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Théorie invalide devenue idéologie pro-pédophile au service des tribunaux
Nous vous invitons à nouveau à entrer dans le monde étrange des tribunaux…
Vous croyez peut-être savoir qui vous êtes, vous croyez vous rappeler que vous alliez à la Baule les Pins pendant les vacances avec vos parents…
Erreur, cela est sans compter le syndrome du faux souvenir dont vous êtes peut-être victime, à votre insu.
Mais non, c’est une plaisanterie, le faux souvenir ne serait qu’un souvenir effrayant.
On est rassuré.
Le souvenir :
Un souvenir est quelque chose dont on se remémore, un élément de mémoire.
Il se fabrique dans notre cerveau en 3 étapes.
- L’encodage, notre œil capte une image, un cortex prend en charge la mémorisation de l’objet, un autre cortex prend en charge le contexte, l’hippocampe fait le lien entre l’objet et le contexte.
- La consolidation, avec le temps le souvenir va perdre en précision.
- La remémoration des stimuli extérieurs ravivent le souvenir.
Ainsi, même après de nombreuses années écoulées, nous pouvons nous rappeler d’un souvenir et même d’un détail, par un stimulus (odeur, image, son…).
Le faux souvenir :
Mais comment peut-on avoir un faux souvenir, c’est grave docteur?
Les T.M.R : Selon une théorie, un thérapeute pourrait implanter des faux souvenirs à ses patients.Ceci serait en lien avec les thérapies dites de la mémoire retrouvée ou TMR
False Memory Syndrome (1992) : une théorie créée par un mathématicien pédomane
L’expression, False Memory Syndrome a été créée par Peter FREYD (né en 1936).
Ce professeur est célèbre pour sa théorie des catégories, une étude des structures mathématiques et les relations de ces structures les unes avec les autres.
En plus d’être mathématicien, Peter FREYD, était incestueux à ses heures perdues et c’est cette dernière activité qui lui a inspiré the False Memory Syndrome.
Ainsi, lorsque sa fille, Jennifer FREYD, a désigné son père comme étant son agresseur sexuel, le mathématicien de Pennsylvanie a fondé la False Memory Syndrome Fondation en 1992 avec des parents accusés de pédophilie et de rites sataniques suite à la parution d’un livre en 1980 ainsi qu’avec Ralph UNDERWAGER (1929- 2003) un pasteur et psychologue créateur du VOCAL, un lobby de personnes accusées d’abus sexuels sur mineurs.
Ralph UNDERWAGER a fait carrière dans la défense d’accusés d’actes sexuels sur mineurs, soit plus de 200 interventions dans les tribunaux aux USA, au Canada, en Australie, en Nouvelle Zélande et en Angleterre.
Ce psychologue controversé a mis fin à sa carrière puisqu’il aurait lui-même été accusé par sa fille d’inceste ce qui rejoint l’interview qu’il a accordé avec sa femme dans PAIDIKA The journal of Peadophilia ayant mis au jour de façon explicite ses convictions pro-pédophiles (Source interview: ).
Les travaux de Sigmund FREUD, de la recherche de la vérité au clientélisme
FREUD encourageait ses patients traumatisés, qu’il suspectait victimes de viol pendant l’enfance et dont ils n’avaient pas de souvenir, à (re)construire des scènes.
Il recherchait à faire émerger le souvenir refoulé et donc inconscient.
C’était la théorie de la séduction, elle s’appuyait sur les travaux de Jean-Martin CHARCOT (1825-1893) sur le lien entre l’hystérie, le traumatisme et la thérapie par l’hypnose.
FREUD (1856 -1939) abandonna sa théorie de la séduction qui ne fonctionnait pas et avoua qu’il avait induit involontairement des faux souvenirs à ses patients.
Ce phénomène est désigné comme le faux souvenir induit dont le résultat est le syndrome du faux souvenir.
Le désastre professionnel était alors évité, en effet face au nombre important de patients se découvrant victimes, Freud s’est retrouvé dans une posture délicate lorsque sa patientèle a commencé à saisir la justice pour obtenir réparation.
