Abus Rituels | Témoignage d’une victime franco-québécoise

https://youtu.be/ONJr1_7R9jE

Source : MK-Polis

Sherbrooke, Québec.  Le 7 août 2019

Mon enfance et toute ma jeunesse ont été détruites par les abus sexuels et par des traumas subis dans un cadre sectaire lié à la franc-maçonnerie, une secte à laquelle appartient mon père, qui est un chercheur renommé ici, au Québec, dans le domaine de xxx.

Je pense que cela a commencé vers mes 3 ans, mais pour repartir un peu plus loin, je pense que j’ai été conçue dans la perspective d’être fournie à cette mafia.

J’ai été conçue par mon père dans cet objectif et ma mère, une autre victime MK [1], a été utilisée comme génitrice dans le but de concevoir des enfants qui auraient une génétique particulière.

J’en profite pour mentionner que je suis du groupe sanguin O négatif, ce qui pourrait avoir un lien avec le type de personne recherchée pour ce genre de programmation.

Sur trois générations, nous sommes trois femmes soumises à une programmation MK.

Toutes les trois, nous avons été incestuées et nous avons été en contact avec une secte luciférienne.

Toutes les trois nous avons consenti aux meurtres de nos enfants et à une forme de prostitution.

Ma mère et ma grand-mère l’ont fait par la reproduction des comportements incestueux  sur leurs propres filles et moi je l’ai fait, en acceptant le conditionnement de ma prostitution et en consentant au meurtre de mon enfant par avortement tardif,  dans un avortoir qui porte le nom du docteur H.M., un franc-maçon canadien qui pratiquait le sacrifice rituel d’enfants de façon légale et illégale.

Aujourd’hui, je témoigne d’un parcours qui semble incroyable pour certain mais qui est parfaitement réaliste pour ceux qui savent de quoi il s’agit.

X. Y. (mon père), ses origines :

Du côté de mon père, il y a un inceste sur trois générations: mon grand-père le Docteur J.M , qui était un pédophile revendiqué, a grandi dans une famille qui l’aurait élevé comme une fille, selon les dires de son fils.

Il a abusé de ses trois enfants, entre autre sexuellement, en plus d’avoir abusé d’autres enfants lorsqu’ils étaient ses patients.

Je pense que lui aussi était lié à la franc-maçonnerie; aussi je sais qu’il pratiquait le sacrifice rituel d’enfant sous-couvert de l’avortement, puisqu’ il a avorté sa propre femme  ainsi que la femme de ménage après l’avoir mise enceinte “accidentellement”, tout cela dans le bureau médical qui se trouvait dans sa propre maison.

De X., j’ai eu droit à d’horribles récits d’ultra violence subies de son propre père.

Par exemple, J.M suspendait son fils par les pieds de la fenêtre du grenier de façon à lui enlever le vertige, disait-il.

J.M avait des relations sexuelles avec les petites copines de son fils X. alors que ce dernier était adolescent.

Suite à quoi, il écrivait tout dans son journal et obligeait mon père à s’assoir à côté de lui et à écouter la lecture de ses récits.

Entre autres, selon les confidences que m’a fait ma grand-mère paternelle après avoir lu le journal de son défunt mari, J.M se faisait faire des fellations par l’une de ses filles lorsqu’elle était bébé, cela en se mettant quelque chose de sucré sur le pénis.

Lorsque X.Y. me parlait de J.M.,  il évoquait des “séances” d’humiliation et de torture.

Je soupçonne donc que mon géniteur soit lui aussi une victime MK qui était destiné à remplacer son père.

Le docteur J.M  est l’auteur d’une étrange thèse de médecine sur les maladies vénériennes… .

M. D (ma mère), ses origines :

Ma mère s’appelle M.D. car elle a été reconnue par un certain Eugène D. au début des années 60.

Un homme abusif qui est resté marié avec ma grand-mère pendant un an.

