Un matin de l’été 2001, une jeune fille arriva en larmes au Poste de Police Municipale du Quai ST Pierre à Cannes. Elle était suivie d’un bourgeois, qui se précipite sur elle et hurle:- Ne l’écoutez pas, c’est une menteuse, une folle.
Le Brigadier Chef Patrice VERDI s’interposa vivement, faisant remarquer que la jeune fille n’avait pas eut le temps de dire un seul mot. le Gardien Principal *CHARLIE qui était présent, tentait également de calmer le bourgeois, qui répétait qu’elle était folle, paresseuse et inapte au travail. Elle voulait simplement récupérer ses affaires personnelles chez cet homme, où les Orphelins d’Auteuil, noble institution française, l’avait placée comme fille au pair.
Ils prirent un véhicule de service vers l’un plus des plus beaux quartiers de Cannes. La maison était immense. Le Brigadier Chef VERDI accompagna la jeune fille pour qu’elle rassemble ses affaires. Elle s’effondra dans sa chambre. Elle parla de la fille de 7 ans du couple, qui lui permettait de déjeuner complètement nue avec des personnalités locales. Ce n’était pas un étrange jeu d’enfant. Elle simulait aussi des masturbations, parlait de pornographie et d’un placard avec une collection des films particuliers. Étrangement, le bourgeois régla trois fois le montant de sa dette à la jeune fille et menaça l’officier :- Je suis un ami du Maire, je vais te casser.
De retour au Commissariat Central, l’Officier de Police Judiciaire de permanence auditionna la jeune fille. Il revint une heure plus tard et dit au Brigadier Chef VERDI :- « On est dans la merde, c’est certainement une affaire de pédophilie, il faut faire très attention, on risque de sauter. » *CHARLIE eut une telle frousse qu’il décida de ne pas signer le rapport de mission, et assura avoir quitté le service à 13h00.
Le lendemain, le Brigadier Chef VERDI fut avisé qu’il réglerait désormais la circulation, rue d’Antibes, ce qui interrompait sans motif légitime, l’ascension d’une carrière pavée de félicitations. Quelques semaines plus tard, il fut accusé d’une escroquerie sans queue ni tête. Il a été mis en garde à vue, menotté comme un terroriste, au point où un médecin exigea que les menottes soient desserrées. Le Lieutenant *BRAVO lui demanda alors:- Au fait, vous avez des nouvelles de la jeune fille d’Auteuil ?
Le commissaire principal *FOXTROT, qui était présent, est devenu rouge vif. Il foudroya du regard le lieutenant, qui quitta la pièce sur le champ. Rien n’avait jusqu’alors, permis de suspecter que le mobbing récent était lié à une enfant de 7 ans, qui simulait des masturbations, et dont le père a dit au premier policier qui en a été avisé:- Je suis un ami du Maire, je vais te casser.
Le Brigadier Chef VERDI a été incarcéré durant 44 jours en Haute Sécurité. Il a partagé sa cellule avec un policier de la brigade des stupéfiants, lui aussi accusé d’escroquerie, alors qu’il rédigeait un rapport destiné à l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN), sur les conventions entre le commissaire *FOXTROT et Mr *ALPHA, heureux propriétaire d’une plage surnommée la lessiveuse en référence à un trafic de drogue, qui est aussi un collaborateur du maire !
En France, l’élimination par montages judiciaires est une pratique si courante, qu’un tribunal peut même dégommer un adversaire politique. Même l’ancien Maire de Cannes a été éliminé ainsi, après avoir été réélu malgré une condamnation pour corruption qui n’avait manifestement pas convaincu ses électeurs. Il fut quasi immédiatement après, objet de nouvelles accusations suivies de 15 mois de détention préventive, ainsi que de 8 ans et 7 mois de manoeuvres dilatoires pour le juger, alors que le droit international spécifie que le délai ne peut pas dépasser 8 ans. Comme il était toujours aussi populaire, il a été condamné à six ans de prison ferme, assortie d’une interdiction de se représenter aux élections avant 2010.