Cependant, cette théorie a fait les choux gras des avocats et des psychanalystes américains du XX ème siècle et a encore des répercussions aujourd’hui…
À l’origine le concept du refoulement des souvenirs n’avait jamais été controversé, en effet cette théorie est issue des études menées sur les vétérans de la première guerre mondiale suite à des expériences de combats traumatiques. (LOFTUS, KETCHMAM, 1997).
Ces travaux sont à l’origine du Syndrome de Stress posttraumatique inscrit au DSM of American Psychological Association.
Selon la théorie du complexe d’Œdipe, il n’était plus question pour le médecin viennois de mettre en lumière des agressions sexuelles sur mineurs.
Les allégations d’agressions devinrent des fantasmes d’enfants ou de femmes hystériques…
Ce sont, alors, des fantasmes nés de pulsions refoulées, c’est la naissance du refoulement.
1980 / La théorie des souvenirs refoulés, une alternative au complexe d’Œdipe
Les victimes bafouées se sont alors tournées vers des thérapies alternatives qui ne rejetaient pas massivement les allégations d’inceste ou d’abus sexuels sur mineurs.
Malheureusement quelques charlatans ont pollué ces thérapies bienveillantes ternissant une fois de plus la parole des victimes.
Ce phénomène a eu court dans les années 1980, connu sous la théorie des souvenirs refoulés.
Le complexe d’Œdipe sera commenté par des thérapeutes qui constataient que des patients avaient des refoulements suite à de véritables violences.
Nombre d’entre eux pousseront leurs patients à aller en justice pour «se reconstruire».
En 1993–1995 ce phénomène a permis de modifier dans 22 états des États-Unis le délai de prescription courant au moment de la découverte des faits et non au moment de la réalisation de ces faits.
Une théorie invalide
Comme pour la théorie du SAP, la théorie du faux souvenir n’est pas inscrite à la liste des diagnostics de l’Association américaine de psychiatrie.
Cependant elle est utilisée dans nos tribunaux pour discréditer les victimes…
Le syndrome du faux souvenir, discrédité par la communauté scientifique, est prisé par les tribunaux, exemple: l’enfumage de l’affaire d’Outreau “La tour du renard”.
Wanted Pedo était présent au procès de Rennes lors de l’affaire dite d’Outreau.
Initialement, une affaire d’abus sexuels sur mineurs dont les faits se seraient déroulés de 1997 à 2000.
Ayant donné lieu à un procès en Cour d’Assises au tribunal de Saint Omer du 4 mai 2004 au 4 juillet 2004 puis un procès en appel à Paris en novembre 2005 et enfin un procès à Rennes en 2015 à l’encontre du prévenu Daniel LEGRAND fils restant alors accusé de faits commis lorsqu’il était mineur.
Rappelons que la mise en œuvre de ce procès répondait au droit, en effet, le délai de prescription arrivait à terme.
De plus la Cour européenne des droits de l’homme avait été saisie pour faire condamner la France pour «procès inéquitable».
Il s’agissait de l’application de la loi purement et simplement et non l’œuvre de lobbies “révisionnistes”.
Des membres de Wanted Pedo étaient donc présents à Rennes afin de retranscrire fidèlement les interventions et non pour se faire remarquer en insultant ni en décorant le tribunal de guirlandes et cotillons, comme cela a été écrit abusivement par certains médias dépendants.
Ce travail d’information n’a pas été vain.
En effet, il a été constaté un écart considérable entre la réalité des audiences et l’information diffusée par les médias dits traditionnels, ce que Maxime MONTAUT, Président de l’Association a souligné lors d’une interview sur T.V Libertés.
N’en déplaise à Florence AUBENAS qui revendiquait encore sur France Inter, le 10 octobre 2015, un regard “neutre et aiguisé de journaliste d’investigation” sur l’affaire d’Outreau… constatant que contre toute attente que les prévenus “ne ressemblaient pas à des ogres”.
Merci à vous, Madame, pour cette précision capitale qui met en lumière votre approche infantilisante de l’information.
