Donde Vamos | Alfred Kinsey et l’agenda pédophile: les prémisses de l’ “éducation sexuelle”

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Cet article est une traduction d’un article de Dana S. Scanlon intitulé “Alfred Kinsey et l’agenda pédophile”, disponible en anglais ici.

Le projet de sexualisation précoce des enfants est un projet intentionnel, marqué du sceau du satanisme (Kinsey, le “scientifique des viols d’enfants“, était un fervent fanatique d’Aleister Crowley) et du nazisme.

La société de Thulé à laquelle Hitler et Steiner appartenaient fondait sa magie sexuelle sur le satanisme d’Aleister Crowley.

 

L’article traduit ici évoque un ouvrage du Dr Judith Reisman portant sur les “travaux” d’Alfred Kinsey, le père de la sexologie: “Kinsey, Sex and Fraud : the Indocrtination of a people“.

J’en recommande la lecture à tous ceux qui s’inquiètent du nouveau délire d’ “éducation sexuelle”, et qui cherchent à en comprendre l’origine.

C’est la rentrée scolaire, et les parents ne doivent pas douter que le gouvernement enfoncera encore un peu plus le clou dans en matière d’ “éducation sexuelle”.

On commence par parler d’égalité entre les sexes, puis de “genre”, et cela finira d’ici peu de temps avec les cours de masturbation en maternelle, préconisés par les “Standards pour l’éducation sexuelle en Europe” de la branche europe de l’OMS, dont on a déjà parlé…

Et avec une propagande destinée à sexualiser les enfants toujours plus jeunes et toujours plus fort.

 

Alfred Kinsey et l’agenda pédophile

par Dana S. Scanlon.

EIR volume21, Numéro 46,  18 Novembre 1994

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Kinsey, le sexe et l’imposture : l’endoctrinement d’un peuple (Kinsey, Sex and Fraud : the Indocrination of a people ) du professeur Dr. Judith A. Reisman et de Edward W. Eichel. Huffington House Publishers, Lafayette, La… 1990.

237 pages.

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Ce livre mérite d’être étudié par tout citoyen qui tente de comprendre la genèse des programmes d’éducation à la sexualité désormais enseignés dans de nombreuses écoles.

C’est  justement en enquêtant sur ces programmes que je suis tombée sur le livre Kinsey, Sex and Fraud (Kinsey, le sexe et l’imposture) écrit par Judith A Reisman et Edward W. Eichel.

Lire ce livre est une question d’urgence pour les nombreux parents qui  croient qu’à cause du SIDA leurs enfants ont besoin d’une bonne dose de ce qui est appelé « Education complète à la sexualité »

En 1981 Judith Reisman a présenté une requête lors du cinquième congrès mondial de sexologie à Jérusalem .

Elle y demandait une enquête sur les travaux de Kinsey et l’Institut Kinsey.

Elle a non seulement affirmé que les travaux de l’équipe Kinsey étaient peu fiables à cause  des statistiques  biaisées mais elle a également affirmé que les travaux de Kinsey sur la sexualité infantile étaient basés sur des centaines de cas d’abus sexuels avérés.

Aussi incroyable que cela puisse paraitre Kinsey n’a jamais été rappelé à l’ordre par ses pairs  ni poursuivi en justice et il est devenu le célèbre leader d’une propagande menée par des  charlatans qui prétendent que les êtres humains sont définis par leurs désirs sexuels et  leurs activités sexuelles.

  • Kinsey est à l’origine des allégations suivantes désormais répandues dans les manuels et les ouvrages qui traitent d’éducation à la sexualité !
  • La plupart des êtres humains sont bisexuels.
  • Seulement ceux qui restent sous l’influence de tabous sociaux ne pratiquent pas l’homosexualité.
  • Seulement une faible minorité d’hommes et de femmes sont véritablement hétérosexuels et  1 sur 10 sont de purs homosexuels.
  • Les enfants sont des êtres sexualisés qui doivent être libérés, se libérer.

