Laudun-l’Ardoise | Le pédocriminel détenait 500 images pédopornographiques

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Pédocriminel En liberté

Il est présenté comme “Quelqu’un de psychologiquement à problèmes” !
Confondu par les enquêteurs de la brigade de gendarmerie de Laudun-l’Ardoise, l’homme dans la quarantaine a été présenté à un juge. Il sera jugé prochainement.

Son ordinateur a parlé et le chiffre est vertigineux : plus 500 photos et vidéos pédopornographiques trouvées dans la bécane de cet homme, la quarantaine passée, qui vit dans les environs de la commune de Laudun-l’Ardoise, près de Bagnols-sur-Cèze dans le Gard.

C’est ce butin qui a permis aux fins limiers de la brigade de gendarmerie laudunoise de confondre l’individu présenté comme :

“Quelqu’un de psychologiquement à problèmes”.

L’intéressé a d’abord nié les faits avant de les minimiser.

Le capitaine Christophe Perrin, commandant de la compagnie de Bagnols-sur-Cèze dont dépend la brigade de Laudun-l’Ardoise, explique que :

“Quand l’enquêteur lui a montré ce qui avait été trouvé dans son ordinateur, l’homme a fini par admettre sa responsabilité”.

C’est dans cette caserne qu’opère le gendarme en charge des investigations. Dans le jargon de son corps d’armée, il est désigné par le titre d’enquêteur nouvelle technologique numérique. Le fin limier a travaillé de concert avec son homologue du groupement de gendarmerie de Nîmes.

Une coopération gagnante puisque le collectionneur présumé d’images pédopornographique a fini pas être démasqué.

Le capitaine Perrin relate que :

“L’individu a été identifié, interpellé et placé en garde à vue”.

Il a ensuite été présenté au magistrat. L’homme sera jugé prochainement. Les circonstances qui ont conduit à son identification n’ont évidemment pas été révélées.

Le patron de Compagnie souligne que :

“Sur la voie publique on a des patrouilles qui constatent et répriment les infractions si besoin, poursuit le patron de compagnie. C’est pareil pour internet. Les gendarmes font des veilles, regardent et observent ce qui s’y passe. Des fois il y a des signaux qui apparaissent. “La pédopornographie numérique consiste à échanger les images, photos et vidéos sexuelles de mineurs via internet”.

L’officier supérieur explique que :

“Là il y a eu un gros travail de recherche qui consiste à explorer les réseaux pour remonter jusqu’à celui ou ceux qui font circuler les images illicites”.

Dans ce cas de figure, les investigations ne se font pas sur le terrain, mais au bureau, face à un ordinateur.

Le capitaine Perrin réitère les consignes de prudence.

“Faire attention à tout ce qui est chat sur internet, on ne sait pas qui est derrière”.

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