Florence AUBENAS, femme multicartes, journaliste, ex-présidente de l’observatoire internationale des prisons, ex-chômeuse inscrite au Pôle Emploi (pour écrire un livre, ou comment se mettre dans la peau des prolos quand on fait partie de l’élite) auteure, ex-otage et présidente du comité de soutien aux otages français et encore bien plus si affinités…
Mais, le message principal de cette allocution sur les ondes radiophoniques était que surtout, chers auditeurs, “il n’y a jamais eu de réseaux”.
(Ndlr: Nous regrettons que Mm Aubenas n’ait pas publié l’interview de Maxime Montaut qu’elle a réalisée lors du procès Outreau).
Comme il se doit d’être retenu, ce message porté en conclusion de l’affaire d’Outreau, est également relayé par Paul BENSUSSAN, expert dans le démontage des allégations d’abus sexuels sur mineurs, dans le magazine Science et Pseudo-Sciences n° 314 du mois d’octobre 2015:
“(…) c’est d’abord une sordide affaire d’inceste transformée, par une dérive médiatico-judiciaire, en réseau de pédophilie internationale (…)”
et de rejoindre le nouvel expert, belgo-canadien, appelé à Rennes sur les “flashs” de la mémoire des enfants DELAY, en expliquant
“C’est sur ce point sensible de la fiabilité des souvenirs retrouvés qu’a porté une bonne partie des débats (…)”.
Les propos de Paul BENSUSSAN dans cet article tendent à renverser totalement la réalité idéologique actuelle héritière de l’École de Francfort (1923).
En effet, alors que ces experts manipulent des théories invalides scientifiquement (SAP, Faux souvenirs, effet Rosenthal, effet Golem, complexe d’Œdipe, refoulement …) et des concepts freudo-marxistes (Fenichel, Wortis, Michel Foucault … ).
Paul BENSUSSAN tend à nous faire croire que le paradigme actuel pour lequel nous nous battons, (qui est la non sexualisation des enfants, la protection des plus faibles, la prise en compte de la parole de l’enfant) serait une idéologie biaisant les décisions de justice.
De plus, il “estime que le travail des psychologues a été influencé” par un biais de militantisme : l’enfant dit a priori la vérité et la condamnation des accusés serait une condition à sa résilience.
Tous les insatisfaits de ce procès seraient des “militants et passionarias” comme les “sensibilités militantes de la protection de l’enfance”.
Il vise des experts psychologiques comme étant des “engagés” faisant référence à Marie-Christine GRYSON, en alertant de ce phénomène préoccupant.
Paul BENSUSSAN prône une approche méthodologique, alors que ces “experts” de l’enfumage n’utilisent que des théories invalides souvent inventées par des pédophiles notoires et s’emmêlent les pinceaux comme Hubert Van GIJSEGHEM à Rennes lors de l’affaire d’Outreau.
Suite à la lecture de cet article voici notre droit de réponse en tant qu’association militant contre la pédocriminalité.
Nous ne manipulons aucun concept idéologique, nous nous basons sur les faits, les témoignages et le droit ou ce qu’il en reste….
Nous soutenons les victimes directes et indirectes de ce fléau.
Nous dénonçons les mensonges et les enfumages.
La protection des enfants contre la pédocriminalité est non négociable.
Nous ne nous laissons pas impressionner par les concepts, les corrompus, les réseaux d’influences de toutes sortes, les médias héritiers de Radio Paris ou les lobbies.
Nous le disons haut et fort : il y a des réseaux pédophiles dans le monde et la France ne fait pas exception.
Il faudra faire avec nous et avec tous ceux qui ont compris “la mascarade psycho-judiciaire”.
À la fin de l’interview, Paul BENSUSSAN évoque des “lettres ouvertes au Conseil de l’Ordre” de ses détracteurs le mettant en cause.
Mais selon l’expert, il n’a rien à craindre car les magistrats lui renouvellent et lui expriment leur confiance, tous comme ses pairs membres du Conseil de l’Ordre…
Bien sûr, ce “corporatisme” ne nous étonne pas et nous constatons que les chapes de protections ne se cachent même plus.
