NON à l’abaissement de la majorité sexuelle à 13 ans !

non

Le lobby pédophile revient à la charge.
A l’occasion de la journée pour faire croire à l’opinion publique qu’on fait quelque chose pour les gosses violés, on nous ressert le couvert pour abaisser la majorité sexuelle de 15 ans à 13 ans. Toujours les mêmes à la manoeuvre (HCE, Libération, etc).

On compte évidemment sur l’amnésie des gens alors que le hashtag #Moia13ans avait clairement réglé le débat en ce qui concerne l’opinion publique.

https://www.liberation.fr/france/2020/11/20/consentement-le-haut-conseil-a-l-egalite-exhorte-a-la-fixation-d-un-seuil-d-age-dans-la-loi_1805859

Nous vous remettons donc ici l’article rédigé sur le sujet à l’époque de la loi Schiappa.

 

L’enfant bleu (association de “protection” de l’enfance) et le Haut Comité à l’Égalité Hommes-femmes (gouvernement) soutiennent qu’un enfant de treize ans peut consentir à une relation sexuelle avec un adulte.

Cela intervient au moment même où se joue la triste comédie du lobby pédophile qui tente de manière fallacieuse de remettre en question la jurisprudence et de faire baisser l’âge de la majorité sexuelle de 15 ans à 13 ans.

(voir ici notre article qui détaille cela)

Le titre d’un article de RMC/BFMTV laisse rêveur…

13, 14, 15 ans…  l’épineux débat sur l’âge minimal du consentement sexuel

http://rmc.bfmtv.com/emission/13-14-15-ans-quel-age-minimal-pour-le-consentement-sexuel-1279200.html

Si le titre était:

13 ans, 15 ans, 18 ans : A quel âge peut-on être consentant pour se faire pénétrer par un adulte ?

Ça ferait tout de suite pas le même effet, non ?

Dans ce contexte le secrétaire général de “l’Enfant bleu” Michel Martzloff (30 ans chez Procter et Gamble) soutient que 13 ans c’est bien.

LinkedIn : https://fr.linkedin.com/in/michel-martzloff-19a71340/

L’enfant bleu est une association théoriquement de défense des enfants (disposant de sponsors et de 350.000 euros de budget p.46-48).

Une ancienne institutrice, puis psychologue scolaire, responsable de l’observatoire des violences conjugales de la Seine-Saint-Denis (…), Ernestine RONAI, membre du HCE compare l’âge en question avec l’âge minimum du pédophile donc 18 ans…

Nous avons choisi 13 ans parce que c’est une moyenne par rapport à l’Europe.

Ensuite parce que nous voulions un écart d’âge suffisant entre la victime et l’agresseur.

Nous avons donc pris l’exemple d’une victime de 13 ans et le plus jeune agresseur, 18 ans donc, ce qui fait 5 ans d’écart, ce qui nous paraissait suffisant.

C’est bien connu les pédophiles ont tous 18 ans…

Facebook : https://www.facebook.com/ernestine.ronai

LinkedIn: https://fr.linkedin.com/in/ernestine-ronai-1358a571/

Quel rapport avec la capacité à consentir d’un ou d’une enfant ?

Cela n’a aucun sens.

Ou plutôt, comprenne qui voudra.

Et alors, pour ce qui de la moyenne des pays européens c’est vraiment l’argument le plus pourri qu’on puisse trouver…

Et en plus c’est FAUX, pour TOUS les pays on est entre 14 et 18 ans.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Majorit%C3%A9_sexuelle_en_Europe

Comment la moyenne de pays entre 14 et 18 ans peut donner 13 ?

Mauvais en maths ou de mauvaise foi ?

Donc nous sommes pour la moyenne européenne (au sens culturel et géographique du terme : 41 pays) qui est de 15 ans (15,35).

En prenant uniquement les 27 pays membres de l’UE on est à 15 ans aussi (15,28).

On se moque de qui là ?

(Comme beaucoup de français, personne ne vérifie les infos que ces gens mal intentionnés balancent, il serait peut-être temps de s’y mettre et d’arrêter de gober tout et n’importe quoi sans jamais rien vérifier…)

La lecture de l’article sur la France est savoureuse vu ce qu’on peut lire et entendre en ce moment.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Majorit%C3%A9_sexuelle_en_France

Faisons la moyenne mondiale aussi pour voir…

On rappelle qu’en Inde et en Turquie où soi-disant les petites filles sont mariées de force cet âge légal est de 18 ans.

http://wanted-pedo.com/bis/inde-cour-supreme-confirme-quune-relation-sexuelle-mineure-18-ans-necessairement-viol/

A Wanted Pedo nous soutenons a minima le maintien du statu-quo et l’âge de la majorité sexuelle à 15 ans avec une différenciation entre les mineurs de moins de 15 ans et les mineurs entre 15 et 18 ans.