Le lecteur doit garder à l’esprit que les personnes citées dans les paragraphes ci-dessous ne sont pas uniquement des individus qui écrivent au sujet de leurs préférences sexuelles personnelles et que ce ne sont pas simplement les divagations de la frange cinglée de l’association Amour garçon/homme d’Amérique du Nord (The North American Man/Boy Love Association (Nambla))., ce sont aussi et surtout les professionnels qui forment et donnent une certification aux professeurs d’ éducation à la sexualité.

Ils écrivent les manuels et les livres qui sont utilisés dans les écoles et les universités et qui influencent donc largement le modelage de l’opinion publique, qui influencent la vision des médias sur le sujet et au final qui influencent les textes de loi.

La philosophie de Kinsey

Alfred Kinsey, pédocriminel ayant violé des enfants pour ses éxpérimentations

 

Tout d’abord le livre de J. Reisman cherche à démontrer, en reprenant les mots de Kinsey et de ses confrères, que Kinsey avait un projet : mettre à bas les principes de la morale judéo-chrétienne jusque dans les domaines les plus intimes.

Ceci est résumé par une affirmation que Kinsey a écrite dans son deuxième livre : Sexual Behavior in the Human Female.

“Ce n’est pas difficile d’expliquer pourquoi un animal fait une chose particulière sexuellement.

C’est beaucoup plus difficile d’expliquer pourquoi chaque individu sans exception n’est pas impliqué dans chaque type d’activité sexuelle.” (p :451)

Il a également écrit dans une étude menée en 1949 par P.H Hoch et J. Zubin “Psychosexual Development in Health and Disease“.

Kinsey et ses disciples Wardell Pomeroy, Clyde Martin et Paul Gebhard y expliquent que toute activité sexuelle en vaut une autre, peu importe l’âge, peu importe la stimulation physique impliquée, peu importe avec qui et également peu importe avec quoi.

“Nous pensons que la sexualité de par son fondement  biologique est une capacité à répondre à n’importe quel stimulus suffisant.

C’est simplement une représentation d’une réponse physiologique et d’un conditionnement psychologique en des termes connus des biologistes et des psychologues.

C’est la représentation de la réponse sexuelle chez l’enfant et chez la plupart des autres jeunes mammifères.  Pour quelques adultes qui ne sont pas inhibés, le sexe continue d’être le sexe, peu importe comment ils y ont accès.” (p :27 insistance en caractères gras ajoutée)

Ce qui est “normal”, argumenterait Kinsey, est simplement ce que les gens font (ou ce qu’il dit  qu’ils font).

C’est une “moralité statistique”, dont le but est de détruire l’idée de ce qui est normal au sens moral du terme.

Laisser de côté l’imposture c’est la même chose que d’ affirmer que ce qui est vrai   est simplement ce que la majorité des gens croient.

La première offensive s’est produite en 1948 avec la publication du Male Report.

Dans ce rapport non seulement le lecteur peut retrouver la preuve de l’imposture réalisée par l’équipe Kinsey mais il a aussi accès aux preuves qui auraient pu permettre de les envoyer en prison pour abus sexuel sur enfant.

Sur la base d’interviews présentés au public comme un échantillon représentatif de la société dans son ensemble, Kinsey a  parlé de ses découvertes aux Américains  et de leur représentation puritaine de ce qui est “normal” , et que ce  “normal” serait  complètement dépassé.

Mais en fait l’échantillonnage de la population masculine contenait un pourcentage élevé de prisonniers et d’agresseurs sexuels. Ils composaient ¼ du groupe échantillon d’après J. Reisman.

Le fait que l’échantillon représentatif de la population n’ait pas été un échantillon prélevé au hasard mais construit à l’envie par ceux qui voulaient y participer est plutôt lourd de sens.

Le profil du participant moyen avait donc très peu de ressemblance avec le profil de l’Américain type. De tout évidence ceux qui se sont portés volontaires pour participer à l’étude sur les habitudes sexuelles n’étaient pas , pour le peu, des individus avec votre sens habituel de la pudeur et de la décence.