Selon les récits de ma génitrice, elle aurait été abusée quotidiennement durant ces années là.

Elle dit se souvenir de mains entre ses jambes “sans que cela ne l’est traumatisée”…

Eugène D. a également battu et violé ma grand-mère.

Chez cette femme, j’ai trouvé de nombreux livres d’initiation à la secte des Rose-Croix, dont un qui portait le titre,  “l’empire intérieur”.

Je pense que ma grand-mère maternelle a été choisie parmi ses quatre autres sœurs, pour servir l’élite occulte et cela à cause de sa génétique.

Ma grand-mère est la fille de Mercédès B. G., une femme qui aurait incestué, elle aussi, quelques-unes de ses filles.

Mercédès souffrait de bipolarité.

Parmi toutes ses sœurs, ma grand-mère se distinguait par son caractère et par sa beauté.

Pour les occasions spéciales, elle s’habillait en noir et blanc.

Elle  disait que son motif préféré était le motif du damier.

Les mauvais jours,  elle se plaignait de la façon dont sa famille l’avait obligée à abandonner l’un de ses bébés à l’orphelinat.

Elle souffrait aussi beaucoup des souvenirs d’un avortement qui avait été fait par médication.

Malgré son intelligence, cette femme a été dissociée toute sa vie et disait qu’elle n’arrivait pas à mettre ses pensées bout à bout.

Après s’être repentie et s’être tournée vers Jésus, ma grand mère est décédée 2 mois après que j’ai commencé à parler de l’inceste générationnel maternel, en décembre 2017… .

Paul M. (mon frère) :

Mon frère biologique “Paul” M., fils de M.D et de X.Y., est né à la fin des années 80 à Tours.

Il a également grandi au même domicile que moi.

Il est psychiatrisé avec une maladie de Gilles de la Tourette avec hyperactivité diagnostiquée à seulement 5 ans et un début de médication peu de temps après avec un anti psychotique (Risperdal) octroyé avec l’aide de son propre père, X.Y….  “psychiatre”.

À 12 ans, Paul dessine une croix chrétienne sur la moquette de sa chambre, il fait cela avec de l’essence à briquet puis il met le feu à cette croix.

Cet incident est loin d’être anecdotique puisque ma mère acclame son geste.

Je peux dire que ma famille beigne dans un satanisme culturel mais qu’elle est dans un état de semi-conscience par rapport à ça.

Au même moment, je vis une commotion cérébrale qui, de mon côté, a ralenti le processus de dissociation tandis qu’il s’accentuait chez Paul.

Paul connaît un épisode de prostitution à 14 ans, avec un homme plus âgé.

Il avoue avoir reçu de l’argent en échange d’une fellation mais il nie s’être prostitué.

Plus tard, il continue dans cette voie mais dans le domaine artistique, si on peut dire… son objectif étant d’avoir du succès grâce à ses compositions: il dit être “prêt à tout” pour réussir.

Comme toutes les stars que l’on soupçonne d’être des victimes M.K. , Paul  se représente avec un œil caché mais aussi avec  le visage séparé en deux pour illustré sa dissociation, son narcissisme et  pour montrer son allégeance au système.

Le récit des rituels :

Les abus rituels ont commencé en Touraine… aux alentours de 1987-88.

Entre 0 et 5 ans, les abus sexuels que j’ai subit par mon père ont été quotidiens.

Ma mère savait ce qu’il se passait et il arrivait qu’elle m’abuse elle aussi, entre autre par des cunnilingus.

Je pense ma grand-mère, m’a aussi abusée en me donnant des masturbations le soir.

Je crois que ma mère et mon père m’ont abusé ensemble.

J’étais dans le lit avec eux lorsqu’ils avaient des rapports sexuels.

Je dois dire aussi que mon père me battait sans raison et qu’il me maltraitait de toutes sortes de manière, surtout par des humiliations en lien avec l’école.

