Cas d’école de journalisme par ommission ou bêtise c’est au choix
Comment servir la soupe au lobby pédo quand on prétend défendre les enfants.
Le 25 janvier 2021 dans la grand journal quotidien de la Saône-et-Loire, la “journaliste” Nathalie Chifflet nous gratifie d’un titre à la débunker de fake news, texto “désinfox”.
Non, le Sénat n’a pas abaissé la majorité sexuelle à 13 ans
https://www.lejsl.com/societe/2021/01/25/non-le-senat-n-a-pas-abaisse-la-majorite-sexuelle-a-13-ans
Cette femme mûre qui continu à se mettre des avatars de jeune fille ne dit absolument rien de faux dans son article.
Au point même qu’à la fin le lecteur est naturellement convaincu du contraire de la démonstration et qu’effectivement les enfants victimes d’abus sexuels de 13 à 15 ans vont bien se retrouver dans la panade face au juge qui leur demandera de prouver leur non-consentement.
A ce moment là, Nathalie pourra venir dire que, “si si la majorité sexuelle n’existe pas mais qu’elle est bien à 15 ans”, n’est-ce pas ?
Bref voilà comment une soit-disant lecture rigoureuse et littérale des textes juridiques par une journaliste non-spécialiste (plutôt spécialiste de la critique de cinéma visiblement) mène à occulter la réalité des tribunaux.
Il aurait été plus utile pour quelqu’un qui semble défendre les enfants sur son twitter de prendre le temps d’aller voir un avocat du coin qui défend réellement ces victimes dans son métier.
Ce qui compte c’est ce qui se passe “de facto” et non en théorie.
Dans le même genre mais de manière anonyme :
Ou encore celui-là de Jules Torres le petit jeune de valeurs actuelles en mission pour faire le sale boulot avec sa tête de champion…
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