La pierre angulaire de l’éducation à la sexualité

Dans chaque bibliothèque municipale on peut trouver des livres qui reprennent la croyance la plus malsaine de Kinsey, qu’une minorité militante cherche à mettre en pratique : les enfants seraient des êtres sexualisés, les parents doivent apprendre à leurs enfants à profiter de leur sexualité dès le plus jeune âge ,et   c’est  la dite sur- réaction  des parents et de la police face aux cas d’inceste ou face aux cas de sexualité inter générationnelle  qui est  nocive pour les enfants,  pas l’acte sexuel en lui-même.

Tom O’Carroll, président de “Pedophile Information Exchange” et auteur de Paedophilia : The Radical Case (Alyson publications, 1980) explique que les travaux de Kinsey sont irréfutables , en soutien bien sûr  à la cause pédophile. 

La découverte la plus frappante de Kinsey est probablement, en ce qui concerne les enfants avant l’adolescence, celle qui touche à leur capacité à avoir un orgasme.

“On a observé l’orgasme chez les garçons de tous âges, de 5 mois jusqu’à l’adolescence” a écrit Kinsey. 

Et aussi :

“On trouve aussi dans nos registres le cas d’un orgasme chez une bébé fille de 4 mois. “

 

O’ Carroll est membre de la confrérie dont le slogan est :

“Du sexe avant huit ans ou c’est trop tard !”

(Depuis la parution du livre de J. Reisman l’éditeur de OCarroll a également édité les livres suivants tristement notoires Heather has two mommies  (Heather a deux mamans) et Daddy’s roommate ( Le camarade de chambre de Papa) et disponibles dans les jardins d’enfants comme étant une introduction à l’homosexualité .

On peut aussi faire le parallèle avec un  manuel de collège très répandu de R. Crooks et  K.Baur Our sexuality. (publié chez Benjamin.Cummings Publishing Co en 1983) et qui affirme platement, que les “découvertes” de Kinsey sont  “des faits” .

“Avec la large diffusion des travaux de Kinsey l’affirmation erronée qui stipule que la sexualité de l’enfant est en dormance s’effrite.

En fait il est largement établi  désormais que  les tout jeunes enfants des deux sexes sont nés avec la capacité d’avoir du plaisir sexuel et celle  de savoir y répondre“.

 

Les sexologues ont de plus en plus commencé à aborder le sujet de contact sexuel légitime entre adultes et enfant  dans les années 70.

L’article Sex Education in the Future publié dans le Journal of Sex Education and Therapy  (Printemps/ été 1985) en est un exemple.

Il a été écrit par un cofondateur du Sex Information Education Council of the U.S  (Siecus).

Le professeur Lester Kirkendall de l’université de l’Oregon et le professeur Roger Libby de l’université du Massachusetts ont annoncé que les futurs programmes d’éducation à la sexualité

“allaient permettre d’explorer l’expression sexuelle avec des partenaires de même sexe et même franchir la limite générationnelle

Ils proclament qu’avec

“une culpabilité plus faible ces schémas deviendront légitimes et l’insistance entre anormalité et normalité se rétrécira grâce à  ces futures tenfaisant l’apologie de la pédophiliedances.”

Le Professeur Mary Calderone (ancienne présidente de Siecus)   a dit au cours d’une conférence de l’ Association of Planned Parenthood Physicians que le but premier de Siecus

«  était dorénavant de faire prendre conscience à   toute la société  de l’importance vitale que revêt la sexualité des nourrissons et des enfants. »

Dans le rapport Siecus de Mi-Juillet 1983 elle a écrit que

les capacités sexuelles des enfants devraient « être développées , tout comme la capacité innée de l’enfant à parler ou à marcher et que le rôle des parents devrait se porter sur l’apprentissage auprès de l’enfant de cette adéquation de sa vie intime, de  sa place à lui  et de sa personne en un mot  de sa socialisation. »

 

“L’inceste peut parfois être bénéfique”

Alfred Kinsey avec Aleister Crowley (initié franc-maçon) en photo sur le mur. (connu comme Maître Therion, Frater Perdurabo ou The Great Beast 666 (La Bête) )

Voici les paroles d’un collaborateur du Kinsey Institute, Wardell Pomeroy , que l’on peut retrouver dans l’article du Time magazine  du 14 Avril 1980 .

