Le contenu des équipements informatiques saisis au domicile du sexagénaire doit désormais être analysé par les enquêteurs. Inconnu de la justice, l’homme s’est justifié en évoquant sa “curiosité” et rejetant toute “attirance” ou “volonté de transgresser les interdits”, selon les dires du parquet, rapportés par France Bleu. Des explications qui devront désormais convaincre la justice.
À l’instant T, le sexagénaire encourt jusqu’à cinq ans d’emprisonnement, assortis de 75.000 euros d’amende.
Il devra également se soumettre à une expertise psychiatrique.