La Réunion | Deux profs d’Espagnol donnent à traduire à leurs étudiants des textes pédophiles et SM

Les mots manquent pour décrire ce que j’ai ressenti en découvrant les textes que deux professeurs venus d’Espagne, mais enseignant à l’Université de La Réunion, ont distribué aujourd’hui à leurs étudiants pour traduction.

Université De La Réunion
Un autre enseignant, scandalisé par les méthodes de ses “collègues”, m’a fait parvenir trois textes. L’un finit par paraître anodin par rapport aux deux autres.
Hallucinant ! Incroyable !

Un conte de Noël dans lequel le Père Noël caresse un petit enfant et sodomise son père

Le premier document, qui je le rappelle était destiné à être traduit en Espagnol, s’intitule “Conte de Noël“.

Vu le titre, même si ce n’est pas la période, on s’attendait à quelque chose de léger… Lisez le jusqu’à la fin, vous ne serez pas déçus !

Le document comporte en bas à droite un cachet, celui de la bibliothèque philosophique de Valence.

C’est l’histoire d’un petit garçon, Henry, qui attend “le coeur battant“, l’arrivée du Père Noël. A minuit précises, ce dernier descend par la cheminée.

Je vous passe les détails, vous allez les découvrir vous-même puisque je publie ci-dessous la copie du texte. Et je vais directement à la conclusion.

S’apercevant que le petit Henry est seul, le Père Noël demande à l’enfant de venir s’asseoir sur ses genoux. “Ze te donnerai des bonbons“, lui dit-il en zozotant.

Le tout assorti, je cite, des “caresses qui les accompagnaient douces, très douces“…

Arrivé à ce stade, on se demande si on a bien compris ce que les mots laissent entendre. Malheureusement, au vu de la chute de l’histoire, il n’y a pas de doute. Nous sommes bien en présence d’un texte pédophile…

Mais venons-en à la fin du texte, justement.

Le Père Noël demande à l’enfant où se trouve son papa. “Dans sa chambre” répond l’enfant. “A pas de loup“, je cite toujours le texte, “l’homme en rouge se glissa dans la chambre du papa d’Henry. Sans faire de bruit, il ôta ses grosses bottes et pénétra dans le lit”.

Le père, endormi, balbutia :
– Qui est là ?
– C’est le Père Noël, fit le Père Noël. Et il le sodomisa
“.

Je n’invente rien. Vous avez le texte sous les yeux !

L’histoire d’un homme violant un autre homme, avec tous les détails scabreux…

Le deuxième texte, écrit dans un style encore plus hard que le premier, raconte l’histoire d’un homme violant un autre homme, le tout accompagné de relations sado-masochistes.

Au début, on pense que celui qui parle évoque une relation avec une femme. Les termes sont déjà très crus. “Je n’ai pas envie de baiser. Ce matin, je lui ai dit que je le violerais en rentrant“.

Le fait qu’il dise “le” au lieu de “la“, laisse supposer qu’il s’agit en fait d’un autre homme. A moins qu’il ne s’agisse d’une faute de frappe. Mais la suite va nous enlever tout doute.

Comme “ça (le) gonfle de le sauter“, il “décide de lui mettre une cagoule“. Et de lui bander les yeux. “Apparemment, c’est une bonne idée. Ca le fait bander. Il donne bien son cul“…

Inutile que je continue. Tout le reste est du même tonneau, en plus hard même, si c’est possible.

Ceux que cela intéressera (attention aux âmes sensibles) pourront toujours lire l’intégralité du texte ci-dessous.

Des étudiants, des parents et les autres professeurs choqués. Le doyen lui, semble prendre les faits à la légère…

Renseignements pris, il s’agit donc de deux textes envoyés par mail ou distribués en cours ce mardi 19 mars par deux enseignants venus d’Espagne, qui interviennent officiellement en traduction à l’université de la Réunion auprès des étudiants de troisième année de licence d’espagnol.

Après les avoir lus, on peut légitimement se demander l’intérêt de demander à des étudiants de traduire des textes aussi hard. Des cours d’Espagnol ont normalement vocation à permettre à des étudiants de se débrouiller dans la langue de Cervantes. On s’interroge sur les situations dans lesquelles nos étudiants réunionnais seront amenés à utiliser les termes que ces deux enseignants essaient de leur apprendre…

Les faits ont été immédiatement signalés au doyen de la faculté des lettres. Ce dernier a d’abord seulement cherché à connaître si d’autres étudiants avaient été choqués.

On peut aussi s’interroger sur les contrôles effectués sur les professeurs. Il n’y a personne qui lit à l’avance les textes qui sont distribués aux élèves??? Surtout s’agissant d’enseignants venant de l’extérieur ?

Les étudiants n’osent pour le moment pas s’exprimer, par peur de représailles pendant la dernière année avant l’obtention de leur diplôme. Nul doute que les langues vont se délier après la publication de cet article.

D’autres profs de la faculté ont été également choqués.

Le doyen, alerté par plusieurs parents, a fait répondre par sa secrétaire et les a invités à engager eux-mêmes les investigations et à dénoncer les faits, tout en disant qu’il accompagnera leur démarche. Un peu léger de la part d’un responsable académique !

Lors du cours de ce mardi 19 mars, l’un des enseignants a simplement reconnu que son texte avait été mal perçu…

C’est le moins que l’on puisse dire !!!

Source : zinfos974.com

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