“Il est temps d’admettre  que l’inceste n’est certainement pas une perversion ni le symptôme d’une maladie mentale, ”  et ” … peut être parfois bénéfique”.

Dans un article écrit en 1977 pour une publication(pornographique) de Forum  appelée Variations, Pomeroy  était en plein délire  projectif :

“L’inceste entre adultes et enfants peut tout à fait se révéler être une expérience satisfaisante et enrichissante …

les relations incestueuses peuvent très bien fonctionner et elles fonctionnent et très bien d’ailleurs…

On trouve souvent de nombreuses relations entre père et fille qui sont belles et satisfaisantes mutuellement.

Elles peuvent être passagères ou continues, en tous cas elles n’ont aucun effet néfaste. “

Dans son livre Boys and Sex , maintenant dans sa troisième édition et sur l’étagère de votre bibliothèque du coin, Pomeroy ne parle pas de bénéfices de l’inceste en des termes aussi exubérants mais il parle pas de l’inceste comme du “tabou le plus obsolète de tous les tabous.”

(Pomeroy a écrit ailleurs que Kinsey l’avait choisi pour travailler à l’Institut Kinsey justement parce que lui, Pomeroy, ne  s’encombrait pas des tabous de la société.)

Après avoir mentionné la croyance dans le fait que l’inceste n’est pas une bonne chose sur le plan génétique, il conclut en disant que ces croyances qui perdurent ont été remises en question par des études récentes et que “l’on peut émettre de sérieux doutes quant à leur validité » (p.182).

Une fois que la pédophilie est étiquetée par les sexologues comme étant une orientation sexuelle et non une pathologie, une aberration ou un pêché, l’étape suivante consiste à mettre en place des défenses et protections pour cette minorité, tout comme l’homosexualité est de plus en plus protégée par des textes de loi.

Nous sommes au seuil de cette perspective terrifiante aujourd’hui.

 

Cela semble  tiré par les cheveux et parano ? Alors voici les mots publiés dans Behavior Today, le 5 décembre 1988 page 5 :

“il se peut que la pédophilie soit une orientation plutôt qu’une perversion sexuelle”.

En fait, l’Université de Amherst-Massachussetts définit dès lors les pédophiles comme “minorité protégée” d’après George Roche  président de l’université de Hillsdale,  afin de respecter son propre code de non- discrimination !

D’après le professeur Joan Nelson, citée dans le livre de Reisman, les pédophiles sont des visionnaires qui

“participent à un contact sexuel non pas pour leur propre gratification personnelle  mais pour répondre à la tentative de l’enfant qui cherche à acquérir une expérience pratique”.

De tels visionnaires sont des partisans des « droits de l’enfant » dans tous les domaines, et

“croient que les problèmes qui caractérisent nos époques sont enracinés  dans la répression sexuelle infantile qui interdit une expression de l’affection sexuelle affranchie de l’âge.”

 

Le professeur Nelson est le fondateur de Institute for the Study of Sexual Behavior (  l’Institut pour l’Etude du Comportement Sexuel).

Elle décrit sa soumission à l’inceste pendant son enfance comme la «  période la plus heureuse de sa vie ».

Comme tous ceux qui ont lu quelques- uns des ouvrages  racoleurs , lecture exigée pour tout adolescent américain, le type de « connaissance pratique » dont parle Dr Nelson est tenu en haute estime.

