Charente | Une mère laisse son amant agressé sa belle-fille
- La Prison avec sursis... C'est quoi ?
- 20/02/2020
- 00:00
Catégories :
Mots clés :
- 16, Abus Sexuel sur Mineur, Angoulême, Charente, Condamnation, Corruption de Mineur, Décision de Justice, Dommages et intérêts, France, Inceste, Jugement, Obligation de Soins, Pédocriminalité, Pédophilie Féminine, Prison avec Sursis, Prison Ferme, Procès à Huis Clos, Récidiviste, Sexagénaire, Suivi Socio Judiciaire, Tribunal Correctionnel
Un sexagénaire a été condamné à six ans de prison ferme par le tribunal correctionnel d’Angoulême
Un sexagénaire a été condamné à six ans de prison ferme par le tribunal correctionnel d’Angoulême (Charente), pour des agressions sexuelles répétées sur sa belle-fille. La victime était âgée de moins de 15 ans au moment des faits. Sa mère a elle aussi été condamnée pour complicité.
Un homme de 61 ans a été condamné à six ans de prison ferme par le tribunal correctionnel d’Angoulême, pour des agressions sexuelles sur sa belle-fille, rapporte Charente Libre, mardi 18 février.
La victime était âgée de moins de quinze ans au moment des faits. Le procès du couple paru plusieurs fois devant la cour s’est déroulé à huis clos, sans la présence de la presse, à la demande de la victime aujourd’hui âgée de 19 ans.
Le calvaire de la jeune fille aura duré cinq ans, de 2012 à 2017, au domicile de sa mère et son beau-père, à Saint-Claud (Charente). Durant cette période, elle a été la victime d’agressions sexuelles répétées, puisque la mère avait décidé de se remettre avec ce même conjoint après sa sortie de prison.
En plus de sa peine, le prévenu a été condamné à un suivi socio-judiciaire de six années également. Il est contraint de poursuivre des soins et devra s’acquitter de 6 000 € de dommages et intérêts. L’homme n’a plus le droit d’entrer en contact avec sa belle-fille et sa compagne.
La mère est quant à elle condamnée pour complicité.
Cette dernière en effet a également été condamnée par le tribunal correctionnel d’Angoulême à deux ans de prison assortis d’un sursis probatoire de trois ans pour complicité. Elle n’aurait pas empêché ni dénoncé les abus que subissait sa fille.
source : ouest-france
Source(s):