Les médias français n’ont pas noté que les magistrats en charge du dossier auraient du savoir qu’ils ruinaient la carrière d’un présumé innocent, par la violation du droit international. Cet ancien Maire de Cannes a été incarcéré durant 4 ans, ce qui démontre que l’Europe est incapable d’assurer le respect de ses lois, même concernant des personnalités.
Rien d’étonnant dés lors, que les médias français n’ont pas cru de leur devoir d’informer les électeurs des troubles penchants des amis du nouveau maire de Cannes, ou sur le sort des policiers, anéantis pour avoir fait leur devoir. Au résultat, les meilleurs éléments de la police française rejoignent la lutte civile contre les réseaux, avec des informations inouïes !
(*) Les noms précédés d’un * ont été changés.
Jacqueline de Croÿ – 3 septembre 2009
Patrice Verdi
Le Brigadier Chef Verdi avait la cote : 18.5/20, notamment pour avoir informatisé son service, à la police de Cannes. En été 2001, il rédigea un rapport sur une pensionnaire des Orphelins d’Auteuil, noble institution à qui la justice française confie 9000 jeunes, qui se plaignait d’abus sexuels de divers notables, parmi lesquels un ami de Bernard Brochand, le Maire de Cannes. La France venait d’être frappée par l’attention des médias apportée au dossier Zandvoort, soit 88 539 photos d’abus d’enfants, connexe à plusieurs scandales de pédophilie impliquant des institutions françaises et des hauts magistrats, dont l’un qui figure déculotté au fichier.
Peu après avoir transmis son rapport à sa hiérarchie, Patrice Verdi rencontra Mr et Mme Raca, un couple de petits vieux, particulièrement sympathiques, qui faisaient l’éloge de la Police de Cannes et des institutions de la République Française. Ils lui offraient 3000 euros pour effectuer à Paris, en dehors de son territoire, une enquête sur Patrick Beynes, le fiancé de leur fille Fabienne.
Ils souhaitaient savoir s’il figurait au STIC, (Système de Traitement des Infractions Constatées), une base de données qui aligne les noms de millions prévenus et victimes et d’où, selon le Syndicat de la magistrature, nul n’est certain de disparaître, même au cas où les tribunaux ne trouvent aucun coupable. Le STIC venait d’être légalisé en toute confidentialité après avoir été accessible durant 6 ans en toute illégalité, quand Patrice Verdi demanda à un ami de le consulter. Le fiancé avait effectivement un casier judiciaire, mais les gentils petits vieux ont accusé le Brigadier Chef d’escroquerie avant de disparaître. Cela suffira à marquer la fin de sa carrière.
L’extraordinaire, est que plusieurs montages identiques ont été réalisé pour ruiner Marcel Vervloesem, après qu’il ait exposé le fichier Zandvoort. La seule différence est que ne parvenant pas à coincer son citoyen, la justice belge lui a rajouté des viols et a décuplé les fautes de procédure pour l’envoyer en prison, en dépit des preuves médicales de son innocence.
Michel Valiergue, l’avocat de Patrice Verdi, lui assura que le dossier était vide. Le STIC n’avait pas porté plainte et il serait libéré dans les deux heures, selon lui, mais le policier a été incarcéré dans le quartier de haute sécurité de la prison de Draguignan, durant 44 jours. Quand son propre avocat signa une injonction thérapeutique visant à le faire interner en psychiatrie pour avoir demandé à un copain de consulter un casier judiciaire, Patrice Verdi comprit qu’il s’agissait avant tout d’anéantir la crédibilité du procès-verbal exposant les notables de Cannes avec les Orphelins d’Auteuil. Par chance, le Professeur Roure, expert psychiatre auprès de la cour d’appel d’Aix-en-Provence, s’y opposa et le déclara sain d’esprit.
Patrice Verdi demanda à Mme Maugendre, magistrat instructeur, d’enquêter sur les liens entre les persécutions et l’embarrassante affaire de pédophilie. Il lui demanda aussi d’enquêter sur les qualités et aptitudes morales exceptionnelles du Procureur Doumas, en matière de classement vertical de dossiers impliquant des personnalités, mais en vain.
