7 FRANÇAIS SUR 10 SONT FAVORABLES À LA CASTRATION CHIMIQUE DES VIOLEURS

La suggestion de Laurent Wauquiez, qui préconisait début mai la castration chimique à l’encontre des délinquants sexuels, a-t-elle été entendue ?

Pour protéger les enfants une injection n’est rien

Selon un sondage Ipsos publié le 24 mai, 7 Français sur 10 sont favorables à la castration chimique des personnes condamnées pour viol et près de 8 Français sur 10 sont favorables à des peines de prison plus sévères à leur encontre.

90% des sondés jugent également que le système de suivi des délinquants sexuels fonctionne mal en France et ils estiment à 86% que le renforcement des mesures de surveillance serait efficace comme, par exemple, le port du bracelet électronique l’obligation de se rendre régulièrement au commissariat.

En outre, 57% des personnes interrogées trouvent difficile d’évaluer le risque de récidive d’un auteur de crime sexuel.
Les sondés proches du Front national (FN) estiment que cette évaluation est facile à 65% contre 29% pour les sympathisants La République en marche (LREM).

La castration chimique pour les violeurs : une proposition de Laurent Wauquiez

Dans une interview publiée le 2 mai, le président des Républicains (LR), Laurent Wauquiez, avait annoncé que les députés de son parti déposeraient une proposition de loi pour imposer la castration chimique aux violeurs, afin de lutter contre la récidive.

Interrogé sur l’efficacité de cette mesure remise en cause par des psychiatres, Laurent Wauquiez avait déclaré :

«Ce qui m’importe, c’est la protection des victimes, pas les droits des violeurs.»

Le chef de file des Républicains réagissait ainsi à l’affaire Angélique, du nom d’une jeune fille de 13 ans violée et assassinée près de Lille par un récidiviste.

Interrogée à propos de cette même affaire sur le plateau de l’émission On n’est pas couché sur France 2, le garde des Sceaux Nicole Belloubet avait déclaré qu’il n’y avait «pas eu d’irrégularités juridiques» dans ce dossier.
Elle avait en outre rappelé que les délinquants sexuels avaient «l’obligation de déclarer régulièrement leur domicile».

NDWP : Il est grand temps que des mesures drastiques soient enfin prises parce qu’à part parler, sanctionner les citoyens et parler encore, les politiques ne font rien d’autres. Les victimes elles, sont de plus en plus nombreuses…

Chez Wanted-Pedo, nous sommes plus pour catapulter les pedo dans l’espace.

Source : Guadeloupe.fr

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