Depuis sa parution en septembre 2018, et malgré la polémique, les éditions Glénat persistent à vendre la Bande dessinée pédopornographique “Petit Paul”, de Bastien Vives, salement préfacée par l’actrice porno Céline Tran.
Pourquoi la justice n’a toujours pas interdit l’ouvrage, et condamné les responsables de sa diffusion (Bastien Vivès, Jacques Glénat, Dorothée Fournier…) ? Mystère. Au passage, notons l’écœurante tribune d’Anastasia Colosimo, dans le Journal de la philo sur France Culture, révélatrice d’une partie de l’héritage de mai 68 où la plupart des grandes figures de la libération sexuelle, qui étaient aussi des militants pro-pédophilie, utilisaient une rhétorique similaire pour tenter de la dépénaliser (Guy Hocqueghem, René Scherer, Tony Duvert, Gabriel Matzneff, Jean-Luc Hennig…).