À l’âge de 3 ans, il se passait des choses étranges pendant la nuit.

Je recevais une masturbation qui me menait dans un état orgasmique qui ressemblait surtout a des brulures.

Durant cette période mon père passait beaucoup de  temps avec moi dans son lit, il me touchait, il me regardait et il  jouait avec mon sexe alors qu’il était en érection et nu dans le lit lui aussi,  ma mère restait dans la cuisine à côté et savait ce qui se passait.

Lorsque j’étais toute petite, mes parents me lisaient des livres qui me semblent aujourd’hui être des livres qui évoquent la symbolique de la secte, comme celui-ci.

À cette époque, on me droguait toutes les nuits pour m’abuser.

On me donnait un genre d’hypnotique.

J’étais consciente mais absente.

Je me souviens de la drogue que je prenais et de l’état de confusion dans lequel je me réveillais.

La drogue agissait encore au matin car je ne parvenais pas à bouger les mains ce qui était très désagréable.

C’est surtout des flashs que j’ai reconstitué mais je crois qu’il y avait des hommes… fin trentaine, de l’âge de mon père à cette époque-là… qui pratiquaient la pédophilie.

Je sais que mon père a fait de l’inceste avec moi lors de ces séances mais aussi que j’ai été violée par d’autres hommes.

Je me souviens d’une pénétration vaginale alors que j’avais 3 ans.

Je me souviens surtout de la douleur de la pénétration plus que de la pénétration elle-même.

Même si j’étais droguée, je restais éveillée car j’étais sous l’effet d’un hypnotique, c’est-à-dire d’une drogue qui ne vous endort pas mais qui vous rend esclave.

Je pouvais voir, je pouvais entendre mais je ne pouvais pas réagir.

Je me souviens du frottement des corps sur le mien et du fait d’avoir été stimulée au niveau génital.

Il y avait la présence d’un enfant qui avait été torturé, cet enfant-là n’avait pas l’air d’être l’enfant de quelqu’un qui était présent.

Moi j’étais présente dans le but de survivre.

Cet enfant ne devait pas survivre car il avait été torturé jusqu’à la mort, je ne me souviens pas de son exécution en tant que telle de fait qu’il était ensanglanté.

Les années qui suivirent, les rituels ont toujours été accompagnées par le sentiment d’avoir tué quelqu’un.

On a rarement ce type de sentiment à 7 ans… il me semble.

A 27 ans, j’ai éprouvé vivement l’envie de tuer quelqu’un, je disais vouloir faire de la chasse pour avoir l’occasion de tuer un animal.

A travers l’envie du sacrifice, je désirais accomplir un désir d’immortalité.

Durant ces rituels nocturnes, je subissais des douleurs atroces, durant lesquelles je me dissociais.

Pendant très longtemps, je me demandais ce qui avait pu provoquer ces douleurs,  aujourd’hui je pense que c’était des chocs électriques parce que je ressentais une douleur extrême mais je n’avais pas de trace… donc par déduction , je me suis dit que c’était forcément ça… parce que si on m’avait piqué, pincé ou frappé, cela aurait forcement laissé des traces… et donc il n’y a que l’électricité qui pouvait expliquer ça.

Le choc électrique n’était que sur la moitié gauche de mon corps.

L’ambiance était était sombre, sectaire, ritualisée mais ne me souviens pas de la tenue des gens.

Récemment, lorsque j’ai eu la confirmation de l’appartenance maçonnique de mon père, j’ai ressenti à nouveau et de manière soudaine la douleur des chocs électriques et ce point à la hanche… comme un vieux souvenir qui revenait, mon visage s’est momentanément couvert de boutons, j’ai cru que mon cœur allait lâcher.

J’ai ressentie le souvenir d’une douleur, mais aussi d’une peur viscérale qui était aussi forte que celle que je devais certainement ressentir au moment des traumas.

