Les arrestations pour pornographie juvénile ont explosé depuis six ans à Montréal, grâce aux dénonciateurs qui sont de plus en plus nombreux, constate la police
SOURCE : Journal de Montréal
Une fillette de 6 ans confie à sa monitrice de camp de jour qu’elle déteste être prise en photo. Raison invoquée : un ami de la famille lui demande parfois de poser et elle « n’aime pas ça ».
Les proches de l’enfant prennent la chose avec un grain de sel, mais pas la police.
À LIRE AUSSI : Importante rafle contre des cyberpédophiles en cours
Résultat: les enquêteurs mettent la main sur une minuscule carte SD cachée dans le tiroir de l’homme, ce qui permettra de retracer quatre autres victimes d’abus sexuels, dont une petite fille de 2 ans.
De telles histoires bouleversent le commun des mortels, mais constituent le quotidien des enquêteurs de l’Unité d’exploitation sexuelle des enfants du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Ceux-ci ont permis à l’équipe numérique de notre Bureau d’enquête de vivre une incursion dans leur univers.