Mais aucune situation illégitime ne peut perdurer. (http://www.letemps.ch/suisse/)
Le 3 juin 2015, le compte-rendu de Wanted Pedo fait acte de l’intervention en visioconférence d’Hubert Van GIJSEGHEM, psychologue, expert psycho légal, professeur titulaire retraité de l’école de psychoéducation Universitaire de Montréal, Belge vivant au Canada.
Bref, on a eu de la chance de recevoir ce cosmopolite entre deux avions car en France nous manquons très cruellement d’experts psychiatres !
Hubert Van GIJSEGHEM adepte des théories brumeuses invalidées par la communauté scientifique telles que le SAP et l’effet Rosenthal, est célèbre pour ses réinterprétations des experts proctologues de traces de viols en constipation ou encore traces consécutives à de l’auto-masturbation des enfants.
Ce délicieux personnage apprécie bien évidemment le syndrome du faux souvenir.
À l’audience, il parlera de l’effet Rosenthal, qui dénonce les prophéties auto-réalisatrices des personnes qui ont contaminées le recueil de la parole de l’enfant et des reconstructions de faux souvenirs.
Cet expert facétieux nous aura appris quelque chose d’important :
“Il faut que l’enfant se rende seul au commissariat pour faire sa déposition dans les 24 h et éviter ainsi la pollution de sa déposition…”
(Ndlr: Comment l’enfant devrait-il agir ? Partir tout seul à pied au commissariat sans en parler à ses parents ?)
Cela permettrait aussi de faire baisser considérablement les chiffres des abus sexuels sur mineurs, il est bien cet expert Monsieur Van GIJSEGHEM !
Il expliquera aussi qu’on doit faire en sorte qu’il n’y ait qu’une seule déposition, et bien il faut croire que cet éminent spécialiste ne vit pas sur la même planète que nous, ce sont bien les institutions qui définissent le parcours de la victime, non?
Et puis, enfin, de nous rassurer sur les allégations des bambins au sujet de rites sataniques et cannibales qui ne sont que le fruit de leur imagination…
C’est vrai qu’il est pénible de supporter les conversations de sorties d’écoles maternelles de tous ces enfants obnubilés par la sodomie, les pentagrammes et les rituels de toute sortes…
Arrêtez un peu vos “foutaises” pour rester poli.
C’est pour cela qu’il préconise “un cadre d’autorité non confortable pour recueillir les témoignages”.
Puis, l’expert cosmopolite parlera des souvenirs qui s’effilochent, s’entremêlent et face à ce méli-mélo de sac de nœuds le pauvre homme en perdra le fil et sera incapable de citer des noms, des études, des chiffres et même le titre de sa thèse doctorale…
Encore une victime de faux souvenirs. (Ndlr : Monsieur pouvez-vous nous épeler votre nom? Non, bon, nous non plus.)
Et enfin, le bouquet final, il avoue :
“Je ne peux pas parler d’Outreau, car je n’ai pas travaillé dessus”,
Le pauvre amnésique avait néanmoins fait un colloque en Suisse sur cette affaire …
Vrais et faux souvenirs ou véritables et fausses allégations?
Il n’est pas impossible qu’une personne mente, qu’une personne soit manipulée ou qu’une personne souffre de troubles psychiatriques, ce qui aurait comme conséquence de la pousser à faire de fausses allégations.
En effet, Benoit YANG TING, thérapeute de la mémoire retrouvée a extorqué de fortes sommes d’argent à ses patients en usant de manipulation mentale.
S’il est difficile de faire la différence entre de vrais et faux souvenirs, il est sans doute plus aisé de détecter des vraies ou des fausses allégations.
Finalement, ce débat est médical, il y aura donc toujours des nouvelles théories pour démonter les anciennes et permettre de faire se succéder à la barre des tribunaux un nombre incroyable d’experts psychiatres rémunérés grassement avec l’argent du contribuable.