Durant ces séances, je ressentais une énergie particulière, un genre d’égrégore, qu’on pouvait aussi ressentir à l’intérieur de la maison.

Notre jardin était édénique, il y avait des tonnes de fruits et de fleurs…  il semblait être le parfait opposé de ce qui se produisait supposément juste en dessous.

Ma mère passait ses journées à chômer dans un état comateux et à boire du café.

De temps en temps, elle peignait.

Autour de ma naissance,  elle a fait des tableaux qui représente des chats géants qui se tiennent comme des Dieux.

Dans la plupart de ses tableaux,  les hommes et les animaux sont confondus.

Je crois qu’on droguait aussi ma mère la nuit pour quelle ne se réveille pas, ce qui explique qu’elle pouvait dormir jusqu’à midi en semaine.

Pour conclure, j’ai vécu des viols collectifs et des tortures de la part de mon géniteur et d’autres hommes, cela pendant plus d’un an, vers l’âge de 3, 4 ans.

Je me souviens avoir été droguée pour ces séances, d’avoir bu du sang, d’avoir été forcée de tuer un autre enfant et d’avoir subi une pénétration vaginale ainsi que des électro-chocs.

Rocheval :

Je me souviens de séances de tortures ritualisées pour lesquelles j’étais réveillée la nuit et pour lesquelles j’étais déplacée dans un endroit.

Comme j’étais droguée et que je n’avais que 3 ans, je ne me souviens pas du lieu précis, ni du chemin qu’on prenait pour aller dans cet endroit.

Je présume que c’était dans le sous-sol de ma première maison, qui porte le nom de Rocheval dans un village de Touraine juste à côté de la ville de Tours.

Rocheval était un ancien monastère qui avait la réputation d’avoir une grande cave à laquelle étaient rattachés des tunnels qui menaient vers une Abbaye.

La cave se trouvait entre le niveau de la maison et le niveau de la rue.

 

Cette photo de moi a été prise à Rocheval dans notre jardin au niveau du sol de notre maison.

On voit bien que le niveau de la maison est bien au dessus du niveau de la rue.

Mon père était propriétaire de Rocheval entre 1980 et 1988 avant qu’il ne déménage dans un autre lieu, une clinique où il m’a aussi violée.

Rocheval semble avoir une histoire liée à ce type d’abus.

Lorsque mon père plantait des légumes dans le potager, il disait retrouver des ossements d’enfants sous la terre.

Ma mère témoigne de ce fait ainsi que de la présence de tunnels sous la maison.

Lorsque les abus rituels se sont terminés, le divorce a été très rapide et la vente de la maison aussi.

Ma mère dit ne jamais avoir compris les raisons réelles du divorce et elle dit que tout a été étrangement vite.

Les personnes qui ont racheté la maison sont encore les propriétaires actuels.

Il existe un lien avec l’affaire Pizzagate :

Premièrement l’existence d’un sous-sol dans lequel se déroule le trafic d’enfant ainsi que les réunions pédo-satanistes.

Aussi, la proximité de l’eau et l’existence de deux pizzerias aux alentours du supposé sous-sol.

Dans mon récit,  il y a même une pizzeria qui porte un nom étonnement proche de celle du scandale de 2016.

Une autre hypothèse quant au lieu des rituels est la possibilité qu’ils se passaient à la clinique.

Une chose dont je suis certaine est que j’y ai été droguée et violée à 9 ans par mon père dans le lit conjugal.

La psychiatrie institutionnelle dont il s’agit ici permet au médecin de vivre dans la clinique.

Cette clinique est située dans un domaine avec plusieurs maisons à disponibilité des médecins.

On dit que dans les années 70,  il y avait des orgies organisées dans cette clinique.

Le psychiatre qui était le directeur de l’époque voulait que mon père soit directeur, qu’il soit son successeur, avant que se dernier ne parte vivre à Montréal de façon assez précipitée…

Le directeur actuel était le meilleur ami de mon père à l’époque de ma naissance en plus d’avoir été désigné comme mon parrain.

