Il ne fait aucun doute que la question du réseau pédocriminel, est totalement blacklistée par les rédactions, que ce soit dans les médias de gauche ou de droite, mais aussi chez les pseudo médias alternatifs… Le constat est là : la pédocriminalité est une zone sensible où l’on ne s’aventure pas.
Plusieurs raisons peuvent-être à l’origine de ce black-out total. Tout d’abord celle de la complicité, directe ou indirecte. C’est à dire l’appartenance de certains hauts responsables médiatiques à ce type de réseaux criminels.
Il existe de facto une complicité indirecte du système médiatique, car en occultant ce sujet, en refusant d’investiguer sérieusement, ils participent à la prolifération de ces abominations. Ce silence médiatique est une forme de protection des pédocriminels, une protection indirecte lorsqu’il s’agit d’une pure lâcheté, ou directe lorsqu’il y a appartenance au réseau.
Beaucoup de journalistes connaissent l’existence des ces réseaux ultra violents, et savent pertinemment qu’ils ont tout à perdre (vie sociale, vie professionnelle, voir leur propre vie) s’ils s’attaquent à un tel morceau. D’autres sont certainement dans un déni, leur facilitant la vie… D’autant plus qu’aujourd’hui, à l’heure de l’athéisme et du relativisme généralisé, la question du « pédo-satanisme » relève pour beaucoup d’une « théorie du complot » de type « chasse aux sorcières ».
À partir de là, ils balaient d’un revers de main ce type de dossiers, bien qu’il y ait largement matière à enquêter. Mais Je pense que certains journalistes, encore intègres et curieux du monde dans lequel ils vivent, travaillent en off sur ce sujet. Tout au moins pour leur propre gouverne…
Enfin, la question épineuse du contrôle mental se pose bien évidemment pour la caste journalistique… On peut supposer qu’à l’heure actuelle, beaucoup de journalistes mainstream soient passés à la moulinette psychique dans leur enfance : c’est à dire par la case fractionnement et programmation lors de sévices rituels.
Ce sont des pions formés par le réseau et injectés à des postes clés afin de verrouiller le système médiatique d’information. Dans ce type de programmations, nous avons affaire à des multiples qui ignorent qu’ils sont eux-mêmes sous contrôle mental, et qui oeuvrent le plus sincèrement du monde à leur activité de « journalisme », qui n’est autre qu’un pare-feu afin d’éviter toute diffusion d’informations et d’idées n’allant pas dans le sens de l’agenda du réseau.
L’aspect programmation mentale expliquerait pourquoi tout un système fonctionne d’un seul homme, jouant la même partition à la note près, avec une même idéologie sociétale, évacuant, parfois avec une hargne palpable, toute pensée non conforme à cette idéologie…
Il y a bien sûr la pression sociale qui fait que le journaliste lambda se conforme par automatisme en adoptant les codes de la doxa afin de garder son emploi et sa vie mondaine ; mais aussi les écoles de journalisme qui formatent également les esprits… Nous sommes toujours là dans du contrôle mental.
À décharge pour les journalistes qui occultent le sujet de la pédocriminalité de réseau, nous pourrions leur prêter la bonne intention de préserver la paix sociale… car une chose est sûre, si ces abominables pratiques pédo-sataniques de la haute société venaient à être massivement divulguées, la population pourrait violemment se soulever pour nettoyer les écuries d’Augias….
Rappelez-vous les manifestations monstres et la colère du peuple Belge lors de l’affaire Dutroux ! Les crimes sur les enfants sont une bombe à retardement, autant chez les petites victimes que dans la potentielle explosion du peuple lorsqu’il prendra conscience de cette ultime abomination à grande échelle.