Le Coral fut fondé en 1977 à Aimargues, un ravissant village du Midi de la France, par Claude Sigala, un éducateur spécialisé et cinéaste, bourdonnant autour de la révolution sexuelle française de mai 68.
La mode était aux écrivains qui publiaient des romans de leurs amours avec “des enfants consentants”, dans un langage ampoulé, en rimes, comme si cela pouvait effacer leurs crimes.
Le Coral était un “lieu de vie” où environ 10 adultes s’occupaient de 5 enfants psychotiques et autistes.
Ils appartenaient à un mouvement visant à faire reconnaître le droit à la différence, à la tendresse et à la caresse…
de vieux cochons en érection sur des enfants.
Il s’agissait d’un “débat philosophique” et de “liberté sexuelle” d’enfants émotionnellement handicapés, que le Coral estimait faire partie d’une “thérapeutique nouvelle”.
Un garçon de onze ans, fut retrouvé mort, la tête noyée dans un seau de merde en 1979.
Son autopsie démontra qu’il avait été sodomisé…