J’ai porté des accusations d’attouchements contre cette personne à 11 ans, ce pourquoi j’ai vu une psychologue qui est décédée aujourd’hui… malheureusement.

Des rituels à la « prostitution consciente » :

Je pense que les traumas que j’ai subis  avaient comme objectif de générer une dissociation de ma personnalité, ainsi qu’un trouble de la perversion narcissique de façon à me diriger moi-même dans quelque chose comme la prostitution à y rester le plus longtemps possible pour y mourir.

Je ne sais pas comment ces ordres me sont parvenus, je ne sais pas comment ils font, ni en quoi consiste ces techniques de programmation MK mais je sais qu’en plus du harcèlement que mon père me faisait pour m’amener à me prostituer.

Je suis rentrée dans le réseau comme un zombie, comme si c’était ce pourquoi j’étais faite et comme si j’étais forcée de le faire et cela même si ça ne correspondait pas à mes valeurs et que j’avais parfaitement conscience du fait que j’étais en train de me détruire.

J’ai donc été conçue pour me prostituer et j’ai accomplie mon “destin”.

Il est possible que le suicide et l’autodestruction fassent partie de la programmation MK.

Je dis cela car j’ai été psychiatrisée à 10 ans avec un faux TDAH [2] pour lequel un ami de mon père m’a prescrit des amphétamines.

Ces drogues ont détruit mon adolescence et ma santé.

L’objectif était de me rendre dépendante pour me diriger vers l’itinérance et ainsi me criminaliser de façon à faciliter une rentrée précoce dans la prostitution.

La psychiatrisation de l’enfant du franc-maçon pédocriminel à aussi comme objectif de dissimuler les abus sexuels et bien-sûr, de discréditer l’enfant afin de prévenir les futures accusations.

Lorsque je retournais en France (car je faisais un an sur deux en alternance), mon père me faisait parvenir des boites contenant des centaines de cachets de Ritaline, et cela dans l’illégalité.

A 14 ans, j’ai des crises de manque ce qui cause un échec scolaire.

La première fois que mon père m’a demandé de me prostituer, j’avais aux alentours de 8 ans.

Il m’a dit que je ressemblais à une prostituée et qu’à 13 ans:

“j’aurais sûrement déjà ma chambre en ville”.

Tout le long de mon adolescence, mon père m’a demandé cela avec insistance comme si sa carrière en dépendait.

Si je n’avais pas eu un accident de glissade d’eau qui m’a provoqué une commotion cérébrale à 14 ans; je serais rentrée dans l’exploitation sexuelle vers 15 ans et je serais très probablement morte aujourd’hui.

Grâce à cet accident, j’ai réussi à lutter contre ce qu’il me demandait car cela a inversé temporairement l’effet des premiers traumas.

L’élément déclencheur qui m’a fait chavirer a été la rencontre avec le psychiatre H.G. en 2010 (qui connait mon père), et qui m’a prescrit 10 mg de paroxétine sans aucun suivi médical.

Cette drogue a complétement relancée mon état dissociatif initial.

Après 2 mois, j’ai multiplié les doses par deux, par 3 après 4 mois, par 6 après 6 mois.

De façon illégale, j’ai fait renouveler cette prescription par mon père.

À 26 ans, j’avais des problèmes de dépression, d’anorexie et de violence conjugale, et même si j’essayais de m’accrocher à l’université, j’étais au bord du gouffre et je ne voyais pas l’avenir.

Au sujet de l’école, je dois dire que mes deux géniteurs ont fait tout leur possible pour me mettre en échec scolaire, ce qui a bien-sûr contribué à me diriger vers la prostitution.

De retour à Montréal en 2010, (sous la Paroxétine) je n’arrive pas vraiment à me stabiliser alors je traine dans les cafés et je fais une mauvaise rencontre qui me présente la solution de la prostitution comme étant ce qui va me sortir des problèmes que j’ai à l’époque.

