Exposition du palais de Tokyo à Paris

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l’Art a des limites !…
Dans le cadre d’une exposition dédiée à la peintre suisse Miriam Cahn, nommée “Ma pensée sérielle”, exposée au Palais de Tokyo de Paris, un des tableaux représentant un enfant, à genoux, ligoté les mains dans le dos, forcé à une fellation par un adulte suscite une vive et légitime émotion.

Article publié par Juan Carlos Hernández : Pédocriminalité à Travers le Monde

Des toiles choquantes et inacceptables à l’égard des victimes de crimes pédocriminels.

Ces toiles sont-elles un glissement vers la démocratisation et l’acceptation de ce genre de pratiques qualifiées par la loi encore et jusqu’à nouvel ordre…..de crimes.

l’Art a des limites, elles ont été franchies avec les toiles de Mme CAHN Miriam (voir fiche Wikipedia).

A l’entrée du musée est affiché :

Le musée avertit que : “CERTAINES ŒUVRES SONT SUSCEPTIBLES DE HEURTER VOTRE SENSIBILITÉ”

(Mais offre l’entrée aux moins de 18 ans et n’indique pas de restrictions d’âge. Les parents pourront y amener leurs bambins…)

Aux vues des réactions que cette exposition a suscité, l’artiste a précisé que les scènes ne représentaient pas des enfants mais des adultes victimes de crimes de guerre.

Rien ne justifie l’exposition d’une telle œuvre, pas même le prétexte de la dénonciation des crimes de guerre.

Peu importe le sens ou le message voulant être véhiculé, l’illustration de celui-ci est juste inacceptable !

Le tableau de Miriam Cahn nuit gravement à nos valeurs communes et au combat pour la protection de l’enfance

La député RN Caroline Parmentier a interpellé mardi 21 mars à l’Assemblée la ministre de la Culture Rima Abdul Malak au sujet d’un tableau controversé de Miriam Cahn exposé depuis le 17 février au Palais de Tokyo, qu’elle considère comme étant pédopornographique, et dont elle a réclamé le décrochage.

“Ce tableau représente un enfant, à genoux, ligoté les mains dans le dos, forcé à une fellation par un adulte.

Rien ne justifie l’exposition d’une telle œuvre, pas même le prétexte de la dénonciation de crimes de guerre“, a-t-elle estimé.

Elle a également regretté que le tableau soit “exposé dans la sphère publique sans interdiction aux mineurs depuis le 17 février“.

En réponse la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak rappelle que le musée a pris soin d’apposer des messages d’avertissements à l’entrée et le long du parcours de l’exposition, indiquant que “certaines œuvres sont de nature à heurter la sensibilité des publics”.

Sur les cartels explicatifs de l’œuvre, le contexte et le point de vue de l’artiste sont aussi indiqués.

Pour Miriam Cahn, il s’agit  “d’une personne aux mains liées, violée avant d’avoir été tuée et jetée dans la rue”.

“Ne mélangeons pas tout” a répondu la ministre de la Culture, assurant qu’on ne peut pas sortir une œuvre de son contexte.

Oui, l’art peut choquer, peut questionner, peut parfois susciter du malaise, voire du dégoût.

L’art n’est pas consensuel.

Et la liberté d’expression et de création est garantie par la loi.

Et d’ajouter que ce n’est “ni à une ministre, ni à une parlementaire de qualifier une infraction pénale.

C’est le rôle de la justice”

 

“Juristes pour l’enfance” demande au Palais de Tokyo de retirer la toile “Fuck Abstraction”

Juristes pour l’enfance adresse, par la voix de son avocat, un courrier au Palais de Tokyo, au Ministre de la Culture et à la Secrétaire d’État chargée de l’enfance, leur demandant que soit retiré de l’exposition consacrée aux œuvres de Miriam Cahn le tableau intitulé “Fuck Abstraction”, représentant un homme imposant une fellation à un enfant.

L’exposition de cette toile (qui n’est pas caviardée comme ci-dessus) suscite une vive et légitime émotion.

Elle tombe sous le coup de l’article 227-23 du Code pénal.

Il y a quelques jours, le Palais de Tokyo a allégué pour sa justification que, selon Madame Cahn, la victime de ce viol représenté n’était pas un enfant mais un adulte.

En réalité, peu importe les allégations ou même les intentions de l’artiste : elles ne permettent pas d’échapper à la qualification pénale dans la mesure où le plus grand nombre reconnaît bien la représentation d’un enfant dans la figure agenouillée et violée.

Le respect des victimes et de la protection des enfants impose le retrait de cette toile.

Ce type de représentation ne permet pas de lutter contre les actes pédocriminels mais au contraire est susceptible de conforter, voir inciter, des personnes à tendance pédophile à passer à l’acte.

Juristes pour l’Enfance demande au Ministre de la Culture, à la Secrétaire d’État chargé de l’enfance, au Palais de Tokyo et à l’artiste de prendre leurs responsabilités dans la lutte contre la pédocriminalité et de retirer sans délai l’œuvre litigieuse de l’exposition en cours.

 

Pour rappel : Des articles sur une exposition du même genre à Marseille ont été publiées par Wanted Pedo en 2015.

Alors que la ministre de la culture de l’époque avait trouvé tout cela très sympa.

https://wantedpedo-officiel.com/les-expositions-marseillaise__trashed/

https://wantedpedo-officiel.com/des-nouvelles-concernant-les-expositions-marseillaise__trashed/

 

D’autres “œuvres” de la même personne.

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