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Charles Perragin se prend pour un philosophe parce qu’il est allé à la fac.
Pseudo-journaliste de gauche, il fait preuve de sa bonne petite noirceur dans cet article complètement dégueulasse où le beau-père pédo n’est pas condamné car il a réussi à traumatiser l’adolescente sans lui faire d’attouchement.
Et oui l’intention d’un geste sexuel sur un enfant peut parfois suffire à flinguer un gosse.
On remet la scène vite fait qui a lieu alors que la mère et le beau-père sont en train de se séparer et que la mère est déjà partie au boulot:
Un matin que la gamine de 14 ans doit partir en cours, elle est nue dans la salle de bain.
“J’ai vu qu’elle devenait femme.
J’ai pris conscience que je ne serai plus là pour la voir”
Sur le coup, Sarah ne comprend pas, lui demande de partir, “à deux reprises”.
Lui reste et saisit une serviette, l’étreint au niveau des épaules, puis du dos et des reins.
Choquée, elle s’enfuit, sort de la salle de bain et file dans sa chambre sans se retourner.
Bref tout homme normalement constituer sait ce qui s’est passé: le beau-père tente de se la taper avant de quitter la mère sachant que sinon il ne pourra plus la revoir.
Les gestes sont équivoques, toute femme sait très bien en s’imaginant dans cette situation que ce sont des avances, voir plus et qu’il faut la jouer fine car ils sont seuls et ça peut se finir en viol vite fait.
La gamine ignorante mais ayant compris qu’il y avait un gros problème s’est figée puis s’est cassé le plus vite possible pour s’enfermer dans sa chambre en flippant à mort.
D’ailleurs le procureur pas dupe, a demandé la condamnation, mais le juge et le journaliste ne sont pas du même avis.
Un “moment d’égarement” d’un homme affaibli dirait-on, comme le nom des tristes films pro-pédos du cinéma français avec même le remake subventionné.
et les citations de l’ignoble Perragin, plein de pseudo-prise de recul philosophique et de pseudo-réflexion sur la justice…
La barre est un pilori. En dépit de la présomption d’innocence, la charge de l’accusation fait que le prévenu ou l’accusé est toujours déjà un peu coupable aux yeux de l’opinion. (…)
On a tout de suite compris l’orientation du papier.
Pas de connotation sexuelle.
Ben non bien sûr, je me mets derrière une femme nue dans sa salle de bain et je la prend par la taille, évidemment la scène n’a absolument aucune connotation sexuelle c’est évident…
Le plus troublant, au fond, n’est-il pas de voir une enfant dévastée par des faits qui ne sont finalement pas caractérisés juridiquement comme un délit ? La souffrance d’une personne ne suffit pourtant pas pour qu’elle soit considérée comme victime.
Ben oui alors, elle fait sa petite chochotte là, puisque la justice te dit qu’il y rien eu !
Le philosophe Paul Ricoeur considérait que le procès n’était que la forme codifiée d’un phénomène plus large, à savoir le conflit, la violence, qu’elle soit sociale ou familiale. Mais au-delà du moment dramatique que représente la décision du tribunal, cette violence perdure. D’autant plus quand elle est incompréhensible, comme quand un beau-père n’a pas su aimer.
On se fout vraiment de la gueule du monde avec l’enrobage dégoulinant et vomitif de pseudo-pensée…
On signalera que Paul Ricoeur est le soi-disant maître spirituel de Macron (fake news d’ailleurs).
LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/charles-perragin-355744ab/
Facebook: https://www.facebook.com/charles.perragin
“Collectif singulier “de jounalistes indépendants dont il fait partie : http://www.collectifsingulier.fr/le-collectif-singulier/
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