Même si peu, voire aucun de ces livres, ne fait la promotion de la pédophilie  de façon explicite, ils incitent fortement et font l’apologie des explorations sexuelles de tous types comme étant hautement bénéfiques aux adolescents.

 

Tension extrême et convulsions violentes

 

Dr Reisman signale qu’en 1951, juste deux ans avant la publication du Male report de Kinsey, on avait fait grand cas des procès de Nuremberg des médecins nazis qui entre autres avaient été déclarés coupables d’expérimentations cruelles sur des  sujets humains.

De la sont nés le Code de Nuremberg,  ainsi que d’autres codes médicaux et professionnels qui préconisaient des critères de conduite à tenir lors de toute recherche sur les êtres humains.

Pourtant Dr Kinsey n’a  fait l’objet d’aucune critique quant au comportement sadique qu’il a eu envers des enfants lors de sa recherche en sexologie.

Prenez connaissance de la description page 161 du male report quant au plaisir qu’ont vécu 190 enfants de sexe masculin sur qui Kinsey et son équipe travaillaient.

«  tension extrême avec des convulsions violentes.. bouche déformée …langue protubérante … spasmes convulsifs  regards  fixes … secousses violentes du pénis.. sanglots ou crises de larmes (notamment chez les plus jeunes) … se débat pour écarter son partenaire et peut faire des efforts violents pour éviter l’orgasme bien qu’ils qu’ils trouvent un plaisir infini à cette situation »;

prenez note de l’emploi du mot « partenaire » lorsqu’il décrit l’adulte agresseur.

 

Quant à ce que l’équipe de Kinsey a fait ou cautionné pour ce male report, Dr Reisman note non sans sarcasme :

“Fortuitement pour l’équipe de Kinsey, parmi les interviewés il y avait un groupe d’homme qui avaient en main des données provenant de ce qui a été désigné comme de la stimulation génitale sur des enfants.

Ces données ont été obtenues via une « observation réelle” et “mesurée avec un chronomètre. (male report page 5). Par chance certains de ces hommes avaient été « formés techniquement”.

Ainsi, Kinsey en déduit que leurs observations sur les résultats de la masturbation homosexuelle sur de jeunes enfants ( de 2 mois à 15 ans)sont une façon valide et significative d’apprendre ce qu’est la sexualité des enfants.

Sur la base de ces observations Kinsey n’hésitait pas à en déduire que

“il est probable que la moitié des garçons, voire plus, pourraient atteindre l’orgasme dans une société désinhibée un peu avant l’âge de trois ou quatre ans et que presque tous les enfants pourraient atteindre l’orgasme trois ou cinq ans avant l’adolescence.”

Pour aller plus loin dans le comportement dépravé de l’équipe de Kinsey  le rapport mentionne clairement le fait que certains enfants ont été agressés sexuellement, avec des notes détaillées à l’appui, sur des périodes de plusieurs mois.

Deux enfants sans défense, l’un âgé de 4ans l’autre âgé de 13 ans, ont été soumis à des traitements particulièrement brutaux  pendant au moins 24 heures.

Kinsey rapporte que

“le maximum observé a été de 26 orgasmes en 24 heures.”

Cinq ans après la première publication du Male report l’équipe de Kinsey a publié  Sexual behavior in the Human Female ( Le  comportement sexuel de la femme) basé sur des interviews de 5900 femmes.

Le rapport stipule  que des rapports avant le mariage aident les femmes à une meilleure adaptation conjugale.

Ce rapport contient également des affirmations surprenantes en ce qui concerne les petites filles, que de nombreux sexologues actuels partagent d’ailleurs.

 

Le female report plaide l’agression sexuelle sur enfant

Le chapitre 4 du Female Report est intitulé : “Développement sexuel à la pré adolescence”, il est entrecoupé de théories (toujours présentées comme des faits) telles que :

“il est certain qu’il y a des enfants, filles et garçons, qui sont plutôt aptes à une  réponse sexuelle véritable.”

L’ équipe de Kinsey fait l’éloge des bénéfices que procure le contact sexuel (incestueux ou autre) avec des enfants.