Le Brigadier Chef n’a pas pu récupérer son poste, malgré une décision de justice et une commission disciplinaire qui lui reconnaissent la présomption d’innocence. Le Maire de Cannes eut l’originalité d’émettre des fiches de paye farfelues, où son septième échelon disparut. Cinq ans plus tard, il le radia de la police, le tribunal des référés refusant d’annuler une faute de procédure, jugeant qu’il n’y avait pas d’urgence. Les procédures normales sont frappées de manoeuvres dilatoires.
Laissé sans les moyens de subvenir aux besoins de sa famille, Patrice Verdi a eut la chance que ses parents aient pu l’accueillir, avec femme et enfants. Entre-temps, la quatrième chambre du Tribunal Administratif de Nice est dessaisie de l’affaire, qui pour raisons inconnues est confié à la septième chambre, qui traite avec la troisième chambre, tous les dossiers singuliers le concernant. Patrice Blanc, Président du Tribunal, lui a signifié qu’un Moyen d’Ordre Publique rend irrecevable tout moyen de défense enregistré plus de deux mois après la saisine du Tribunal. En résumé, un dossier qui met des années à être jugé afin d’accorder le minimum vital prévu par les lois européennes, peut devoir être objet de nouvelle procédure tous les 2 mois pour faits nouveaux !
Michel Valiergue est devenu bâtonnier et ne trouve pas d’avocat pour assurer l’égalité des armes à son ancien client. Il a l’originalité de défendre un éditeur, déjà condamné pour faillite frauduleuse et escroquerie, à qui son ancien client repproche le vol de sa propriété intellectuelle.
René Leporc, alias René Delerins, tenait une maison d’édition avec Michèle Mercier, allias “Angélique”, célèbre actrice française, depuis Chevalier des Arts et Lettres. Patrice Verdi a conclu avec René Leporc un contrat lui assurant un bénéfice de 10% de droits d’auteur de son livre “Le serment d’hypocrite”, en 1997. L’éditeur disparut avec l’unique copie du contrat, sous prétexte de le faire enregistrer chez un notaire et la maison d’édition ferma.
René Leporc a été condamné en 2008, à 18 mois de prison ferme et 150 000 euros de dommages et intérêts, pour n’avoir laissé que des dettes à Michèle Mercier, en dépit du succès de “Merveilleuse Angélique ” et “Angéliquement Vôtre”, vendu dans toutes les gares. Patrice Verdi découvrit alors, que son livre était en vente dès 1997, sous le numéro ISBN original, sans qu’il n’ait perçu le moindre droit d’auteur. La vente d’une nouvelle édition sur les sites Internet de la FNAC, CHAPITRE et AMAZON, a simplement été suspendue, donc sans plus de possibilité produire des droits d’auteur accessibles.
La violation systématique des dispositions fondamentales du droit international en matière de minimum vital et d’indigence, fait apparaître le sceau du réseau, comme partout:
Le Conseil Général, chargé d’assurer que chaque citoyen puisse accéder aux mêmes services et bénéficier des mêmes droits, refuse à Patrice Verdi le Revenu Minimum d’Insertion et lui réclame un dit indu de paiement de 686,66 euros.
Le Receveur Percepteur Municipal, qui contrôle la gestion financière des fonds publics français, lui réclame 5 336,07 euros pour des raisons farfelues, sachant qu’il ne perçoit que le minimum légal insaisissable, lui permettant tout juste de couvrir ses soins de santé.
A présent, l’administration chargée “d’optimiser le fonctionnement du système de soins en y plaçant le médecin traitant au cœur”, lui coupe ses dernière ressources, parce qu’une attaque cardiaque l’a mené aux urgences d’un hôpital, plutôt qu’à une convocation dans leur bureau.
Ironiquement, une employée des “Orphelins d’Auteuil” (l’institution qui n’a pas jugé utile de demander une enquête sur les faits que la jeune fille avait exposé à Patrice Verdi), a porté plainte pour agressions sexuelles et harcèlement moral et sexuel de sa supérieure hiérarchique. La direction s’est contentée de muter les deux femmes dans deux établissements différents, après le dépôt de la plainte !
Jacqueline de Croÿ – 25 août 2009
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