Bergerac | 15 ans de réclusion criminelle pour le père violeur, 18 mois ferme pour la mère
- La Prison avec sursis... C'est quoi ?
- 30/09/2017
- 00:00
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MAJ du 30.09.17 : Le Bergeracois de 53 ans était poursuivi pour viols et agressions sexuelles sur ses filles et sa belle-fille, la mère pour non-dénonciation.
Quinze ans de réclusion criminelle, assortis d’un suivi sociojudiciaire de sept ans et d’une obligation de soins : c’est le verdict que la cour d’assises de la Dordogne vient de prononcer, ce vendredi, à l’encontre d’un Bergeracois de 53 ans. Il était jugé pour avoir violé, lorsqu’elles étaient enfants, deux de ses filles et sa belle-fille, et avoir agressé sexuellement la benjamine.
La mère des enfants, accusée de non-dénonciation d’atteintes sexuelles infligées à des mineures, a quant à elle été condamnée à trois ans de prison, dont dix-huit mois avec sursis, assortis d’une obligation de soins.
Lors de l’instruction, elle avait confié être courant des abus sur les fillettes, mais sans en mesurer la gravité.
Elle imaginait, a-t-elle dit, que cela se passait ainsi dans toutes les familles.
De plus, l’autorité parentale sur ses deux filles a été totalement retirée au père.
S’il ne respecte par ses obligations de suivi, il encourt cinq années de prison supplémentaires.
Par la voie de leur avocate, les victimes se déclarent satisfaites de ce verdict.
La défense n’a pas souhaité s’exprimer devant la presse.
Source : Sud Ouest.fr
Le procès débutait ce mardi, devant la cour d’assises de la Dordogne, à Périgueux. La mère est également poursuivie.
La session de la cour d’assises de la Dordogne a débuté ce mardi avec le procès d’un Bergeracois de 53 ans suspecté d’avoir violé, lorsqu’elles étaient enfants, deux de ses filles et sa belle-fille, et d’avoir agressé sexuellement la benjamine.
La mère est accusée de non-dénonciation d’atteintes sexuelles infligées à des mineures.
Lors de l’instruction, elle aurait dit savoir que le père abusait des fillettes, mais qu’elle ne mesurait pas la gravité des actes.
Elle imaginait, a-t-elle dit, que cela se passait ainsi dans toutes les familles.
Le huis-clos a été prononcé ce mardi matin.
Le procès doit se tenir sur quatre jours.
Le verdict est donc attendu vendredi.
Source : Sud Ouest
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