Monsieur François Hollande, Président de la République.
Attentif aux vœux que vous venez de formuler aux Français dont je pense en faire partie, mon attention était très forte lorsque vous avez émis le vœu de protéger chaque Français.
J’ai également était très sensible à l’hommage publique que vous souhaitiez rendre aux victimes ainsi qu’aux familles endeuillées des attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan.
Ma famille et moi-même avons doublement étaient marquées par ces drames, nous dont notre mère a été victime d’un meurtre dans un hôpital en France pour lui voler ces organes, dont nous savons aujourd’hui que ces personnes qui protègent fortement ces médecins nous obligent à nous poser cette questions macabre mais légitime qui est de savoir si ces médecins on u également l’autorisation de faire leur marcher macabre sur les victimes de ces attentats.
C’est pour cette raison, que je sollicite votre haute bienveillance, pour vous informer de fait extrêmement grave, dont ma famille et moi-même sommes victime depuis quinze ans dans le pays des droits de l’homme, porteur des droits universelle.
Le 27 Décembre 2000, notre Mère, Eliane Kabile entre à l’hôpital pour une simple douleur au mollet.
Non, seulement, elle n’en ressortira pas vivante de cet hôpital, mais son corps ne sera jamais retrouvé.
Aujourd’hui nous les enfants Kabile, nous nous battons pour la manifestation de la vérité.
Nous battons car notre Mère n’est pas morte dans un attentat terroriste, ni dans un naufrage en pleine mer, mais dans un hôpital publique et Français protégé par les principes Républicains ; dont vous être le garant mais également le protecteur.
Dans un pays de droit, nous nous sommes vu refuser la veillé funéraire que nous avions organisée suite à une exhumation des plus douteuse car sans fondement légal, puisque ni la famille ni un représentant légal n’a pu assister à cette exhumation dont l’horaire était prévu à 08h30 mais qui s’est déroulé à 06h30 en dehors des heures légal comme l’indique le document des fonctionnaires qui ont effectués cette tâche.
Mais pour une raison que nous les enfants Kabile ignorons, l’article de loi R2213-40, tout comme la veillée funéraire ne concerne pas ma famille, pourtant Française avec un grand-père qui s’est battu en tant que militaire pour notre France.
Trente années de sa vie.
La veillée funéraire est autorisée pour un criminel en prison mais pas pour nous les enfants Kabile.
Pour nous, comme l’estime la justice se sera une amende de 15000 euros.
Quant à l’avocat pour avoir osé nous représenter, il subira des menaces sur sa vie et aujourd’hui une mise à pied d’un an pour résister dans cette procédure.
Tout çà d’injustice alors que nous avons dans nos mains toutes les preuves que notre maman a été précipiter vers la mort pour alimenter un commerce de trafic d’organes.
Aujourd’hui nous nous retrouvons avec trois actes de décès pour notre maman qui n’est morte pourtant qu’une seul fois, un seul jour, à une seule heure et non à trois moment différent comme l’indique les trois actes de décès.
Malgré l’amende de 15000 euros pour abus de procédure, nous avons de nouveau saisi la justice, dont le devoir est de nous répondre sur ces trois actes de décès.
La réponse du Procureur de la République, de l’agent judiciaire de l’état et du Juge devant ces trois actes, présentés comme des nouvelles pièces est une prescription, suivi de la mise à pied de notre Avocat Maître Dominique Kounkou.
Tout cela pour ne pas répondre aux trois actes de décès.
Plus grave le Juge se permet de manipuler le verbe pour couvrir la date d’autopsie qui a u lieu le 16/02/2001 comme la indiqué l’expert de la cour qui c’est basé sur la réquisition du Procureur de la République et mentir en donnant la date du 20/02/2001 pour l’autopsie.
Toute cette démarche pour couvrir un réseau criminel de trafic d’organes humain.
En effet datant l’autopsie au 20/02/2001, on peut comprendre que les corps (au nombre de deux) dont la date de réquisition de transport, le 19/02/2001 est subis une autopsie le 20/02/2001.
Mais comme l’indique l’expert c’est le 16/02/2001 que c’est pratiqué l’autopsie et les réquisitions de transports portent la datés du 19/02/2001.
Cet élément démontre de façons indiscutable que l’autopsie du 16/02/2001 qu’ils ont toujours faite passé comme étant celle du 20/02/2002 ne peut au aucun cas être celle de notre maman.
Pour toutes ces raisons nous vous sollicitons pour répondre sur ces injustices dans un pays de droits protégé par des principes Républicain qui mettent en péril le droit Français.
Nous les enfants Kabile attendons une réponse de votre part.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute considération.
e sont deux parents détruits qui ont l’intention de porter plainte. Le père et la mère du petit Yanis, 4 ans, viennent d’apprendre que les organes de leur enfant, tué le soir de l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice, avaient été prélevés sans qu’ils en soient informés. La famille envisage d’entamer une action contre l’État pour faute grave, précise son avocat, contacté le mercredi 4 avril par RTL.
Michaël et Samira ont été alertés de cette intervention la semaine dernière par la mère d’une autre victime de l’attentat, dont la fillette avait elle aussi été autopsiée. Depuis, ils ne décolèrent pas et veulent comprendre pourquoi l’institut médico-légal de l’hôpital Pasteur, à Nice, a conservé une dizaine d’organes de leur enfant sans les en informer.
2 commentaires
Bonjour Élise Lucet,
le 31 Décembre 2015
Monsieur, le Président de la République
Palais de l’Elysée
55, rue du Faubourg Saint Honoré
75008 Paris
Objet: Affaire Eliane KABILE
Monsieur François Hollande, Président de la République.