Ce qui est conforme à la jurisprudence appliquée des milliers de fois dans les tribunaux français, à l’opinion publique et au bon sens.

C’est comme ça que tout un pays se fait avoir !

NON à l’abaissement de la majorité sexuelle

de 15 ans à 13 ans.

Car c’est bien de cela qu’il s’agit !

Envoyer tout cela à votre député, contactez les membres du HCE, du ministère de Marlène Schiappa, faites une pétition, etc.

Tout est bon à prendre.

 

Actualisation du 28 novembre 2017 :

L’association “L’enfant bleu – enfance maltraitée” ainsi que M. Martzloff qui en est le secrétaire général, nous font savoir par la voix de leur avocat Me Yves Crespin qu’ils nous somment de retirer cet article sous 8 jours sous peine d’attaquer l’association Wanted Pedo en justice pour diffamation.

Voici la lettre en question qui avec l’arrogance propre au “sachant” nous menace.

Nous n’allons pas répondre point par point à tout cela mais nous contenter de clarifier encore les points les plus importants à nos yeux.

Le reste sera débattu à loisir devant les tribunaux si besoin est.

  • Tout d’abord l’atteinte à la vie privée du Sieur Martzloff.

Michel MARTZLOFF est secrétaire générale d’une association nationale qui a pignon sur rue et qui passe régulièrement dans les plus grands médias (mainstream) du pays y compris audio-visuel (donc de facto il en est également le porte-parole).

Il a un profil LinkedIn public où il met en avant sa carrière, son visage, etc.

On nous reproche de mettre un visage sur un nom ?

Alors que ce monsieur passe sur les chaînes de télé ?

En gage de bonne volonté nous sommes tout à fait prêt à changer la photo pour une saisie d’écran de son passage sur BFMTV.

  • L’amalgame avec le lobby pédophile

A aucun moment nous ne faisons d’amalgame entre le lobby pédophile et Michel Martzloff ou encore l’enfant bleu.

Il est d’ailleurs bien étonnant qu’ils se sentent visés, non ?

Nous soulignons simplement que dans le contexte de ce débat qui consiste à fixer un âge de non consentement des mineurs entre 13 et 15 ans, le lobby pédophile prend bien logiquement le parti de militer activement pour 13 ans.

Il est étonnant de voir une association de protection de l’enfance, qui “existe depuis 28 ans”, qui est bien “intégrée dans les rouages législatifs de l’État” se positionner sur la même ligne (13 octobre sur BFMTV/RMC).

Nous relevons simplement la simultanéité des faits et ne faisons aucun lien de cause à effet entre les deux sous-titres.

A aucun moment l’association n’a communiqué sur les raisons de son choix d’appuyer l’âge de 13 ans plutôt que 14 ou 15 ans, ni publiquement, ni dans la présente mise en demeure d’Yves CRESPIN.

La suite nous donne d’ailleurs raison puisque l’enfant bleu s’est tout à coup réveillée pour désormais soutenir l’âge de 15 ans et ainsi donc s’aligner sur notre position, depuis la semaine dernière (21 novembre)…

Ce dont nous nous réjouissons et peut-être même que notre article y est pour quelque chose.

La crédibilité publique de cette association ne peut que profiter de ce revirement aussi soudain qu’inexpliqué et nous nous en félicitons.

Certaines mauvaises langues évoqueraient une attitude de girouette, voir de “sauve qui peut” ou a minima de rétropédalage face au tollé de l’opinion publique (#moia13ans), peut-être des adhérents de l’enfant bleu, nous n’en ferons rien…

La gouvernance est peut-être quand même sans doute à revoir en interne…

Néanmoins cette actualisation où nous produisons l’intégralité de leurs griefs nous paraît être un droit de réponse tout à fait complet et suffisant.

Mais nous ne manquerons pas d’apprécier néanmoins ce savoureux extrait plein de mauvaise foi :

L’Enfant Bleu défendra toujours les mesures les plus protectrices pour les enfants et a donc retenu ce seuil des 15 ans.

