou a peur du parent agresseur, c’est qu’il est « aliéné » par le parent qui dénonce de la pédophilie intra-familiale. Cette mécanique est d’une perversion diabolique.

Pourtant, malgré cette théorie qui suppose la présence d’un diagnostic pour savoir si l’enfant est « aliéné » ou non par la mère, les services de la protection de l’enfance ne se donnent même pas la peine d’entendre l’enfant. Le diagnostic de SAP se fait immédiatement au moment de la dénonciation de l’acte pédophile, en écoutant la mère. Etrange diagnostic !

Il est vrai que faire un réel diagnostic sur l’enfant serait peut-être gênant pour les acteurs du système de protection de l’enfance. La mère ne pourrait éventuellement plus être accusée de SAP, puisque l’enfant ne diaboliserait peut-être pas le père. En effet, la plupart des mères qui dénoncent des actes de pédophile intra-familiale savent parfaitement protéger leurs enfants et les préserver de jeux pathologiques.

Seul un grand pervers est capable d’un SAP

Pour beaucoup de spécialistes, le SAP n’existe pas. Il a toujours été refusé par la communauté scientifique internationale. Voir l’article : La communauté scientifique internationale rejette le SAP

Pour d’autres, il existerait très peu de cas réels d’aliénation parentale qui seraient tous l’œuvre de pervers narcissiques abuseurs.

En effet, il faut une immense perversion pour maintenir de fausses allégations et maintenir une telle emprise sur un enfant (un éventuel vrai SAP) :

– inventer de telles histoires (pédophilie, maltraitance), mentir et ne pas changer de version,
– manipuler l’enfant pour qu’il ait peur et raconte les mêmes histoires,
– tenir face aux différents interlocuteurs (assistants sociaux, psy, juges, avocats, policiers, etc.) pendant toute la durée des démarches et des procédures,
– etc.

Seuls de grands pervers (comme les pédophiles, les psychopathes, etc.) sont capables de faire cela, car ils sont passés maîtres dans l’art de la manipulation et de l’abus d’autrui.

Concept pervers pour donner des enfants aux pervers sexuels

Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est en lui-même un concept pervers créé de toutes pièces pour donner des enfants à des pervers sexuels.

Rappelons que Richard Gardner, l’auteur de cette théorie du SAP était lui-même un pro-pédophile notoire, donc un pervers. Et propager/utiliser une théorie pro-pédophile ne peut être que l’œuvre de pervers.

L’appellation du SAP, elle-même perverse

L’appellation Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est :
– phonétiquement perverse (amalgame/confusion avec l’aliénation mentale),
– usurpatrice de terminologie médicale (syndrome, aliénation),
– discriminatoire (association entre aliénation et folie).

Voir l’article : L’appellation Syndrome d’Aliénation Parentale est perverse, usurpatrice de terminologie médicale et discriminatoire

Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) ne fait que décrire des mécanismes de la perversion narcissique

Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) est de plus une théorie psychologique totalement inutile puisqu’elle ne fait que décrire un ensemble de mécanismes de la perversion narcissique (la personnalité narcissique du DSM4).

D’ailleurs, le SAP a toujours été rejeté par la communauté scientifique internationale, notamment aux Etats-Unis. Il n’a donc jamais réussi à entrer dans le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux aux Etats-Unis [1]), malgré les tentatives répétées et massives (envoi d’un grand nombre de courriers) des adeptes du SAP.

Malgré cela, Van Gijseghem, le chantre du SAP, a réussi à propager toujours plus cette théorie dans les milieux sociaux, paramédicaux et médicaux d’un grand nombre de pays.

Comme le SAP n’a jamais été reconnu par la psychiatrie, les adeptes du SAP prétendent qu’il s’agirait d’une  « psychologie judiciaire ». Comment prétendre qu’une psychologie pourrait être judiciaire ? La psychologie n’a rien à voir avec du judiciaire.

Le Dr Mazzeo, grand opposant à la théorie du SAP dit à ce propos:

« Un trouble mental peut être traité avec des médicaments ou une psychothérapie, ou les deux, ou ne nécessiter aucun traitement. Un décret de la cour peut-il guérir une maladie? Jamais entendu parler de quelque chose comme ça. ». Se référer à cet article : La “thérapie de la menace” de Richard Gardner, créateur du SAP

Le langage pervers de Van Gijseghem

Le chantre actuel du SAP utilise lui-même en permanence un langage pervers, caractérisé par la confusion et les retournements de situation.

 « Catherine Marneffe, médecin pédopsychiatre, thérapeute d’enfants et de la famille, fondatrice et ex-directrice du centre SOS-Enfants de la Vrije Universiteit de Bruxelles, précise :

Le professeur Van Gijseghem est en permanence dans la confusion entre l’aveu et le dévoilement de l’abus, l’aveu étant un terme qu’on attribue habituellement aux coupables, donc plutôt aux abuseurs. » [2]

Dans cet exemple de langage, la victime devient le coupable [3] puisque selon Van Gijseghem,le dévoilement d’un abus serait un aveu.