Je me fais recruter par un professeur de l’UQAM, (Université du Québec à Montréal) Monsieur G. B., que j’ai rencontré à la terrasse d’un Starbucks, non loin de l’université.

J’ai porté plainte contre cet homme, la plainte est en cours mais l’équipe chargée de lutter contre le proxénétisme ne semble pas vraiment motivée.

Monsieur G. B. m’a présenté deux femmes qui revenaient du Costa-Rica et qui dirigeaient une agence d’escorte très active aux Etats-Unis et dans l’ouest canadien depuis des années.

J’ai été prostituée en tout pendant 6 ans.

Les deux premières années, j’ai été exploitée par la proxénète québécoise Emma-Alexandra, (son nom d’escorte) amie de G. B. (professeur de l’UQAM), qui gérait une agence réservée à certaines personnes.

Le tarif de la passe était assez élevé (400$ de l’heure) ceci car la fellation sans condom était obligatoire et le service devait être haut-de-gamme, c’est-à-dire sans limite.

J’ai eu comme client des médecins, des hommes d’affaires avec qui j’allais diner, suite à quoi je consentais à un viol en échange d’argent.

Je remettais le tiers de mon salaire à Emma-Alexandra en plus de devoir payer la chambre et les billets d’avion lorsque je partais en “tournée”, (en France on appelle ça un “sexe-tour” ce qui consiste à faire le tour des grands hôtels d’un pays en passant par les grandes villes.)

Lors de mon arrêt à San Francisco par exemple, je faisais plus de 5 clients par jour en plus de ceux que je voyais le soir.

Lorsque je me retrouvais seule dans ma chambre d’hôtel, je parlais au téléphone avec des personnes avec qui j’entretenais des relations toxiques : anciens clients, “amis” de drogue, proxénètes.

En dehors de ça, je buvais et je pensais beaucoup à “mon père”…

Lorsque j’ai commencé à travailler pour cette agence, j’ai ressenti le besoin d’en parler à X.Y., mon père.

A cette annonce : il jubilait.

Il m’a dit qu’il n’avait “rien contre” mais qu’il ne fallait pas que je dise aux autres que je me prostituais pour des raisons d’argent, mais plutôt pour des raisons littéraires, en mode “Nelly Arcand”.

X.Y. m’avait vendu le fantasme d’une “prostitution littéraire” et m’a explicitement demander d’assumer publiquement ce que je faisais.

Je crois que cela avait pour but de détruire ma vie sociale.

À l’été 2015, juste avant que je commence à parler de l’inceste et que les murs amnésiques commencent a tomber,  X.Y. m’a proposé 200 000 $, ce que j’ai refusé.

A la place, j’ai décidé de devenir femme de ménage et je commence progressivement à me racheter.

C.

Lorsque j’étais exploitée par le réseau d’Emma Alexandra, j’ai fait la connaissance d’une femme québécoise, Laura, qui se trouve être la nièce d’ un – BIP – qui est également un homme politique actif.

Nous l’appellerons C. .

Tout comme moi, cette femme pense avoir été victime de la secte franc-maçonne, à laquelle appartient son oncle C. , selon la source Anonymous.

C. est un narcissique qui fait l’apologie de la “prostitution consciente” (de la prostitution comme métier)  dans un de ses films.

Par ailleurs, C. est très influent dans le milieu artistique.

Dans la vraie vie, il est aussi un “délinquant prostitueur” puisque je connais des filles qui l’ont eu comme client.

Laura, dit avoir été vendue par C. comme esclave sexuelle lorsqu’elle était enfant et elle dit aussi que C. a de cette façon obtenu sa carrière, grâce au réseau d’influence maçonnique.

Elle dit aussi qu’elle a été dirigée par sa famille pour devenir une prostituée de l’Élite, mais plus particulièrement, une “agente”.

