Guiscard | Pédocriminel en liberté !!! Seulement du sursis pour exhibitions et harcèlements sexuels

Un homme de 64 ans, habitant de Guiscard, a été condamné ce jeudi par le tribunal de Compiègne pour plusieurs exhibitions et du harcèlement sexuel.

Attention Danger Pédocriminel en liberté !

Son discours changeant, son comportement intrigant et sa défense n’auront pas convaincu les magistrats. Ce jeudi, un homme de 64 ans, habitant de Guiscard, dans le nord de l’Oise, a été condamné par le tribunal de Compiègne à 8 mois de prison avec sursis pour exhibition et harcèlement sexuel.

Il devra aussi indemniser ses victimes et a interdiction de les approcher.

« Vous devrez aussi vous soigner si vous ne voulez pas retourner en prison »,

a terminé le président. Car entre le 17 juin et le 21 juillet, le sexagénaire, qui était jusque-là incarcéré pour d’autres faits, s’est fait remarquer à plusieurs reprises par les forces de l’ordre.

Il a d’abord été entendu par les gendarmes après s’être mis nu, dans un champ, en face de chez sa voisine. Une dame qui n’était pas seule au moment des faits, sa fille et sa grand-mère l’accompagnait dans son jardin. Une exhibition sexuelle qui n’était pas une première selon cette voisine et d’autres habitants.

Il piège une adolescente

Trois semaines plus tard, il était cette fois-ci déféré devant un juge pour avoir baissé son pantalon devant une jeune fille de 16 ans, dont il fréquentait la famille, lors d’un rassemblement près d’un étang.

« Il m’a dit de venir avec lui, dans un bungalow, chercher du pain pour les poissons. Arrivé là, il a baissé son pantalon »,

témoigne à la barre sa jeune victime.
Désormais placé sous contrôle judiciaire, l’homme a alors été incarcéré quatre jours plus tard alors qu’il se présente chez la compagne de son neveu.

Elle explique aux gendarmes qu’il la harcèle par message, en l’appelant, en se présentant chez elle et a même été jusqu’à lui baisser son pantalon et lui mettre une fessée.

« J’ai été me réfugier chez mes beaux-parents, stressée par toutes ses propositions graveleuses depuis plusieurs mois »,

confie-t-elle aux enquêteurs.
Un homme qui, selon l’expert psychiatrique, relève « d’une insuffisance intellectuelle » et « marqué d’un manque sur le plan affectif ».

« Si l’on écoute cet homme, qui nie pour la mineure, ce sont toutes ces femmes qui l’aguichent et en veulent à son argent »,

s’irritait le procureur, qui avait requis 12 mois de prison, dont huit fermes.

Source : leparisien.fr

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