Il est incroyable de trouver page 115

“Parmi les contacts avec les pré pubères certains avaient procuré des satisfactions émotionnelles qui avaient conditionné la fille à accepter des activités sexuelles ensuite.”

Quelques pages plus loin, Kinsey explique qu’ils ont le projet d’apprendre  au public à accepter la notion d’utilisation des enfants comme partenaires sexuels.

“Il y a bien sûr des exemples d’adultes qui ont causé des dommages physiques à des enfants avec qui ils avaient essayé d’avoir des rapports sexuels…

mais ces cas sont minoritaires et le public devrait apprendre à les distinguer les contacts graves des autres contacts avec des adultes qui eux ne vont pas  faire de mal aux enfants dans le cas où les parents de l’enfant ne sont pas gênés eux-mêmes d’avoir ces rapports sexuels.  …

nous n’avons qu’un cas de blessure occasionnée par un rapport sexuel et quelques exemples de saignement vaginal qui cependant ne semblaient pas préjudiciables du tout. “

Non seulement le public doit être reconditionné pour accepter que les rapports sexuels sont normaux mais les enfants aussi doivent être reconditionnés :

“il est difficile de comprendre pourquoi un enfant, si ce n’est  à cause de son conditionnement culturel, devrait être perturbé par les attouchements sexuels ou perturbé par des contacts sexuels plus spécifiques.”

De plus, “les contacts avec les adultes sont une source de plaisir pour certains enfants et peuvent même éveiller l’enfant sur le plan érotique.”

 

Le réseau sexologue des hétérophobes

Dr Reisman utilise le terme de hétérophobie (peur et hostilité envers l’hétérosexualité) pour décrire le but de cette guerre menée par les partisans  pro-Kinsey qui sont contre les normes sociétales traditionnelles, l’institution du mariage et  contre la famille.

Dans un chapitre fascinant, Edward W. Eichel qui a co-écrit le livre avec Dr Reisman commence à détricoter une partie du réseau des institutions universitaires et professionnelles qui  sont parvenus à mettre en place le programme de Kinsey : Eichel a écrit :

“En 1983 la Society for the Scientific Strudy of Sex (SSSS ou Quad S)

c’est-à-dire la Societé pour l’étude scientifique du sexe a annoncé la formation d’un comité qui était chargé  d’élaborer les grandes lignes d’un organe de certification affilié à l’université et à de nouveaux programmes universitaires sur la sexualité humaine débouchant sur un diplôme.

Cette société (SSSS)   est l’une des  plus vieilles organisations de sexologie aux USA.

Parmi ses membres on peut y trouver la grande majorité des sexologues universitaires, chefs  de file, y compris les co-auteurs de Kinsey tels que Wardell Pomeroy et Paul Gebhard.

Dans ce comité qui élaborait la certification, les universitaires étaient largement représentés. Ils ont développé les trois seuls programmes existant aux USA sur la sexualité humaine et destinés à être enseignés aux futurs éducateurs.

Or ces mêmes membres de ce comité ont participé à l’idéologie de Kinsey concernant les orientations sexuelles.

On y trouve Deryck Calderwood de l’université de New York, Kenneth D. George de l’université de Pennsylvanie et Wardell Pomeroy alors doyen de l’institut des Etudes Avancées sur la Sexualité Humaine à Chicago.

Un des autres membres du comité était Paul Gebhard qui a pris sa retraite en 1982 après avoir occupé le poste de directeur à l’Institut Kinsey de Recherche sur le Sexe, le Genre et la Reproduction. »

 

Un autre membre du comité de certification du SSSS était Ven L. Bullough, un historien du mouvement homosexuel qui a également écrit la préface du livre du pédophile néerlandais Edward Brongersma  intitulé “Loving boys“.”

