Il est légitime de se poser cette question : la maçonnerie moderne transmet-elle des initiations et des connaissances similaires à celles qui étaient enseignées avant le déluge, puis du temps de Nimrod et de Babylone ?
Cette connaissance maçonnique secrète a-t-elle conservé une doctrine purement luciférienne, c’est à dire basée sur le paganisme et le satanisme, incluant entre autre des pratiques sexuelles dépravées et des sacrifices de sang (magie sexuelle et démonologie) ?
Sacrifient-ils toujours le Taureau de Mithras ? Pratiquent-ils encore le baptême de sang ?
S’agit-il de cette maçonnerie “parasitée”, la maçonnerie noire aux rituels initiatiques traumatiques dont parle Albert Mackey ?
Les traumatismes entraînant des états modifiés de conscience, les sacrifices de sang et la magie sexuelle pédocriminelle sont-ils des “clés initiatiques” que certaines sociétés secrètes modernes utiliseraient dans leurs rituels ?
Cette revendication d’une descendance des plus honteux mystères de l’antiquité par de nombreux francs-maçons prouve que la Franc-maçonnerie tend par ses doctrines et ses pratiques à la restauration du paganisme antique dans sa plus grande perversion.
Les sociétés secrètes modernes de type maçonnique seraient-elles la descendance directe des anciennes religions à Mystères et des cultes de la fertilité ?
Des cultes qui adoraient des dieux comme Baal, Moloch ou Dionysos (Bacchus) et dont les rites comprenaient des sacrifices.
La sexualité de groupe était également un élément essentiel de ces sectes païennes, le culte phallique solaire étant aujourd’hui représenté par les obélisques qui se dressent en l’honneur du “secret royal maçonnique” sur nos grandes places publiques…
Extrait du livre MK