Encore un “expert” anglais de la protection de l’enfance coupable de viol sur un garçon de 12 ans

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Encore un “expert” anglais de la protection de l’enfance coupable de viol sur un garçon de 12 ans
Une autre “référence” dans le monde de la protection de l’enfance du Royaume-Uni, Peter Newell, a avoué plusieurs viols sur un garçon de 12 ans dans les années 60 (tout cela aurait été prescrit en 1999 avec la nouvelle loi française) !

 

Newell coordonnait l’association Approach “Association for the Protection of All Children charity”, qui a été financée (centaines de milliers d’euros) par de nombreuses associations caritatives ou institutionnelles :

– la controversée National Society for the Prevention of Cruelty to Children (NSPCC, étouffement de dénonciations d’abus rituels), et une sorte de SOS Papa avec énormément de moyens (185 millions d’euros de budget, 2.500 salariés et 1.700 bénévoles) et une ligne téléphonique à destination des mineurs…

https://www.nspcc.org.uk/

– le fameux Barnardo’s (230 millions d’euros de budget, 5.000 salariés, 17.000 bénévoles), mis en cause en Irlande du Nord, LGBT friendly

http://www.barnardos.org.uk/

– l’UNICEF (déjà impliqué dans le réseau pédocriminel belge du CRIES), Newell y a coécrit le “manuel de mise en œuvre de la Convention relative aux droits de l’enfant“.

Cet ouvrage a été coécrit avec Rachel Hodgkin qui a travaillé au National Children’s Bureau (où Righton a travaillé la majeur partie de se carrière).

– la très controversée Save The Children

https://www.savethechildren.net/

Mais aussi d’organisations à l’étranger ainsi que de donateurs privés.

Il a aussi été coordonnateur à la “Children’s Rights Alliance”, de “Children are Unbeatable!” et de la “Global Initiative to End All Corporal Punishment of Children”.

Juste pour 2004 il a touché 90.000 euros de ces différentes institutions.

Évidemment maintenant tout le monde fait mine de tomber des nues.

Newell avait aussi fondée une “école alternative et libre” la “White Lion Free School” dans le quartier londonien d’Islington (centre d’un réseau pédophile notamment dans les orphelinats) dont les élèves avait été invité à une émission de Jimmy Saville à la BBC.

Fonctionnant dans des locaux délabrés sur financement privés, cette école n’avait ni emploi du temps, ni programme, ni règles…

 

 

Ci-dessous la traduction de l’article de la BBC (déjà gravement impliquée dans ce genre de scandale)

Un militant des droits de l’enfant a été condamné à six ans et huit mois de prison pour avoir abusé sexuellement d’un enfant dans les années 1960.

Peter Newell est l’ancien coordinateur de Association for the Protection of All Children charity, dite Approach.

L’homme âgé de 77 ans et originaire de Wood Green, dans le nord de Londres, a été condamné le mois dernier par le tribunal.

Il a reconnu être l’auteur de cinq agressions sexuelles sur un enfant âgé de moins de 16 ans.

L’association pour la protection des enfants Approach affirme que ses objectifs sont d’empêcher la cruauté et la maltraitance à l’encontre des enfants ainsi que de sensibiliser le public à ces enjeux, tant au Royaume-Uni qu’à l’étranger.

Elle souligne que son action consiste avant tout à protéger les enfants des « châtiments corporels et de toute autre forme de violence, qu’ils se produisent au sein du foyer ou en dehors ».

Ses activités au Royaume-Uni s’inscrivent dans le cadre de Children Are Unbeatable ! Alliance [« les enfants sont imbattables ! », NDT] ainsi que dans celui de Global Initiative to End All Corporal Punishment of Children [« Initiative mondiale pour mettre fin aux punitions corporelles infligées aux enfants », NDT].

Rien ne laisse suggérer que l’association caritative basée dans le sud de Londres ait été au courant des agissements de Newell, les faits s’étant produits avant sa prise de fonction.

En 2015, Approach a déposé une plainte auprès du principal organisme européen de surveillance des droits de l’homme contre la France ainsi que six autres pays de l’Union européenne pour ne pas avoir interdit la gifle de façon explicite.

Newell figurait comme coordinateur d’Approach dans les comptes-rendus publiés sur le site web de la Commission britannique chargée des associations caritatives.

Le document le plus récent indique cependant qu’il a démissionné de son poste en mai 2016.

D’après les comptes-rendus, Approach a touché entre 2012 et 2016 plusieurs centaines de milliers de livres sterling de la National Society for the Prevention of Cruelty to Children (NSPCC), de l’ONG internationale Save the Children, d’organisations à l’étranger ainsi que d’un donateur privé.

L’organisation caritative Barnardo’s a contribué au financement de l’association pendant quatre ans sur cette période, tandis que des fonds de l’UNICEF ont été perçus en 2014 et en 2015.

Les derniers comptes-rendus pour l’année 2017 montrent qu’Approach n’a reçu des financements que pour ses activités à l’étranger et que la NSPCC et Barnardo’s ne figuraient pas parmi les contributeurs financiers de l’association.

En outre, les donateurs d’Approach ne semblent pas avoir été au courant des agissements de Newell.

 

Les bénéficiaires hors de danger

Dans un communiqué, la police a indiqué que les infractions commises par Newell, qui lui avaient été rapportées pour la première fois en mars 2016, ont commencé quand sa victime avait 12 ans.

Elle a également affirmé que les infractions ont eu lieu entre 1965 et 1968 dans différents endroits du sud et de l’est de l’Angleterre, dont Londres.

Le 2 janvier 2018, Newell a plaidé coupable de deux chefs d’accusation d’agression sexuelle grave perpétrée entre mai 1966 et mai 1968 et de trois chefs d’accusation d’attentat à la pudeur commis entre mai 1965 et mai 1968.

La Commission britannique chargée des organisations caritatives a déclaré avoir été informée en 2016 par Approach de l’allégation portée contre Newell.

« Nous avons été en contact avec l’organisation de bienfaisance à ce sujet depuis 2016 afin de nous assurer que les procédures de sauvegarde de l’association sont solides et que des politiques sont mises en œuvre pour protéger ses bénéficiaires », a-t-elle affirmé.

« L’organisation caritative a confirmé qu’elle dispose de procédures de contrôle et de sauvegarde qui font actuellement l’objet d’un examen approfondi et que l’organisation ainsi que les administrateurs ont des contacts très limités avec les enfants et que rien ne permet de dire que les bénéficiaires de l’organisation sont ou ont été en danger », a également ajouté la Commission.

En 2007, Newell a coécrit pour l’UNICEF le manuel de mise en œuvre de la Convention relative aux droits de l’enfant.

L’UNICEF a déclaré avoir une « tolérance zéro pour l’exploitation et les abus sexuels ».

Un porte-parole a ajouté :

« Nous sommes profondément choqués d’apprendre l’arrestation de Peter Newell.

Nous n’avions aucune connaissance des faits lorsqu’il travaillait comme consultant pour l’UNICEF il y a dix ans.

L’UNICEF a depuis mis en place d’importantes procédures pour pouvoir enquêter de manière approfondie sur son personnel et ses consultants ».

Barnardo’s a déclaré qu’il s’agissait « d’une parmi plus de cent organisations à avoir soutenu l’Alliance ».

« Nous n’avons aucune preuve que quelqu’un au sein de Barnardo’s était au courant de ces accusations terribles et nous ne finançons plus l’Alliance », a affirmé un porte-parole.

Source : BBC (traduction Égalité et Réconciliation)

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