La manipulation psychique
Si on se réfère à une manipulation psychique, il faut que la justice soit en mesure de prouver que les victimes ont été mises en contact avec des psychiatres formés à l’hypnose.
De plus, l’hypnose à des résultats aléatoires, en effet selon l’Association Française pour l’étude de l’Hypnose médicale, après une thérapie de lutte contre le tabac, l’hypnose a une durée limitée dans le temps.
Imaginez en plus que dans ce cas, le patient est consentent, il sait pourquoi il est là et surtout il est motivé.
Si on transpose cela aux allégations d’abus sexuels, il faut que le patient soit donc conscient que le thérapeute suggère qu’il a bien été violé, qu’il soit donc motivé pour rechercher en lui des souvenirs de viols, ne serait-ce pas de l’autosuggestion?
Les spécialistes assurent que le patient a conscience de ce qui se passe lors d’une séance…
Au regard médical, dans l’hypothèse où un patient serait victime d’un souvenir induit, ce souvenir aurait une durée dans le temps limitée.
Toujours selon les spécialistes, l’enfant commencerait à être réceptif à l’hypnose à partir de 6 ans cependant pour qu’une thérapie commence à faire effet, il faudrait une dizaine de séances et comme pour les adultes, l’enfant n’est pas inconscient mais au contraire il serait «aiguisé».
La théorie des faux souvenirs est appliquée aux personnes déclarant avoir vécus des phénomènes paranormaux.
La littérature judiciaire recense un nombre incalculable de viols d’enfants, cependant il n’existe aucun jugement en France attestant de l’existence de fantômes ou d’extraterrestres…
Bientôt, le viol d’enfant sera considéré aussi invraisemblable qu’une morsure de vampire.
La recherche de la vérité : Vraie ou fausse motivation judiciaire?
Face à ce ballet d’experts et face à une théorie invalidée par la communauté scientifique, il serait prudent que la justice s’appuie en premier lieu sur la recherche de la vérité en réalisant des investigations poussées, rapides et opportunes, en arrêtant de faire abstraction des pièces existantes ou de les faire disparaitre…
Avant de s’intéresser à des souvenirs, les magistrats ne devraient-ils pas se pencher sur les faits, les preuves matérielles, les pièces à conviction, les enregistrements, les photographies, les films, les scellés, les témoignages, les procédures Mélanie, la concordance des témoignages, le passé des victimes, le passé des accusés, les casiers judiciaires, les affaires connexes, les récidives, les aveux, l’ADN, les séquelles physiques/psychologiques, les addictions et les pathologies réelles…
Cette liste d’éléments factuels, objectifs ou objectivables semblent difficile à atteindre.
Il faut donc avoir recours à des théories compliquées pour trancher les litiges, comme le SAP et la théorie des faux souvenirs ? C’est faux.
Dans l’immense majorité des affaires d’allégations d’abus sexuels sur mineurs, ces éléments existent et prouvent la culpabilité ou l’innocence des accusés.
L’utilisation de théories aux frontières de l’irrationnel masque la défaillance de notre système judiciaire et para judiciaire.
En effet, la justice a recourt à ces théories brumeuses quand elle ignore volontairement des éléments tangibles pour effacer l’ardoise d’un prévenu ou pour se raccrocher aux branches quand les enquêtes sont bâclées…
Des études, à la base intéressantes sur la mémoire se trouvent être transformées en “hochet” pour capter notre attention et nous détourner de la réalité, la vraie.
Ne soyons pas dupes, exigeons une justice incorruptible et rationnelle, car c’est notre droit et celui des enfants
Car voir ces “experts farfelus” défiler dans nos tribunaux, À NOS FRAIS pour insulter les enfants de menteurs systématiquement, ce n’est plus acceptable.
L’association invite tous les citoyens à surveiller les procès pédophiles de leurs régions. Nous vous conseillons d’assister au audiences pour faire vos propres constatations…
C’est formateur.
Soyez de plus en plus vigilants et alertes.
Honneur, Force et Courage.
L’équipe Wanted Pedo
Leon CHEROK L’Hypnose 1989
Institut Français d’HYPNOSE site officiel
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