Attentif aux vœux que vous venez de formuler aux Français dont je pense en faire partie, mon attention était très forte lorsque vous avez émis le vœu de protéger chaque Français.
J’ai également était très sensible à l’hommage publique que vous souhaitiez rendre aux victimes ainsi qu’aux familles endeuillées des attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan.
Ma famille et moi-même avons doublement étaient marquées par ces drames, nous dont notre mère a été victime d’un meurtre dans un hôpital en France pour lui voler ces organes, dont nous savons aujourd’hui que ces personnes qui protègent fortement ces médecins nous obligent à nous poser cette questions macabre mais légitime qui est de savoir si ces médecins on u également l’autorisation de faire leur marcher macabre sur les victimes de ces attentats.
C’est pour cette raison, que je sollicite votre haute bienveillance, pour vous informer de fait extrêmement grave, dont ma famille et moi-même sommes victime depuis quinze ans dans le pays des droits de l’homme, porteur des droits universelle.
Le 27 Décembre 2000, notre Mère, Eliane Kabile entre à l’hôpital pour une simple douleur au mollet.
Non, seulement, elle n’en ressortira pas vivante de cet hôpital, mais son corps ne sera jamais retrouvé.
Aujourd’hui nous les enfants Kabile, nous nous battons pour la manifestation de la vérité.
Nous battons car notre Mère n’est pas morte dans un attentat terroriste, ni dans un naufrage en pleine mer, mais dans un hôpital publique et Français protégé par les principes Républicains ; dont vous être le garant mais également le protecteur.
Dans un pays de droit, nous nous sommes vu refuser la veillé funéraire que nous avions organisée suite à une exhumation des plus douteuse car sans fondement légal, puisque ni la famille ni un représentant légal n’a pu assister à cette exhumation dont l’horaire était prévu à 08h30 mais qui s’est déroulé à 06h30 en dehors des heures légal comme l’indique le document des fonctionnaires qui ont effectués cette tâche.
Mais pour une raison que nous les enfants Kabile ignorons, l’article de loi R2213-40, tout comme la veillée funéraire ne concerne pas ma famille, pourtant Française avec un grand-père qui s’est battu en tant que militaire pour notre France.
Trente années de sa vie.
La veillée funéraire est autorisée pour un criminel en prison mais pas pour nous les enfants Kabile.
Pour nous, comme l’estime la justice se sera une amende de 15000 euros.
Quant à l’avocat pour avoir osé nous représenter, il subira des menaces sur sa vie et aujourd’hui une mise à pied d’un an pour résister dans cette procédure.
Tout çà d’injustice alors que nous avons dans nos mains toutes les preuves que notre maman a été précipiter vers la mort pour alimenter un commerce de trafic d’organes.
Aujourd’hui nous nous retrouvons avec trois actes de décès pour notre maman qui n’est morte pourtant qu’une seul fois, un seul jour, à une seule heure et non à trois moment différent comme l’indique les trois actes de décès.
Malgré l’amende de 15000 euros pour abus de procédure, nous avons de nouveau saisi la justice, dont le devoir est de nous répondre sur ces trois actes de décès.
La réponse du Procureur de la République, de l’agent judiciaire de l’état et du Juge devant ces trois actes, présentés comme des nouvelles pièces est une prescription, suivi de la mise à pied de notre Avocat Maître Dominique Kounkou.
Tout cela pour ne pas répondre aux trois actes de décès.
Plus grave le Juge se permet de manipuler le verbe pour couvrir la date d’autopsie qui a u lieu le 16/02/2001 comme la indiqué l’expert de la cour qui c’est basé sur la réquisition du Procureur de la République et mentir en donnant la date du 20/02/2001 pour l’autopsie.
Toute cette démarche pour couvrir un réseau criminel de trafic d’organes humain.
En effet datant l’autopsie au 20/02/2001, on peut comprendre que les corps (au nombre de deux) dont la date de réquisition de transport, le 19/02/2001 est subis une autopsie le 20/02/2001.
Mais comme l’indique l’expert c’est le 16/02/2001 que c’est pratiqué l’autopsie et les réquisitions de transports portent la datés du 19/02/2001.
Cet élément démontre de façons indiscutable que l’autopsie du 16/02/2001 qu’ils ont toujours faite passé comme étant celle du 20/02/2002 ne peut au aucun cas être celle de notre maman.
Pour toutes ces raisons nous vous sollicitons pour répondre sur ces injustices dans un pays de droits protégé par des principes Républicain qui mettent en péril le droit Français.
Nous les enfants Kabile attendons une réponse de votre part.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute considération.
Thierry KABILE
Auteur: Elise Lucet
e sont deux parents détruits qui ont l’intention de porter plainte. Le père et la mère du petit Yanis, 4 ans, viennent d’apprendre que les organes de leur enfant, tué le soir de l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice, avaient été prélevés sans qu’ils en soient informés. La famille envisage d’entamer une action contre l’État pour faute grave, précise son avocat, contacté le mercredi 4 avril par RTL.
Michaël et Samira ont été alertés de cette intervention la semaine dernière par la mère d’une autre victime de l’attentat, dont la fillette avait elle aussi été autopsiée. Depuis, ils ne décolèrent pas et veulent comprendre pourquoi l’institut médico-légal de l’hôpital Pasteur, à Nice, a conservé une dizaine d’organes de leur enfant sans les en informer.