 

Eduquer les éducateurs

Voici l’organisation peut-être la plus connue qui faisait la promotion de l’éducation à la sexualité dans les écoles : il s’agit du Sex Information and Education Council of the United States (SIECUS)  que l’on peut traduire par Conseil National  de l’Information et de l’Education à la Sexualité.

Il fut crée en 1964 dans un projet  impliquant les agences des Nations Unies, et grâce à  la Fondation Playboy qui lui octroya  les premiers financements.

Ce Conseil se décrit comme “défenseur de la sexualité humaine”.

Depuis 1978 ce Conseil (SIECUS) est affilié au Département de l’Education à la Santé de  l’Université de New York  et travaille en étroite collaboration via son programme sur la sexualité humaine.  Eichel, co-auteur du livre de Dr Reisman en sait quelque chose : il en est diplômé.

Le professeur Deryck Calderwood a mis en place le programme de l’ Université de New York qui a reçu la certification  par le Département d’Etat de New York et qui  s’intitulait :

« Programme d’Education à la Sexualité, la Vie de famille et au Mariage ».

Une des co- fondatrices de SIECUS Mary Calderone  a quitté ses fonctions en 1982  pour devenir attaché temporaire d’enseignement et de recherche  du programme sur la sexualité humaine de Calderwood.

Calderone est très explicite, très claire dans la défense de sa thèse selon laquelle les enfants sont des êtres sexualisés .

Dans un rapport du SIECUS publié l’Année de l’Enfant (1979) elle compare sa mission à celle qui consiste à créer une

“nouvelle religion”

basée sur l’expansion de la sexualité entre enfants sous toutes ses formes :

“Chaque religion, chaque doctrine politique nouvelle doit d’abord mettre les adultes d’accord afin de créer une petite culture nucléaire et à l’intérieur  de laquelle ses enfants pourront s’épanouir grâce aux principes directeurs .”

Lors d’un séminaire d’été de l’ Université de New York dirigé par le Professeur Calderwood aux Pays bas en 1983 , auquel Eichel a assisté, les pédophiles étaient invités à présenter leur “recherche”.

L’un d’eux, Dr Theo Sandfort  professeur à l’université d’Utrecht est l’auteur d’un livre interdit aux Etats Unis :

The Sexual Aspect of Paedophile Relations (L’aspect sexuel des relations pédophiles).

Ses écrits proclament clairement pourquoi lui et ses acolytes ont déclaré la guerre à la structure familiale telle qu’on la connait aujourd’hui :

“Lorsque les limites, les frontières autour de la famille nucléaire tomberont les enfants seront bien plus prêts à accepter des liens émotionnels avec des adultes autres que leurs parents” (p 83).

Un autre conférencier était présent au séminaire : Edward Brongersma, juriste et sénateur néerlandais qui a fondé sa propre fondation en vue de

« faire avancer la recherche scientifique sur le développement de la vie sexuelle des enfants ..

avec une insistance particulière sur les relations érotiques et sexuelles entre adultes et enfants. »

Brongersma a passé du temps en prison pour pédophilie, mais également réussi à réintégrer le barreau et à i à être nommé Chevalier de l’Ordre du Lion par la Reine.

Une autre organisation impliquée dans la certification professionnelle d’individus telles que les sexologues , les thérapeutes et autres est l’American Association of Sex Educators, Counselors and Therapists (Aasect) (Association américaine et éducateurs de la sexualité, des conseillers, des thérapeutes) qui exige que les candidats acceptent un lavage de cerveau via le programme connu sous le nom de

« Sexual Attitude Reassessment » (SAR) (Réévaluation de l’attitude sexuelle) ;

c’est un prérequis pour la certification.

Quel rôle les agences du gouvernement ont elle joué dans cette affaire sordide ?

Ou était le FBI lorsque Kinsey et ses complices participaient à des agressions sexuelles sur des centaines d’enfants ?

Aucune enquête de police de quelque nature que ce soit n’a été menée et jamais personne n’a été poursuivi en justice pour avoir participé ou encouragé les agressions sexuelles…

Source : Dondé Vamos

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