Alain Soral, via Égalité Réconciliation, se présente à nous comme un preux chevalier combattant courageusement le “nouvel ordre mondial”, le satanisme, la franc-maçonnerie et la pédophilie.
Cet hyperactif national-socialiste, adepte de la théorie de la race aryenne, grand adorateur du négationniste Robert Faurisson, s’auto érige en héraut catholique traditionaliste qui ferraille contre l’immoralité atlantiste.
Mais sous ce vernis attrape-gogo se dévoile la réalité du personnage, à commencer par une équipe à mille lieux d’incarner ce “front de la foi” uni contre Lucifer.
Dans son entourage on trouve plutôt des fans d’ésotérisme, parfois proches du satanisme, très loin de l’image du chrétien sans peur et sans reproche.
Un “dissident”, Soral ?