Le SAP décrit exactement l’emprise du pédophile

Concernant l’emprise décrite dans le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP), seuls les pervers sont capables d’imaginer, de croire et de décrire d’une façon aussi précise une telle emprise sur un autre être humain.

Une personne non perverse ne pourra jamais imaginer une aussi grande perversion. Cela ne fait pas partie de son mode de fonctionnement.

Cette emprise totale sur l’autre est exactement ce que font les pervers sexuels prédateurs d’enfants : les pédophiles. Le créateur du SAP, le Dr. Richard Garder, le savait parfaitement puisqu’il était lui-même un pro-pédophile.

La perversion narcissique du pédophile

La perversion est aujourd’hui couramment nommée perversion narcissique. Elle s’échelonne de la violence psychologique, à la violence physique pour aboutir aux abus sexuels.

Voir sur ce thème l’excellent ouvrage « La haine de l’amour: la perversion du lien » de Maurice Hurni et Giovanna Stoll [4]. La mécanique perverse narcissique y est très bien décrite, partant de l’abus psychologique passant par l’abus physique pour arriver à l’abus sexuel (pédophilie, inceste, viol, etc.).

Un pervers manipule en permanence, dans la grande majorité des cas sans aucune conscience. C’est pourquoi, seuls les pervers peuvent penser que 90 à 98 % des personnes fonctionnent ainsi.

Il s’agit ni plus ni moins d’une projection, le mécanisme de base de la paranoïa, la pathologie mentale la plus sévère. Grâce à ce mécanisme de projection, le paranoïaque se débarrasse sur autrui de ses mauvais objets, soit des parties de lui-même dont il ne veut pas et donc il n’a pas conscience.

Il y a toujours une forte composante paranoïaque dans la perversion narcissique (projections, système défensif, pas d’affects, etc.). Pour le pervers narcissique, le fait de projeter sur autrui sa manipulation (son mauvais objet) lui permet de préserver son image de « gentil », se dévouant pour tout le monde et incapable de méchanceté.

Pourtant, pour le pervers narcissique, l’autre n’est qu’un objet qu’il utilise pour sa propre satisfaction. Il n’a ni affects, ni sentiment de culpabilité, car il est en permanence dans un système défensif (paranoïa), fermement verrouillé. Ainsi, dans ces formes les plus sévères, la perversion narcissique peut-elle aller jusqu’à la psychopathie.

Le profil type du pédophile

Comme tous les pervers narcissiques, les pédophiles sont des hommes [5] en apparence merveilleux, des pères exemplaires que l’on a envie d’aider, voire de sauver. On leur donnerait « Le Bon Dieu sans confession ».

La phrase type que l’on entend dans ces cas-là, c’est : « Je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse faire cela. ».

Une mère perverse narcissique ne serait pas perdue, angoissée et agressive

On reconnaît immédiatement une mère perverse narcissique. Elle est dans la séduction et/ou dans le stéréotype de la mère parfaite. Les intervenants sont sous son charme, immédiatement convaincus et lui donnent tout ce qu’elle demande.

Elle n’est pas confuse, perdue, angoissée, agressive à force d’être maltraitée comme le sont les mères qui viennent dénoncer de réels actes pédophiles et qui sont déjà épuisées d’avoir subi au quotidien la violence d’un pervers.

Seuls des spécialistes très aguerris peuvent détecter la perversion narcissique

Seuls des psychologues ou psychothérapeutes très entraînés à la perversion narcissique peuvent détecter cette pathologie.

Il faut une grande expérience dans ce domaine pour ne pas se laisser manipuler par un pervers narcissique.

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[1] Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM)

[2]  Ça se passe près de chez vous : des filles incestueuses aux mères aliénantes  Article de Léo Thiers-Vidal

[3] Le retournement est un mécanisme typique de la perversion

[4] Livre “La Haine de L’Amour: La Perversion Du Lien”

[5] Le 97 à 99 % des délinquants sexuels sont des hommes Qui sont les délinquants sexuels et pourquoi le sont-ils devenus ?

[6] Voir par exemple : « Enfance Victime » de Martine Nisse Le livre “Enfance victime”

[7] De nombreux professionnels soutenant des victimes de pédophilies ont été détruits par les associations de pères (SOS Papa, etc.) et ont tout perdu. Voir l’article : Catherine Bonnet : pédopsychiatre en exil pour avoir signalé des agressions sexuelles sur des d’enfants.

[8] Dans certains cas, la mère « aliènerait » prétendument aussi le père.

Source : http://guillaumeleroy.blogspot.fr/

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