Le criminologue australien Michael Salter, auteur du livre « Organised Sexual Abuse », rapporte ainsi ces notions d’infiltrations et de double vie :
« Les survivants ont décrit comment ces familles et groupes pratiquant les sévices rituels chevauchent des institutions religieuses ou des organisations fraternelles (…) Dans leurs pratiques d’abus rituels, ces gens semblent adopter et inverser les rituels traditionnels des grandes organisations qu’ils ont infiltrés. Les survivants décrivent avoir vécu dans « deux mondes » lorsqu’ils étaient enfants : d’un côté des institutions et idéologies religieuses et fraternelles bienveillantes, enchevêtrées d’un autre côté avec des rituels déviants et sadiques. »