Paul Bonacci, tout comme Alisha Owen, une autre survivante du réseau Franklin, seront tous les deux condamnés à de la prison ferme pour parjure.
Il a été jugé que l’état psychologique fractionné de Bonacci avec ses incohérences et ses contradictions, décrédibilisait son témoignage et que cela nécessitait sa mise en accusation pour parjure !
Il est classique dans ce genre de dossiers de mettre en avant l’état psychologique de la victime dissociée afin de décrédibiliser son témoignage.