Le tribunal a suivi les réquisitions pour l’un des faits, mais l’a condamné à 12 mois de prison avec sursis probatoire pendant trois ans pour l’autre.
Le jeune homme, qui travaille aujourd’hui dans la restauration, a une injonction de soins, une interdiction d’exercer une activité dans le milieu des enfants et est inscrit au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles (Fijais).
Du « dada » sur les genoux
L’affaire remonte donc à l’été 2021. La directrice adjointe du centre de loisirs observe le comportement du jeune animateur et trouve qu’il a des gestes déplacés…