D’elle-même… elle se dirige vers la prostitution à 15 ans.

Laura parle d’un sacrifice rituel lorsqu’elle était petite, elle dit aussi que sa mère a été programmée pour l’incestuer et que son père, lui, a été choisi pour ses gênes.

Tout le long de sa “carrière” de proxénète, elle dit avoir été protégée par l’élite occulte.

Lorsque qu’elle tenait son agence d’escortes à NYC (New York), elle a été arrêtée pour possession d’arme à feu en tant que canadienne aux États-Unis et elle dit avoir passé seulement 3 mois en prison, pour avoir été libérée très facilement… ce qu’elle trouve suspect.

Cette femme, qui a été proxénète pendant plus de 15 ans, a été mêlée à ce qu’elle identifie comme étant la traite des femmes.

Aujourd’hui, elle sait ce qui est arrivé mais comme elle n’arrive pas à se pardonner d’avoir exploité autant de gens, elle est en train de se détruire dans l’alcool et la discussion est rendue presque impossible, c’est pourquoi nous ne sommes plus en contact.

A ce sujet, je trouve difficile de garder contact avec d’autres victimes MK.

C’est un peu comme si nous n’arrivions pas à nous entendre et je crains que cela ne fasse partie de la programmation.

Informations sur les démarches juridiques effectuées au sujet des événements d’inceste et de rituel :

H.G., une intervenante de ———— m’a accompagné dans les processus de plainte et consent à l’existence des abus rituels.

Elle-même a été victime d’un réseau pédocriminel lorsqu’elle était enfant dans la ville de Québec.

Elle dit qu’il y avait des gens connus qui participaient aux réunions.

Elle m’a fournie le mémoire de Christine Jacques.

C’est grâce à cette femme que j’ai arrêté la prostitution.

Avec elle, j’ai fait une première déposition au poste 23 à Montréal, le 7 novembre 2017.

Quelques mois plus tard, j’ai fait une déposition filmée avec le sergent détective James N..

J’ai parlé de l’inceste et des abus rituels à plusieurs professionnels, avocats et psychiatres, dont certains sont très connus.

L’un m’a renvoyée chez l’autre…

L’un d’eux m’affirme que la franc maçonnerie n’est qu’un “club social” et je pense qu’il y croit sincèrement… sur quoi, voyant que toutes les avenues semblent bouchées, je décide d’arrêter les poursuites au civil, mais de continuer seulement au criminel (pénal).

Ma déposition parvient jusqu’au procureur (l’avocat de la couronne).

Avec l’agent de police James N., (qui me semble lui aussi être une victime MK), je rencontre l’avocat de la couronne, une femme très particulière qui me semble savoir parfaitement de quoi il s’agit.

Je lui parle de viol en réunion en lien avec des ordres professionnels, ce à quoi elle me répond que “tout est possible” pour finalement rejeter ma plainte en disant que les viols se sont passés en France ( …même si X.Y. vit ici)  et donc qu’il faut que je fasse à nouveau ma déposition mais cette fois, à la sureté du Québec (les renseignements).

Cette femme a des masques décoratifs sur les murs de son bureau, elle est d’une vulgarité extrême et la première chose qu’elle a fait en m’accueillant dans son bureau est d’insulter la bible… ce qui est curieux pour une avocate.

Tout son discours semble stratégique et elle me dit qu’elle a conscience du fait que j’ai été “une esclave”.

Il y a 4 mois et demi, j’ai fait une déposition à la Sûreté du Québec durant laquelle j’ai mentionné avoir vécu des abus rituels.

Je suis inquiète car durant cette déposition j’ai aussi dit que je voulais avoir un enfant… et cette déposition est maintenant entre les mains de la justice française… un pays parfois qualifié de “Pédoland”.