Bref, passons… Mieux vaut tard que jamais.

Espérons qu’ils puissent de nouveau passer à la télé pour exprimer haut et fort leur “nouveau” positionnement et s’expliquer sur ce revirement de dernière minute.

Pour l’instant rien en vue…

  • La leçon du “sachant” Yves CRESPIN

On passera sur les formules rabaissantes et autres renvois à des sources plus “fiables” qu’il ne cite jamais.

Le Sieur CRESPIN issu d’une famille de juriste de l’ancien empire colonial français, notamment au Sénégal, tient un cabinet dans le 16ème arrondissement de Paris et instruit généreusement la plèbe que nous sommes…

Nous nous contenterons de produire ici la prose que produit l’enfant bleu qui n’hésite pas (et c’est bien normal) à communiquer sur des concept juridiques “inexistant” comme la majorité sexuelLE.

Actuellement le Code pénal sanctionne tout acte de nature sexuel entre un adulte et un mineur de moins de 15 ans, de même que lorsqu’un viol ou une agression sexuelle est commis sur un enfant en dessous de cet âge, les peines sont aggravées. Ces deux mesures font que l’âge de 15 ans est communément admis comme l’âge de la majorité sexuel.

La faute d’orthographe finale est d’origine.

Au total, il y a peu ou pas d’arguments autres que d’autorité qui renvoient à des contenus non explicités.

On espère que le travail fourni est bénévole.

Que le très médiatique Yves CRESPIN ne nous en veuille pas mais nous n’avons pu résister à la tentation de chercher à en savoir un peu plus sur lui et ses origines.

Un des ancêtres de la famille semble être un métis qui à réussi dans le commerce de la gomme arabique et la traite négrière (fils d’un négociant rochelais qui est arrivé 1789).

Franc-maçon comme tous ses frères, il donna une descendance nombreuse de juriste souvent formés à Bordeaux ou Paris qui n’ont pas manqué de défendre la veuve et l’orphelin.

On ne peut d’ailleurs qu’être sur la même ligne que M. CRESPIN qui déclare lors d’une plaidoirie que :

Il y a presque dix ans, j’ai participé à un autre procès historique, celui du tombeau de la parole de l’enfant (NDLR : en référence à l’affaire Outreau).

Bizarrement les enfants Delay n’ont pas un très bon souvenir de cet avocat qui était là pour les “défendre” dès le début de l’affaire Outreau lors du procès de Boulogne.

Visiblement ils auraient des choses à redire sur ce monsieur, ses méthodes et les résultats obtenus.

Mais puisque c’est l’association “l’enfant bleu – enfance maltraitée” qui est en question, creusons encore un peu le sujet sur la base du rapport 2016 de l’association.

D’abord nous ne doutons pas que comme 99% des gens, les personnes impliquées sont de bonne volonté, œuvrent en faisant des choses qu’ils estiment justes et nous ne remettons absolument pas en question la qualité et l’intégrité de leur travail.

Les 5 salariés à plein temps, les 330.000 euros de dépenses, les 565.000 euros de services en nature, les 23 bénévoles ont permis d’aider des familles dans leurs démarches juridiques, d’écouter des victimes, de sensibiliser des scolaires, de faire un spot publicitaire, de rédiger une liste de 19 propositions, d’animer des groupes de parole de victimes, de faire des signalements.

Tout cela est très louable.

Cela permet de combler (un peu) les nombreuses carences de l’État en termes de prise en charge (juridique, psychologique) des victimes et de sensibilisation (scolaire, grand public).

A vrai dire on fait à peu près les mêmes choses (accompagnement de famille, sensibilisation).

Maintenant il faut quand même dire que pas une ligne (du site ou du rapport) n’évoque les réseaux pédocriminels, les réseaux mafieux de prostitution d’enfants, la pédopornographie, les abus rituels, etc.

Pas même un article sur leur site pour donner un éclairage sur les réseaux d’Outreau, d’Angers, etc où pourtant l’association était partie civile, a eu accès aux dossiers et pourrait être le porte-voix des faits et de la vérité crue de ce qui a pu être entendu lors de ces audiences.

Donnez-nous 330.000 euros de budget et une armée d’avocats qui ont la rage et je vous jure que vous allez voir la différence.

On lâche rien pour l’âge de non consentement à 15 ans.

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