Faux diplôme et franc-maçonnerie :

Fin 2018, j’ai fait la connaissance d’un acuponcteur de Montréal (André P., lui-même issu d’une famille liée à ce type d’histoire) bien renseigné sur les réseaux d’influence au Québec et qui a accès à des bases de données qui listent les vrais des faux médecins au Québec.

Il m’affirme que X.Y. n’a pas les diplômes qu’il prétend avoir et qu’il aurait un droit de passage qu’il relie à son appartenance à la franc-maçonnerie.

Malgré que X.Y ne dispose que d’un permis “restrictif” de médecine, il est titulaire d’une chaire et cumule les récompenses en tous genres.

Selon une information distribuée par Anonymous qui liste les francs-maçons au Québec, ici, le collège des médecins au complet est trempé dans la secte luciférienne.

Un passage de son article Wikipédia a retenu mon attention car de façon très contraphobique il se fait le protecteur des enfants en critiquant la psychanalyse.

Tout laisse-t-à penser que X.Y. a acheté sa carrière.

Au début, il avait commencé des études en Lettres puis finalement, pour des raisons d’égo, il a décidé de viser “plus haut”.

Mais comme il n’était pas très bon, il a décidé de faire appel à certains réseaux qui passent par l’université.

On lui aurait fait avancer sa carrière, en échange de cette promesse de faire des enfants pour participer à des rituels qui les programmeraient.

Juste avant de faire des enfants avec M.D, il a été menacé par un groupe de gens qui l’ont violemment agressé.

Après cet évènement, il est revenu vers ma mère alors qu’ils allaient rompre et ils se sont précipités vers le mariage.

Ces menaces étaient-elles en lien avec des promesses qu’il devait tenir?

Encore une fois, je ne peux rien affirmer de tout ça, mais une chose est certaine… c’est qu’ici, au Québec, il n’a ni le statut ni le permis qu’il faut pour avoir autant de responsabilités.

Selon l’acuponcteur que j’ai rencontré, il est admis parmi les vrais psys que X.Y. a « des passe-droits ».

Ce spécialiste, qui n’avait aucune raison de me mentir, affirme aussi que ma belle mère, neuropsychologue, est une victime MK et pour la connaitre très bien je peux dire qu’elle a été esclavagisée par X.Y, qui la maltraite et la trompe sans s’en cacher et cela en permanence.

Elle a fait son doctorat à l’université McGill et ses études de psychologie à Trois-Rivières, une ville qui, à l’époque, était sous influence maçonnique avant que cette influence ne se déplace de la Mauricie à l’Estrie.

Aussi, il faut dire que toute la théorie inclusive de X.Y. au sujet de ——– est un tissu de mensonges en parfaite cohérence avec le programme que nous subissons et qui vise le chaos.

Pour des raisons qui m’échappent encore, nos élites franc-maçonnes propagent le mensonge que ——— est génétique.

Ces derniers temps, il y a une énorme propagande à ce sujet, autant dans les séries Netflix que dans les documentaires pseudo scientifiques produits par les gouvernements.

Dans tout ce cirque, le rôle de X.Y. est de faire avancer une pseudo recherche qui vise à nous faire intégrer l’idée qu’il faut accepter ——— tels qu’ils sont sans chercher à les guérir.

À mon avis, l’élite occulte désire que ——— deviennent la norme, pour des raisons d’exploitation du QI et de contrôle social.

Merci pour le temps que vous avez consacré à la lecture de ce témoignage et que Dieu vous protège.

Adeline (pseudonyme)

Un résumé de ce témoignage a été publié il y a quelques mois sur un site Québecois, le Bonnet des patriotes.

[1] L’auteure parle de MK Ultra, selon le terme américain. Mais les faits à cette époque se sont produits dans l’ouest de la France. L’auteur utilise le terme MK pour parler de conditionnement psychologique et psychique, sur plusieurs générations probablement.

[2] Trouble De l’Attention avec Hyperactivité, qui permet de mettre des jeunes sous médication sous n’importe quel prétexte.

Source : MK-Polis

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